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Frère Peter Dimond, O.S.B.

Un ancien membre d’un gang dénommé Dominic Morrow, qui a été abattu de deux balles et considéré comme cliniquement mort pendant plus de trois minutes en 2009, raconte son impressionnant voyage en enfer tandis qu’il était inconscient.

[Dominic:] J'étais cliniquement mort pendant trois minutes et quarante-sept secondes.

Ce qu’il a vu doit être entendu de tous.

I was a Chicago Gang Member and went to Hell after being Shot Twice – Dominic’s Testimony “Touching The Afterlife”

[Dominic:] J’ai rejoint un gang très jeune (entre 12 et 13 ans). J’ai eu une vie difficile. Chicago était un endroit où il était difficile de grandir... Malheureusement, j’ai pris cette voie. Les années ont passé et je maîtrisais à peu près le métier, pour ainsi dire, de la rue... J’ai donné ma vie à ceux que j’ai considérés comme ma famille. Et j'ai découvert qu'ils m'ont poignardé dans le dos et qu'ils ont tout fait pour que je me fasse tuer.

Hé, attendez voir ! Il y a quelque chose qui cloche. J’ai eu un sentiment bizarre à propos de ce type. Tout d'un coup, j'ai levé les yeux et ce type m'a regardé avec un sourire en coin, une sorte de sourire diabolique, genre : « Je t'ai eu ! » C’était comme... c’était tellement diabolique.

Mais je me souviens que tout s'est passé au ralenti et que je suis retombé. Ce genre d'obscurité n'est pas celle que l'on voit sur terre. Ces ténèbres... sont vivantes ! Alors que je tombais, j’ai su que c’était l’enfer. Et puis j'ai entendu les cris des gens.

Alors que de nombreuses soi-disant expériences de mort imminente sont fausses et trompeuses, et nous le savons car elles contiennent des messages de salut erronés et contraires à la bible, nous croyons que son expérience était une expérience authentique que Dieu lui a permis de vivre.

[Dominic:] Et la première chose que j'ai remarquée, c’était ces êtres démoniaques ! Il s’agit des plus grotesques, des plus puants... Hollywood ne peut même pas reproduire l’apparence de ces êtres.

Dominic dit qu’en descendant en enfer, il est tombé dans ce qui était un immense gouffre.

[Dominic:] Mais le plus étrange, c'est que lorsque je suis tombé en arrière, j'ai commencé à tomber instantanément en avant ! Je tombais face vers l'avant en même temps que je tombais en arrière. C’était la partie la plus bizarre. C'est l’aspect spirituel de la chose. Mais alors que je suis en train de tomber, je ne sais même pas comment le mesurer. On dit que la vitesse de la lumière est de 300 000 km par seconde. C’était plus rapide que ça.

En tombant, il s’est senti dépouillé de tout ce qui est bon. Tout ce que les gens prennent pour acquis, comme l’espoir, l’amour, etc., puisque tout cela vient de Dieu.

Dominic fut dépouillé de tout cela.

[Dominic:] Mais plus je descendais - je tombais, je tombais, je tombais - plus je tombais comme si j'étais dépouillé de tout. Je savais que j'étais dépouillé des choses que Dieu m'avait données et que je tenais pour acquises, comme l'espoir, l'amour, la fraternité, la patience - tout ! Plus je tombais vite, plus tout m’était enlevé, et j’avais de plus en plus peur. Mais il s’agit d’un autre type de peur.

Il parle de la puanteur de l'enfer, qui est si forte qu’il ne peut la décrire complètement.

[Dominic:] Mais au fur et à mesure que je tombais, je me sentais de plus en plus effrayé. J'ai commencé à entendre... la première chose que j'ai remarquée, c'était des rires autour de moi.  Pendant que je tombais, il y avait des rires et des gloussements, des petits... [Dominic essaie d’imiter les sons].

Le rire lui-même (ils riaient), je l’ai senti ! C'était un rire différent.

C'était une haine démoniaque. Je savais que ce qui se moquait de moi me haïssait ! Il me haïssait plus que tout ce que vous pouvez décrire. Mais alors que je tombais, j'ai entendu ce rire. La deuxième chose qui a attiré mon attention était cette odeur horrible. Mais j'ai senti cette odeur ; quelle odeur ! Je ne peux même pas en parler maintenant, alors je suis désolé si je m’arrête un peu parce que beaucoup de choses me reviennent en mémoire et que je suis encore un peu émotif. Mais l'odeur à elle seule est si horrible que je ne peux même pas la décrire ! Rien [ne le peut]. Vous pouvez avoir un millier de cadavres d’hommes et d’animaux et tout ce que vous voulez mettre dans la bouillie, cela sent le Febreze par rapport à ce que j’ai senti !

Cela concorde avec d’autres expériences de l’enfer que certains ont eues. Saint Bède le Vénérable, un moine bénédictin qui a vécu au 8^e siècle, a relaté l'expérience de Dritelme, un homme qui a vu l’enfer lors d'une expérience de mort imminente vers l’an 696. Devenu moine par la suite, Dritelme a décrit qu’il se trouvait en enfer :  « une odeur nauséabonde, sans équivalent... » (Vision de Dritelme (696 ap. J.-C.), St. Bède, Histoire ecclésiastique).

[Dominic:] Alors que je tombais, que je tombais, j'ai remarqué une petite lumière. Elle était si petite. C’était un point de lumière. Et au fur et à mesure que je tombais, elle devenait de plus en plus grande. Et c’est là que j’ai atterri. J’ai compris.

Je pensais que c’était un conte de fées, je ne vais pas mentir. Je pensais que l'enfer était un conte pour enfants. Je pensais que c'était un lieu imaginaire. Je pensais que c'était une tactique de peur utilisée par les religions. Je le savais. J’ai dit : « Je vais en enfer ! »

Vous voyez, le temps n’existe pas dans l'éternité comme il existe ici. Donc, tout le temps que je tombe... les gens diraient, « Mais comment aurais-tu le temps ? » Le temps n'existe pas comme ça... Vous ne pouvez même pas le concevoir ! L’éternité s’arrête... elle n'a pas de temps.

Alors que je tombais, j'ai su que c’était l'enfer. Et puis j'ai entendu les cris des gens... Ouais. Les cris et les hurlements, alors que je tombais dans ce portail (si je peux appeler ça un portail) devenaient de plus en plus forts. On peut tout à fait les entendre. Et je savais qu'il devait y avoir des milliards de personnes. Des centaines de millions, des milliards de personnes là-dessous.

Y a franchement, des cris, quoi, des cris déchirants ! De la même manière que j'ai entendu ces rires démoniaques - je pouvais les sentir dans mes tripes et dans mon âme - ces cris étaient les pires parce que c'était de la souffrance. On criait des blasphèmes. C'était tout simplement horrible ! Les gens suppliaient qu'on leur donne une dernière chance.

Le fait est que lorsque vous êtes un esprit, vous pouvez entendre un millier de bruits à la fois - mais vous pouvez les distinguer et comprendre chacun d'entre eux, qu'ils soient simultanés ou non. Vous pouvez tout savoir et tout entendre distinctement.

Il décrit la chaleur de l’enfer.

[Dominic:] Mais alors que je tombe et que je vois ce portail, j'ai l'impression d’entrer dans un vieux réseau de grottes, vous voyez ? Et c'est là que j'ai senti la chaleur ! Maintenant que j'y repense, je me dis qu'il faisait probablement déjà chaud quand je me suis approché de la grotte. Mais j'étais tellement choqué et terrifié par tout le reste que je n'avais pas fait attention à la chaleur jusqu'à ce que j'entre dans la première partie du portail. Et c'est là que la chaleur m'a frappé. En plus de tout ça, c'était juste un bombardement de tout.

Vous savez, ici, sur terre, dans notre corps physique, nous ressentons les choses séparément. C'est-à-dire notre système nerveux ; donc si vous recevez une piqûre dans le dos, un coup de poing ou quelque chose comme ça, vous ne pouvez le sentir qu’à cet endroit. Mais non ! Là, vous ressentez tout simultanément, en même temps. La douleur, tout, s'empare de votre corps tout entier.

Mais quand j'ai senti cette chaleur, c'est toute une autre sensation ! C'est une forme de chaleur différente. Ce n’est pas comme quand on se brûle le doigt ici. Il y a une composante spirituelle parce que c’est au-delà. Je veux dire, si je voulais la mettre sur une échelle de température, je dirais 12 000 degrés et plus.

[Dominic:] Mais alors que je tombe et que j'entre dans ce portail et que je sens la chaleur, j'entends les cris ; c’était si accablant. Et à ce moment-là, quand je suis arrivé en bas, j'ai su que j'étais en enfer et que j'allais en enfer.

Mais une fois que j'ai passé le portail, tout ce dont je me souviens, c’est quand j'ai heurté… j'ai heurté le fond… je n'ai rien senti quand je l’ai heurté la première fois. Donc, j'essaie de penser, vous savez, je me demandais : « Est-ce le Seigneur qui a adouci le coup quand j’ai heurté la première fois ? » Mais en levant les yeux, j’ai eu l'impression de ne pas avoir de force. J'avais l'impression de ne pas avoir mangé depuis des mois. Je n'arrivais pas à respirer. C’était tout simplement horrible ! Un sentiment de néant.

Et puis, la seule chose qui me venait sans cesse à l'esprit (et je sais que le Seigneur l’a fait à dessein), c'était de penser à tout ce que je tenais pour acquis : le mouvement, un verre d'eau, le simple fait d'avoir la mobilité, de bouger mes bras librement, la capacité de respirer. Toutes ces choses qu’on tient pour acquises !

Cela me traversait l'esprit. Je savais que cela venait de Dieu. C'était comme : vous savez ! Et je savais que je les tenais pour acquises.

[Dominic:] Et là, la première chose que je vois… Vous voyez, il faisait sombre. J'essaie de me demander si le Seigneur faisait en sorte que je puisse voir, mais les flammes elles-mêmes émettaient si haut à partir de ces... comme ces cheminées des rochers.

Sa déclaration selon laquelle, en enfer, les flammes s'élèvent en éclats, correspond à diverses visions de l’enfer. Par exemple, Dritelme (qui a vu l'enfer) a déclaré :

Les enfants de Fatima ont reçu une vision de l’enfer donnée par la Sainte Vierge Marie le 13 juillet 1917, suivie par le célèbre miracle de Fatima le 13 octobre 1917. Dans leur vision de l’enfer, ils ont vu « les flammes qui sortaient de l’intérieur d’elles-mêmes, avec des nuages de fumée qui maintenant retombaient de tous côtés, comme des étincelles dans des grands incendies. » (La vision de l'enfer, Fatima, 13 juillet 1917).

Dominic décrit également l'enfer comme un lieu sur terre, mais dans une autre dimension.

[Dominic:] Et c’est une autre chose que j’aimerais ajouter. Je ne veux pas aller trop vite, mais il y a une chose que je veux ajouter. Pour une raison ou une autre, je savais que j'étais toujours ici sur terre ! Je savais que je n’étais pas dans l’espace. Je n’étais pas dans le sous espace. J’étais dans une autre dimension, mais j’étais toujours sur terre. Je le savais. Je savais que c’était ici sur terre.

Le Seigneur a raison ! L'enfer est un lieu sur terre. Les Écritures ont raison. C’est ici sur terre. C'est juste une autre dimension.

Cela correspond également à la vision des enfants de Fatima, qui ont vu l'Enfer lorsque des rayons de lumière semblaient pénétrer la terre.

[Dominic :] Alors, en regardant autour de moi, déjà je suis… mais je vois que les flammes s'élèvent ! On peut alors voir l’illumination des flammes. On peut voir. Et la première chose que j'ai remarquée, c’était ces êtres démoniaques ! Il s’agit des plus grotesques, des plus puants... Hollywood ne peut même pas reproduire l’apparence de ces êtres.

Ils sont tellement déformés. Ils avaient des jambes et des bras tordus. Ils avaient une allure reptilienne, une allure de reptile. Et leurs yeux brillaient d'un jaune éclatant. Certains d'entre eux avaient les yeux rouges. Certains d’entre eux mesuraient environ 3 mètres de haut. Certains étaient aussi grands que ça. Ils sont partout !

Il n’y a que des insectes ; il y a des araignées. Il y en a partout ! Mais ce qui a vraiment attiré mon attention, ce sont ces fosses partout, et ce démon a jeté un coup d’œil vers moi et s’est mis à rire. Mais au fond des fosses, il y avait tant des gens !

Ses descriptions de l’aspect horrible, grotesque et difforme des démons en enfer correspondent remarquablement à d’autres visions. Par exemple, selon la vision de Fatima :

Saint Jean Bosco, qui est mort en 1888, eut une célèbre vision de l’enfer. Il raconta y avoir vu un monstre hideux.

Par ailleurs, il y a la Vision de Tondale, un écrit populaire du Moyen-Âge. Il raconte l’histoire d'un chevalier irlandais qui tomba inconscient pendant trois jours, au cours desquels un ange guida son âme à travers le paradis et l’enfer, et il connut les tourments des damnés.

Tondale a également décrit les démons comme des créatures effrayantes et inconnues.

[Dominic :] Mais dans les fosses, il n'y avait que des gens, hein ? Oui, je veux dire, il n’y a que des gens. Je pensais qu'il n'y avait qu’une seule fosse, mais quand on regarde autour de soi et lorsque les flammes illuminent tout l’espace, il y a (je dirais) des centaines de milliers de fosses.

Et puis dans chaque fosse, il y a des milliers de personnes. Puis autour des fosses, il n’y a rien d’autre que ces choses grotesques, démoniaques, reptiliennes ou semblables à des reptiles, qui veillent à ce qu’ils ne sortent pas en rampant. C’était horrible.

Il y a des gens semblables à des squelettes. Je dirais même qu’ils ressemblent à des squelettes. Certains d’entre eux étaient des carcasses, mais en fait avec de la chair qui pendait… ce qui est incompréhensible pour certaines personnes, même en l'imaginant.

Mais ce que j'ai vu et les tortures que j’ai vues, c’est qu’on se régénère ! Si votre bras se détache, il repoussera tout de suite pour que vous puissiez être torturé à nouveau. C’est un lieu de pure torture. De la torture, tout à fait. Il n’y a pas de soulagement en enfer. Il n’y a rien.

[Dominic:] Je regardais ce démon qui mesurait environ 2,5 m. Il m'a regardé et a ri, puis tout ce dont je me souviens, c'est de ces milliers d’asticots ! Des vers. Et ils étaient épais, très épais. Ils sont aussi épais que des canettes de soda, hein. Ce ne sont pas des asticots ordinaires dans cette dimension. Ils sont épais et grands, et ils ont commencé à me ronger les pieds.

Et puis, une fois qu'il y en a eu quelques-uns, quand j'ai regardé en bas, il y en avait des centaines ! Ils ont commencé à former un monticule autour de moi, jusqu’à mes genoux.

Saint Jean Bosco, qui eut une vision de l’enfer, décrit quelque chose de similaire.

[Dominic:] Mais c’était le cadet de mes soucis, car j’ai senti qu’une main me prenait à l’arrière de la tête et qu’elle me projetait ! J’ai volé. Pendant que je volais, faut rappeler qu’on n’a pas d’énergie. On n’a rien, absolument rien. Quand j’étais couché, je n'ai pas pu me relever.

Mais je réalise maintenant, avec le recul, que le Seigneur était avec moi, parce que beaucoup de ces démons voulaient m’attaquer ! Ils voulaient me déchirer. Et je pouvais sentir leur haine. La haine qu’ils ont pour l'humanité. La haine qu'ils ont pour nous, c’est au-delà de tout ! C'est au-delà de tout. Et vous pouvez sentir qu'elle est ancienne. Et vous pouvez sentir qu'elle est puissante ! Il y a un pouvoir dans leur haine ! Elle est si puissante. Voilà... Bon… un moment s’il vous plaît.

Le chapitre 12 de l’Apocalypse parle de l'ancestrale guerre entre saint Michel et les anges déchus, après laquelle ces derniers (c'est-à-dire les démons) sont chassés du ciel. Dans l’épitre de Jean 8:44, le Seigneur Jésus-Christ qualifie Satan d’homicide dès le commencement. 

Satan est le plus ancien des meurtriers. La première épitre de Jean 3:15 établit un lien entre la haine et l’homicide. 

Les démons ont donc une haine ancestrale pour Dieu et l’humanité.

[Dominic :] La haine qu'ils ont pour l'humanité, la haine qu'ils ont pour nous, c’est au-delà de tout ! C'est incroyable. Et vous pouvez sentir qu’elle est ancienne. Et vous pouvez sentir qu’elle est puissante. Il y a un pouvoir dans leur haine...

Gang Member Was Shot Twice & Died For 3:47 – Near Death Experience (JeffMara Podcast)

J'essaie toujours de faire comprendre aux gens que la haine que ces êtres démoniaques ont envers nous est si puissante, la haine à elle seule ! … Et c’est ainsi que je sais que quelque chose la retient. Même ici sur terre, quand ils nous harcèlent et nous terrorisent, il doit y avoir une sorte de bouclier qui retient cette haine. Parce que la seule vibration de la haine est si puissante. Elle est ancienne ! Elle est puissante ! Elle est sombre ! C'est saisissant ! Ils nous haïssent ! Mais tout d'un coup, j'ai vu comme des fosses.

[Dominic :] La seule façon que j’ai de voir, c’est grâce à l'éclairage de ces fosses flamboyant. Elles éclataient comme de petites fournaises (et c'est ainsi que je pouvais voir). Mais ce qui m'a le plus terrifié, c’est qu'alors que j'étais allongé là, les fosses (lorsqu’elles éclairaient l'espace dans lequel je me trouvais), j'ai regardé ! On a vu… nan mais vraiment des milliers quoi ! Des fosses à perte de vue, et il y avait des gens dans ces fosses. Certains étaient squelettiques. D'autres avaient de la chair qui pendait d’eux, et ils étaient comme dans des mares de lave.

Mais quand j'ai vraiment regardé, il y avait des démons, des créatures, des choses qui ressemblaient à des reptiles. Certains d'entre eux étaient énormes ! Je dirais même qu'ils mesuraient 4 m ou 3,5 m. D'autres étaient petits. Certains mesuraient un mètre de haut. Ils étaient tellement grotesques. Et il y en avait tellement debout autour des fosses.

Pendant que les gens essayaient de s'extirper des fosses, ils les y rejetaient ! Ils avaient des outils rouillés et... tout a l'air ancien là aussi, en ce qui concerne les outils qu'ils utilisaient. Je vais bientôt en parler. Mais ils essayaient de sortir et ils les renvoyaient à coups de pied. Ils riaient et jetaient ces gens dans ces fosses ! Je veux dire, à perte de vue. Il y avait des gens qui criaient et hurlaient d'horreur ! C'est indescriptible... Et c'est à ce moment-là, je crois que le Seigneur m'a montré que c’était l’intégralité de cette section de l’enfer.

Parce que l’enfer a des sections. Je vais bientôt l’expliquer. Il y a de nombreuses sections. Il a été éclairé pour moi de façon à ce que je puisse tout voir. Et quand je vous le dis, les tortures ! Les, les… Ouah ! C’est carrément au-delà de votre imagination.

Son affirmation selon laquelle l’enfer a des sections correspond à la vision de saint Jean Bosco dans laquelle il a vu : « ... un millier de portails intérieurs s’ouvrent en un instant dans une clameur assourdissante... » (St Jean Bosco, Vision de l'enfer, 19^e siècle)

[Dominic :] Une chose que j’ai remarquée quand on est en enfer et quand on est dans l'éternité dans un corps spirituel, vous pouvez regarder une personne en enfer et vous savez pourquoi elle est là. Vous savez instantanément ; vous savez pourquoi cette personne est là. J'ai vu des gens y aller pour ne pas avoir pardonné. J'ai vu des gens qui pensaient être les meilleurs de l'église et qui disaient : « Pourquoi m'avez-vous fait ça ? »

J'y ai vu des pasteurs. J'ai même vu des adolescents… des préados… en enfer. J'ai vu beaucoup de gens qui pensaient faire ce qu'il fallait, mais qui… non !

Comme, par exemple, la première dame que j'ai vue se faire torturer individuellement (pas les gens qui étaient dans les fosses). Il y avait deux démons qui riaient, ces choses reptiliennes. Ils tenaient sa bouche, et ils l'ont étirée si loin en arrière, comme pour lui déchirer la mâchoire. Ils lui versaient de la lave dans la gorge et lui plantaient des lances et des poignards rouillés d’apparence ancienne dans la gorge.

Et ils recevaient un coup de pied et… c'était horrible ! Mais le fait est qu'elle se transformait en squelette, qu'elle se brisait et qu'elle se revitalisait ensuite ! Et ils recommençaient ! Et encore. Et encore. Et ils se relayaient. Ils invitaient d’autres esprits démoniaques.

Ils riaient. Ils s'amusaient à torturer cette femme. Et quand j'ai regardé (et j’ai vraiment su que ce devait être le Seigneur), j’ai déjà su pourquoi elle était là. Elle était là non seulement parce que c’était une commère. Elle faisait des commérages sur les gens. Elle a fait basculer la vie de beaucoup de gens à cause de sa langue et elle était alcoolique.

En ce qui concerne les commères et les calomniateurs, le livre de l’Exode 23:1 déclare :

Exode 23:1 - « Tu n’accueilleras pas une parole de mensonge, et tu ne prêteras pas ta main de manière à dire en faveur de l’impie un faux témoignage. »

En ce qui concerne les ivrognes et les autres personnes qui meurent en état de péché mortel, la 1^ère épitre aux Corinthiens, chapitre 6 dit :

Il s’agit de la révélation divine.

Dominique décrit également les fornicateurs et ceux qui regardent de la pornographie, ceux qui se masturbent, commettent l'adultère et d’autres péchés sexuels, qui traversent l’étang de feu de l'enfer.

[Dominic:] Et il y avait une chose en enfer que j'ai commencé à remarquer, parce que les gens commettent beaucoup de péchés sur un large spectre. Mais celui qui ressort le plus est celui… pour lequel vous allez entrer en enfer. Disons qu’une personne a des mœurs légères. Et là, ça c’est une autre chose : je vais rester non explicite. Mais j'ai vu une jeune femme en enfer. Des démons se relayaient littéralement pour avoir des rapports sexuels avec cette femme.

Et quand je dis qu'il ne s’agit pas de rapports sexuels normaux, cela dépasse l’entendement. Je ne peux pas en dire plus pour le décrire. Tout ce que je peux dire, c’est qu’elle avait des mœurs très légères lorsqu’elle était sur cette terre, et qu'ils la torturaient d’une manière que vous ne pouvez même pas imaginer...

Mais le fleuve de lave a commencé à s'accélérer et il a commencé à arriver si vite… et de plus en plus. On en voit de plus en plus ! Et on entend les voix, les voix ! Et elles commencent à passer, elles passent ! Immédiatement, j'ai su ce que ces gens faisaient. Ces gens étaient ceux qui avaient été torturés : les fornicateurs, hein ? Les fornicateurs !

Et j'ai vu la torture des femmes aux mœurs légères et d'autres choses encore. Ce sont tous des fornicateurs. Il y a tout un fleuve. C'était tout un fleuve de lave qui coulait en enfer avec ces gens qui forniquaient, qui trompaient leur conjoint, qui se masturbaient, qui regardaient du porno, voyez ? Des gens qui s'attaquent sexuellement aux petits enfants.

Ils les ont fait défiler et cela a traversé l'enfer. C’est comme un défilé de ces pervers sexuels qui traversent l’enfer... Les plus gros péchés que vous avez… parce que, comme je l'ai dit, tout le monde pèche sur un spectre différent et vous pensez que ce n'est rien. Non, tout compte ! Tout compte. Et ce n’est pas [seulement] Dieu, notre Père, qui est là-haut en train de faire une liste de vous. La Bible dit aussi que la chair témoignera contre elle-même. Alors, les gens, c'est réel ! Votre chair témoigne contre vous : vos désirs charnels.

C’est pourquoi Il nous dit toujours de ne pas plaire à notre propre chair car nous allons nous y mettre nous-mêmes ! Le Seigneur pleure ! Le cœur du Seigneur souffre pour nous, pour chacun d'entre nous qui va en enfer. Il ne veut pas cela. Il ne veut pas du tout cela pour nous. Il est vraiment déchiré de nous voir dans cette situation difficile.

Mais, malheureusement, c’est le retour aux tortures. Ce n’était qu'une section. Et je me suis dit que c'était stupéfiant ! Ce n’était qu'une section avec les fosses. Alors, j’ai pensé que... Non, non, non. Et je pense que le Seigneur était avec moi. Je ne sais pas si quelqu'un a déjà fait un rêve dans lequel vous ne pouviez pas voir le visage de la personne, mais vous savez que quelqu'un était là, debout avec vous ? Je sais que le Seigneur était avec moi, mais je ne l'ai jamais vu. Mais je savais que c'était lui qui me dirigeait et me protégeait, parce que ces êtres voulaient me manger et me déchirer.

Mais la deuxième chose dont je me souviens, c’est une autre partie de l’enfer. Et c’est une autre chose, quand vous vous déplacez en enfer, il n'y a pas vraiment de marche. Quand Il vous montre, c'est comme si c'était instantané. C'est comme la téléportation. Quand je me suis téléporté dans cette autre partie de l'enfer, j'ai vu ces cellules.

Et j’ai grandi dans les gratte-ciel, dans le centre-ville de Chicago. J'ai grandi au 16^e étage et ces choses étaient plus hautes que cela ! Ces choses devaient faire plus de 100 mètres et il y en avait une rangée. À perte de vue, en regardant vers le haut. Ce sont de vieilles cellules à barreaux, et il y a des gens dedans. Il y a des gens dedans. Certains ressemblent à des squelettes. Certains d'entre eux ont été brûlés jusqu'à la moelle ! Ils maudissent Dieu et sont très en colère, très en colère d'être là.

Il n’y avait pas de repentir. Il n’y avait pas de demande d'une autre chance. Ce sont ceux qui étaient simplement très en colère contre Notre-Seigneur. Ils étaient très en colère. Certains d'entre eux ont même commencé à ressembler à des reptiles, à cause de la haine qui émanait d'eux.

Concernant les gens qui maudissent Dieu et les saints, saint Jean Bosco (quand il a vu l’enfer) a : « entendu des cris et des sanglots, des blasphèmes et des imprécations contre les saints. Il s’agissait d’un tumulte de voix et de cris, stridents et confus. » (Saint Jean Bosco, Vision de l'enfer, 19^e siècle )

[Dominic :] Et j’ai aussi remarqué que certains d'entre eux étaient là depuis des milliers d'années ! Vous voyez, c’est ça le problème. Les gens ne comprennent pas. Le temps n'existe pas dans l'éternité. Il n'existe pas. L'horloge s'arrête ! Et je m’en suis rendu compte. J'ai vu des gens qui étaient là depuis 2 000 ans - 4 000 ans !

Vous percevez l'ancienneté. J'ai vu toutes sortes de langues. Il ne fait aucune discrimination. Le diable ne fait aucune discrimination ! Le but est de vous amener là ! C'est tout.

C'est en voyant ces cellules que j'ai réalisé quelque chose. J'ai vu que la plupart des personnes qui se trouvaient dans ces cellules s'adonnaient à la sorcellerie. Ceux qui s'adonnaient à la Santeria. Ceux qui s'adonnaient à toutes sortes de jeux de tarot. Ceux qui voulaient connaître l'avenir par l'astrologie.

Je le sais, comme je vous l'ai dit. Une fois que vous y allez, vous savez ! Il suffit de regarder une personne pour savoir pourquoi elle est là. Et surtout, j'ai vu qu'il y avait quelque chose de particulier avec ces gens dans ces cellules. Il s’agit des gens qui adorent d’autres dieux, ou les doctrines des démons, ce dont il est aussi question dans les Écritures.

Ce qui est terrifiant, c’est que j'ai malheureusement été confrontée à la Santeria en grandissant. Ils vous promettent tout, matériellement parlant. Mais ce qu'ils ne vous disent pas, c’est qu'une fois que vous vénérez ces démons (maintenant je sais qui ils sont, avant je ne le savais pas), ils vous font croire qu’ils sont positifs, ils sont bons, Ils sont là pour aider l’humanité, les neuf principautés, et ils vous donneront toutes les richesses que vous voulez, si vous faites ces rituels et d'autres choses…

Mais vous ne vous rendez pas compte que vous leur devez quelque chose ! Et ce que vous leur devez est au-delà de cette terre ! Vous aurez une place. Ils ont une place qui vous attend. Cela me rappelle les gens qui disent : « Eh bien, je ne connaissais pas la loi. Je ne savais pas. » Mais si vous allez au tribunal, vous irez quand même en prison. L’ignorance n'est pas un moyen de s'en sortir.

Je vous dis simplement de faire attention à ce que vous faites ! Faites attention à ce que vous donnez, parce que les médiums et toutes choses de ce genre vont certainement vous dire exprès des choses correctes ! On les appelle des « esprits familiers », ceux que j'ai vus monter et descendre de l'enfer. J'y reviendrai aussi. Mais attention, hein, les gars, si vous jouez avec la sorcellerie et l'astrologie – ou tout chose de cette nature – parce qu’ils ont une place particulière pour vous en enfer.

Et aussi, le Seigneur m'a dit que cet endroit grandit chaque jour ! Il grandit à chaque seconde, en fait. C'est comme si l'enfer était vivant ! C'est un lieu, c'est une dimension qui est vivante ! On peut même sentir le sol de l'enfer. Il se déplace par vagues. C'est comme une vague ! On peux la sentir sous les pieds.

C'est un peu comme la respiration, mais je ne considérerais pas cela comme de la respiration. Mais il y avait une composante, comme dans l'obscurité. C'était vivant !

Sainte Thérèse d'Avila, morte en 1582, a eu une brève vision de l'enfer. Elle a écrit :

[Dominic:] Il y avait des pierres sortant de la fosse ! Et elles étaient si chaudes qu’elles devenaient blanches. C’est super chaud. Oranges ! Blanches ! Et elles ont commencé à sortir !

Sa description des roches chaudes et blanches qui sortent de la fosse correspond à la vision de saint Jean Bosco :

[Dominic:] Mais alors que je tombe et que je vois ce portail, il ressemble à une vieille grotte… comme si j'entrais dans un vieux système de grottes.

Dominic décrit comment les démons torturent les âmes damnées, ce qui correspond également aux visions de Dritelme et de saint Jean Bosco. La vision de Dritelme relate :

Dominic décrit les bruits constants et horribles de l’enfer.

[Dominic :] Mais juste entendre le rugissement. Et ça soulevait les charbons ardents et les pierres. Et les démons venaient, et ils traînaient les gens avec ces charbons ardents et ces pierres et ils les leur fourraient dans le visage. Et ça a fait, « ohhh », vous pouviez entendre l'étouffement. Ils ont fait, « ohhh » ; ça leur a fait fondre tout le visage.

La torture nourrit ces démons, donc plus ils peuvent vous torturer de manière grotesque, plus ils ont de pouvoir ! Ils en tirent de la nourriture ! Ils se défoncent en torturant ! Ils se délectent de votre misère et de votre douleur. C'est leur nourriture ! Ils deviennent donc très créatifs en vous torturant, et il n'y a pas de négociation. J’entends beaucoup de : « S'il vous plaît ! Arrêtez ! »  J'entends beaucoup de regrets.

Et tout le bruit que j’entends, c’est juste que du bruit ! Il ne s'est jamais arrêté. C’est sans arrêt ! Et c'est juste des cris, des cris et des cris !

Cela correspond à la vision de Tondale, qui décrit ce qui suit : « ... tant hideux était le bruit de l’enfer... » (Vision de Tondale, 12^e siècle).

[Dominic:] Mais quand ils parlent entre eux et qu'ils rient, on peut clairement entendre et comprendre ce qu'ils disent, beaucoup d'entre eux riaient et nous traitaient d’imbéciles. Ils riaient et nous traitaient d’abrutis ! Naïfs ! Ignorants ! Simplets !

Le nom qu'ils nous donnent, c'était dans leur langue, mais on pouvait quand même le comprendre. Mais quand ils parlent, ça te fait mal ! On sent - on peut sentir la douleur. C'est pourquoi je n'aime pas jurer. C'est pour cela qu'on appelle ça un juron !

Vous voyez, toutes ces choses viennent de l'enfer, et les gens doivent s'en rendre compte. Nous sommes nés dans une guerre spirituelle, et beaucoup de choses que nous pensons être petites sont vraiment énormes ! Beaucoup de ces choses viennent de l'enfer.

Tout comme j'ai remarqué la façon dont certaines de ces choses marchaient. Ils sont très déformés. Certains de ces démons sont tellement grotesques qu'Hollywood ne peut pas leur rendre justice. Hollywood ne peut pas reproduire l'apparence de certaines de ces choses, la façon dont elles sentent, parlent, font du bruit. Et certains d’entre eux marchent - leurs jambes sont tellement déformées ; certains d'entre eux ressemblent à des animaux, à des choses hybrides, mais leurs jambes sont tordues sur le côté.

[Dominic :] Certains d'entre eux n'ont pas de jambes normales. Certaines de leurs jambes sont encore en arrière - avec un abdomen en avant ! Mais leurs fesses sont devant eux. Ainsi, lorsqu'ils marchent, ils ont l'air très effrayants. C’est bizarre. Et j’ai remarqué certaines des danses que ces gens pratiquent ; ces danses modernes qu'ils pratiquent de nos jours. C’est comme ça qu'ils marchent !

Beaucoup – c’est difficile à expliquer. Je le sais.  C’est pourquoi je dis : « Ça, ça vient de l’enfer. »  Quand je vois certaines vidéos, ou que je regarde certaines personnes, la façon dont elles bougent et dansent. C'est de la même manière dont certaines de ces choses démoniaques marchent et glissent. C’est effrayant ! C’est au-delà ; c’est au-delà de toute explication.

Son témoignage selon lequel les démons rient en torturant les âmes damnées correspond à la vision de Dritelme.

Il a également déclaré, comme nous l’avons cité :

Vision de Dritelme (696 ap. J.-C.), St. Bède, Histoire ecclésiastique :
« Au fur et à mesure qu’ils s'enfonçaient, je ne pouvais plus distinguer les lamentations des hommes et les rires des démons… »

Il décrit le fleuve ou l’étang de feu de l'enfer qui, bien sûr, est également mentionné dans les Écritures.

[Dominic :] Mais là, c'est de la lave qui coule partout. Et d'après ce que je sais maintenant, ça coule… C’est comme un fleuve en enfer ! Il s’agit d’un fleuve en enfer qui coule de part en part et qui passe à travers. Et il y a des tas de gens qui suivent le courant, qui suivent ce courant en enfer.

Il décrit le profond regret qui règne en enfer.

[Dominic :] Ça parle ! Ça crie ! Des tonnes de regrets ! C'est la seule chose que je veux que les gens sachent. Occupez-vous de tout ce dont vous devez vous occuper maintenant, parce qu'en enfer, j'entendais surtout des regrets. Certains demandaient une minute pour revenir sur terre. Cinq minutes.

« Donnez-moi une dernière chance ! » « Je veux faire les choses correctement cette fois-ci ! S'il vous plaît ! » C'est tout ce que vous entendez. Tout ce que vous entendez, ce sont des regrets. C'est tout ! Et les regrets et la douleur sont si grands, rien que d'entendre les regrets - ça fait mal.

Nous croyons que Dominique, qui, de son propre aveu, a vécu une mauvaise vie, a reçu la grâce spéciale de voir l’enfer, afin que lui et d'autres puissent en bénéficier.

Cependant, certains font erreur en pensant qu’ayant reçu une grâce spéciale pour reconnaître certaines vérités ou pour changer d’une certaine manière, qu’ils se trouvent soudain là où ils doivent être ou qu'ils comprennent tout ce qui concerne le christianisme.

Non, ce n’est pas parce qu'il a eu la grâce de voir ce qu'est l'enfer qu'il comprend tout du christianisme ou de l’enfer.

Il doit plutôt, en toute humilité, rechercher la pleine vérité qui se trouve dans le vrai catholicisme traditionnel, comme l’explique notre travail. C'est ça, ce qui est nécessaire au salut.

Les gens devraient consulter notre site internet vaticancatholique.com et nos vidéos pour obtenir des informations sur ce qu’il faut savoir et faire pour être sauvés.

Nous recommandons également aux gens, s'ils  sont en mesure de le faire, de prier 15 dizaines du Rosaire chaque jour, et l'Ave Maria fréquemment.

[Dominic:] Mais une fois que vous avez franchi ces portes, C’EST FINI !  LA SENTENCE EST PRONONCÉE !

Notes :

[1] L’esprit de sainte Thérèse, recueilli par M. Émery, sup. gén. de Saint-Sulpice, T. Ier, Besançon, 1835, chap. XV, pp. 34-35.