Vatican II est une nouvelle religion (preuve visuelle)
9 novembre 2022
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Frère Peter Dimond, O.S.B. 

Il y a de nombreuses hérésies dans Vatican II.  Cette vidéo va se concentrer sur l'une d'entre elles qui est très répandue et très visible dans la secte Vatican II.  Comme le prouve notre travail, la secte Vatican II n'est pas l'Église catholique, mais la Contre-Église prophétisée de la fin des temps. Au numéro 8 du décret de Vatican II sur l'œcuménisme, nous lisons :

Vatican II, Unitatis redintegratio (décret sur l'œcuménisme), n° 8 :
« En certaines circonstances particulières, par exemple lors des prières prévues "pour l'unité", et lors des réunions œcuméniques, il est permis, bien plus il est souhaitable, que les catholiques s’associent pour prier avec les frères séparés. »

Ce passage de Vatican II approuve les rencontres dites œcuméniques avec les hérétiques et les schismatiques, comme les protestants et les « orthodoxes » orientaux, et il approuve la prière commune avec eux lors de ces rencontres.  Ceci est directement contraire à ce qu’a toujours enseigné l'Église catholique, comme nous allons le voir.  Cet enseignement de Vatican II est mauvais et hérétique.

Dans son encyclique de 1928, Mortalium Animos, le pape Pie XI condamne les rencontres dites interreligieuses et déclare que l'opinion sur laquelle elles s’appuient équivaut à l'apostasie.

Pape Pie XI, Mortalium animos, 6 janvier 1928 :
« En conséquence, ils tiennent des congrès, des réunions, des conférences fréquentés par un nombre assez considérable d'auditeurs ; ils invitent aux discussions tous les hommes indistinctement, les infidèles de toute catégorie, les fidèles du ChristDe pareils efforts n'ont aucun droit à l'approbation des catholiques, car ils s'appuient sur cette opinion erronée que toutes les religions sont plus ou moins bonnes et louables… Outre qu'ils s'égarent en pleine erreur, les tenants de cette opinion repoussent du même coup la religion vraie ; ils en faussent la notionIl est donc parfaitement évident que c'est abandonner entièrement la religion divinement révélée que de se joindre aux partisans et aux propagateurs de pareilles doctrines. »

Dans cette encyclique, il a également enseigné :

Pape Pie XI, Mortalium animos, 6 janvier 1928 :
« Ainsi comprend-on pourquoi, Vénérables Frères, ce Siège Apostolique n'a jamais permis à ses fidèles d’assister aux réunions des non-catholiques... »

Comme nous pouvons le voir, l'Église catholique n'a jamais permis aux catholiques de prendre part aux réunions ou assemblées de non-catholiques.  Assister ou prendre part activement à un culte non catholique, c’est commettre un péché mortel et une violation du droit divin. Ce principe de droit divin a également été repris dans le Code de droit canonique de 1917. Le canon 1258.1 stipule :

Canon 1258.1, Code de droit canonique de 1917 :

"Haud licitum est fidelibus quovis modo active assistere seu partem habere in sacris acatholicorum.”

« Il n'est pas licite aux fidèles d'assister activement ou de prendre part, sous quelque forme que ce soit, aux rites sacrés non-catholiques. »

Il est important de comprendre pourquoi cette activité est interdite et ce qui constitue une participation active aux rites religieux des non-catholiques.  Une raison principale pour laquelle beaucoup ne voient pas clairement ce que représente la crise post-Vatican II et ce que sont ses faux leaders (c'est-à-dire des antipapes hérétiques), c’est qu'ils n'ont pas une foi pure et une compréhension fondamentale des principes catholiques pertinents.

Avant de poursuivre, il faut noter que cette vidéo traite de la participation active à un culte non catholique, ou du fait de se joindre à une prière ou un culte non catholique, ce qui est toujours interdit.  Dans cette vidéo, nous ne traitons pas des mariages mixtes (qui étaient découragés mais tolérés à l'occasion), ou du fait de recevoir un sacrement d'un non-catholique en danger de mort, et d'autres choses similaires. Ces types de communication ne constituaient pas une participation active au culte non-catholique, ce qui n'est jamais autorisé. Ne vous laissez donc pas tromper par les défenseurs malhonnêtes de Vatican II qui embrouillent parfois les gens en évoquant les types de communication avec les non-catholiques précédemment mentionnés qui étaient parfois autorisés dans l'histoire de l'Église, comme s'ils fournissaient un précédent ou une justification pour le faux enseignement de la secte Vatican II sur la participation active au culte non-catholique, alors que ce n'est pas du tout le cas.

En couvrant brièvement les principes qui s’appliquent à cette question, je veux citer une dissertation d'avant Vatican II du canoniste père Ignace Szal.  Elle a été publiée en 1948 par la Catholic University of America Press et avec un Imprimatur. Nous ne sommes pas d'accord avec tout ce qu'il dit dans ce livre, mais il soulève de nombreux points intéressants et présente des faits pertinents pour articuler ce qui est toujours enseigné par l'Église catholique, selon lequel il est interdit de participer sous quelque forme que ce soit à un culte non catholique. 

Dans les passages suivants, il traite principalement de la communicatio in sacris, c'est-à-dire la communication dans les choses sacrées avec les schismatiques, comme les dissidents orientaux ou les « orthodoxes » orientaux. Mais ce qu'il dit s'applique aux protestants, aux juifs, aux musulmans, etc.

Père Ignace Szal, The Communication of Catholics with Schismatics, Imprimatur 1948, pp. 43-46:

« La participation religieuse active avec des schismatiques est toujours intrinsèquement illicite.  Les raisons de cette interdiction absolue du canon 1258.1 sont issues du droit divin naturel et positif.  Ces raisons sont : 1) l'Église est la seule de jure société religieuse véritable existant dans laquelle il est licite de rendre à Dieu le culte qui lui est dû ; 2) il faut éviter d’occasionner du scandale par une quasi-approbation à une fausse secte ; et 3) le danger de perversion de la vraie foi doit rester efficacement neutralisé.

En conséquence de la première raison, il est illicite d'assister activement ou de prendre part à toutes les formes de culte réalisé par les non-catholiques... Les actes de culte religieux accomplis par les sectes schismatiques sont des actes de culte superstitieux et sont par conséquent illicites.  Cela découle de la nature de la superstition, qui désigne soit le culte d'une fausse divinité, soit le culte illégal de la vraie divinité... Les ministres ne sont pas autorisés à accomplir les rites sacrés... Tout type de communication religieuse active avec des non-catholiques est gravement illicite... De même qu'il est interdit de professer ouvertement sa croyance en une fausse secte, de même aussi il est interdit de faire des actions ayant une signification religieuse qui sont employées dans les cérémonies religieuses sacrées d'une fausse secte. »

Comme nous pouvons le voir, diverses raisons rendent gravement illicite la participation active à un culte non catholique. Une telle communication religieuse active est contraire au droit divin et équivaut à une fausse profession de foi, car elle fait associer quelqu’un à un culte superstitieux ou illicite.  Elle donne la fausse impression qu’on approuve le non-catholique dans l'exercice d'un culte illicite ou faux, et une telle communication est presque toujours accompagnée du péché supplémentaire, c’est-à-dire du scandale. Avec ces points à l'esprit, une personne attentive devrait immédiatement reconnaître ce que cela signifie pour la secte Vatican II et son faux œcuménisme rampant.

Comme illustration de la gravité de la situation, selon le canon 2316 du Code de droit canonique de 1917, le fait de s'engager dans un seul de ces actes de participation active avec des hérétiques, ou d'aider sciemment à la propagation de l'hérésie, rend une personne formellement suspecte d'hérésie, et si cette personne ignore les avertissements, dans les six mois elle sera considérée comme hérétique. Mais une personne n'a pas besoin de recevoir ou d'ignorer les avertissements canoniques pour devenir un hérétique notoire sur ce point ou d'autres.  À force de s’engager dans un culte non catholique contre l'enseignement catholique, une personne qui approuve une telle activité par des actions répétées et/ou son enseignement public, comme le font les représentants de la secte Vatican II, cette personne est un hérétique notoire  (notoire en fait).

La loi de l'Église catholique sur cette question concerne les actes publics de culte non catholique, et c'est ce dont nous discutons dans cette vidéo.

Nous allons donner quelques exemples spécifiques de ce qui constitue une participation active à un culte non catholique. Lorsque des non-catholiques dirigent une prière ou un culte public, les éléments suivants et d'autres constituent une participation active condamnée : se joindre à leurs prières ; les bénir ou donner des bénédictions conjointes avec eux ; répondre à leurs prières ; chanter avec eux ou chanter alternativement  avec eux ; leur donner des objets tels que des bougies, etc. qu'ils utilisent pour le culte ou recevoir d'eux des objets similaires ; jouer de l'orgue ou d'un instrument de musique pour leur culte ; participer à leurs lectures des Écritures ; porter des icônes à leur culte ou lieu de culte ; allumer des lampes pendant leur culte ou dans leur lieu de culte ; et bien d'autres choses similaires.

Toutes ces choses ont été condamnées par l'Église. Il y a tellement de réponses des congrégations romaines interdisant toutes ces activités, que si l'on devait les citer toutes, cette vidéo deviendrait très longue. Je vais simplement citer quelques passages du père Ignace Szal à propos de quelques-unes de ces déclarations afin que les gens aient une idée de la façon dont la participation active à des prières ou des cultes non catholiques a été condamnée.

« Dans les Actes de la sacrée congrégation pour la propagation de la foi de 1769 se trouve également une exhortation qui demandait aux évêques d'interdire à leurs prêtres et aux fidèles de communiquer avec les schismatiques dans leurs prières.  L'exhortation précisait que cette interdiction avait été décrétée par tous les saints conciles. » (Père Ignace Szal, The Communication of Catholics with Schismatics, Imprimatur 1948, p. 137)

Selon la déclaration du Saint-Office du 7 août 1704 : « Il était interdit aux catholiques d'assister aux messes et aux prières publiques officielles des schismatiques, même si ces prières ne contenaient rien de contraire à la foi ou d'opposé au rite catholique. » (Père Ignace Szal, p. 136)

« Le 5 décembre 1668, le Saint-Office chargea l'évêque de Trebinje d'ordonner aux catholiques qui lui étaient soumis de ne pas se rendre à la messe ou aux autres offices divins dans les églises des schismatiques, et de les avertir qu'ils n'étaient pas tenus par le précepte d'entendre la messe lorsqu'il n'y avait pas de célébration de messe catholique. » (Père Ignace Szal, p. 81)

Selon une réponse du Saint-Office datée du 13 janvier 1818, entrer dans les églises des hérétiques est devenu un mal : « 1) si l'on est entré avec l'intention d'assister à des rites hérétiques ; 2) si son entrée a effectivement ou même apparemment impliqué une communicatio in divinis avec des hérétiques et a par conséquent offert une occasion de scandale... » (Père Ignace Szal, p. 130)

De nombreuses autres déclarations interdisaient tout type d'activité impliquant ou signifiant une participation à un culte non-catholique.  On peut également citer diverses déclarations émanant spécifiquement de papes.

Pape Pie IX, Neminem vestrum, 2 février 1854 :
« … Nous voulons que vous sachiez que ces moines nous ont envoyé … une ample profession et déclaration de la doctrine et de la foi catholique, qui a été pour Nous la source d’une très grande consolation... Non seulement ils font de tout cœur, et en paroles précises profession de recevoir tous les ordres et tous les décrets émanés ou à émaner des Pontifes romains et des Sacrées Congrégations, spécialement ceux qui défendent la communicatio in divinis [la communication dans des choses divines] avec les schismatiques... »

De même, concernant les « vieux catholiques » qui étaient des hérétiques et des schismatiques ayant rejeté la définition dogmatique de l'infaillibilité papale de Vatican I, le pape Pie IX a déclaré :

Pape Pie IX, Graves ac diuturnae, 23 mars 1875 :
« Qu’ils [les fidèles] fuient leurs cérémonies religieuses, leurs instructions, leurs chaires de pestilence qu'ils ont l’audace de dresser pour trahir les doctrines sacrées… »

Les actes de communion avec des hérétiques ont été dénoncés au IVe concile de Constantinople.

IVe concile de Constantinople (869-870), Sess. 8, les légats romains : « Anathème à tous les hérétiques !... Anathème à tous ceux qui communiquent sciemment avec ceux qui insultent et déshonorent les vénérables images ! Anathème à celui qui dit que c'était quelqu'un à part Christ notre Dieu, qui nous a secourus des idoles ! Anathème à ceux qui osent dire que l'Église catholique acceptat jamis des idoles ! »

Dans son encyclique Caritas de 1791, le pape Pie VI a parlé des prêtres qui s'étaient séparés de l'Église en acceptant le document hérétique, c.-à-d., la Constitution civile du clergé en France. Le pape a déclaré :

Pape Pie VI, Caritas, 13 avril 1791 :
« … éloignez de vous tous les usurpateurs… n’ayez rien de commun avec eux, surtout dans l’exercice de la religion. »

Dans son encyclique de 1880, Arcanum, le pape Léon XIII a également mis en garde contre « l'association et la communication défendues dans des pratiques religieuses » (vetitae societati et communicationi rerum sacrarum) avec les non-catholiques.

Or le passage de Vatican II comme nous avons cité approuve la participation active à des cultes non catholiques (que l'Église catholique condamne entièrement, comme nous l'avons vu) parce qu’il s’agit ici du fait de se joindre à des prières avec des non-catholiques lors de réunions dites œcuméniques au cours desquelles des non-catholiques dirigent des prières et des cultes publics selon leurs rites et leurs sectes non catholiques.  Ainsi, l'enseignement de Vatican II est indéfendable, mauvais, et hérétique.  Il a préparé le terrain pour le faux œcuménisme en série qui est embrassé, enseigné et illustré par les antipapes de Vatican II et dans les « diocèses » du monde entier.  En bref, les points dont nous discutons prouvent que le faux œcuménisme de Vatican II est une hérésie notoire et que quiconque le défend est un hérétique et un faux enseignant qui conduit les gens au péché mortel.

Le faux enseignement de Vatican II sur la prière et le culte en commun avec les non-catholiques a été avalisé par de nombreuses déclarations ultérieures des antipapes, notamment : le nouveau catéchisme de l'antipape Jean-Paul II paragraphe 1399 ; sa première encyclique Redemptor Hominis n° 6, son encyclique Ut unum sint n° 21 et suivant ; le Directoire pour l’application des principes et des normes sur l'œcuménisme ; et bien plus encore. 

Jean-Paul II, Redemptor hominis, n° 6, 4 mars 1979 :
« Même si c'est d'une autre manière et avec les différences qui s'imposent, il faut appliquer les réflexions précédentes à l'activité qui tend au rapprochement avec les représentants des religions non chrétiennes et qui s'exprime par le dialogue, les contacts, la prière en commun [simul orando]... »

Dans Ut unum sint, l'antipape Jean-Paul II n’arrête pas de recommander et d'enseigner la chose même qu’a toujours condamnée l'Église catholique, à savoir le culte en commun avec les non-catholiques.

Jean-Paul II, Ut unum sint, n° 21, 25 mai 1995 : 
« Cet amour trouve son expression la plus accomplie dans la prière commune. Quand les frères qui ne sont pas dans une parfaite communion se réunissent pour prier, le Concile Vatican II définit leur prière comme l'âme de tout le mouvement œcuménique... Même lorsqu'on ne prie pas formellement pour l'unité des chrétiens, mais à d'autres intentions comme, par exemple, la paix, la prière devient en soi une expression et une confirmation de l'unité. La prière commune des chrétiens invite le Christ lui-même à visiter la communauté de ceux qui l'implorent: “Que deux ou trois soient réunis en mon nom, je suis là au milieu d'eux” (Mt 18, 20). »

Jean-Paul II, Ut unum sint, n° 22, 25 mai 1995 : 
« Sur la route œcuménique de l'unité, la priorité revient certainement à la prière commune, à l'union orante de ceux qui se rassemblent autour du Christ lui-même. Si, malgré leurs divisions, les chrétiens savent toujours plus s'unir dans une prière commune autour du Christ, alors se développera leur conscience des limites de ce qui les divise en comparaison de ce qui les unit. »

Le Directoire pour l'application des principes et des normes sur l'œcuménisme promulgué en 1993 par Jean-Paul II et le Conseil pour la promotion de l'unité des chrétiens est l'un des documents les plus stupéfiants qu’ait produit la contre-église Vatican II.  Il s'agit essentiellement d'un manuel sur la manière de commettre des péchés contre la foi.  Il recommande explicitement les actions mêmes qui ont été spécifiquement condamnées par l'Église.

Le Directoire pour l'application des principes et des normes sur l'œcuménisme n° 118 :
« Dans les célébrations liturgiques ayant lieu dans d'autres Églises et Communautés ecclésiales, il est conseillé aux catholiques de participer aux psaumes, répons, hymnes et gestes communs de l'Église dont ils sont les invités. Si leurs hôtes le leur proposent, ils peuvent lire une lecture ou prêcher. »

Comme nous l'avons vu, ceci est condamné par l'enseignement catholique. 

Le Directoire pour l'application des principes et des normes sur l'œcuménisme, n° 50 : « Puisque le souci de rétablir l'unité des chrétiens concerne toute l'Église, clergé aussi bien que laïcs, les ordres et congrégations religieux et les sociétés de vie apostolique... ils sont encouragés à mettre en application, dans les possibilités concrètes et les limites de leurs règles de vie, les attitudes et les activités suivantes:... c) en tenant compte des circonstances de lieux et de personnes, organiser des réunions avec des chrétiens de différentes Églises et Communautés ecclésiales pour des prières liturgiques, des récollections, des exercices spirituels et pour une compréhension plus profonde des traditions spirituelles chrétiennes... »

Ceci est condamné par l'enseignement catholique. Nous pourrions citer bien d'autres choses, y compris la façon dont le Directoire décourage les catholiques de faire du prosélytisme auprès des non-catholiques.  Concernant ce directoire du péché notoirement hérétique, l'antipape Jean-Paul II a déclaré dans Ut unum sint :

Jean-Paul II, Ut unum sint, n° 16, 25 mai 1995 : « Plus récemment, le Directoire pour l'application des principes et des normes sur l'œcuménisme, publié avec mon approbation par le Conseil pontifical pour la Promotion de l'Unité des Chrétiens, les a appliquées dans le domaine pastoral. »

Ce directoire hérétique sur l'œcuménisme, approuvé par l'antipape Jean-Paul II et le Conseil pour la promotion de l'unité des chrétiens, indique aussi de toute évidence qu'il met en œuvre l'enseignement et les principes de Vatican II.

Le Directoire pour l'application des principes et des normes sur l'œcuménisme, n° 53 : « a) Le Conseil pontifical s'occupe de l'interprétation adéquate des principes de l'œcuménisme, et des moyens pour les mettre en pratique; il exécute les décisions du deuxième Concile du Vatican concernant l'œcuménisme... »

Il est également intéressant de noter que lorsque, dans Mortalium animos, le pape Pie XI affirme que le Siège apostolique n'a jamais permis à ses fidèles de participer aux réunions des non-catholiques, il utilise le mot latin conventibus, qui signifie réunions, assemblées, ou rassemblements.  Eh bien, en contredisant directement l'enseignement de Pie XI, Vatican II utilise le même mot exactement pareil, conventibus, lorsqu'il approuve et recommande la prière commune lors de telles réunions.

Il y a tant d'exemples (peut-être des milliers) des implications des antipapes de la secte Vatican II et de ses soi-disant évêques et prêtres apostats dans le faux œcuménisme et la participation active condamnée à des cultes non catholiques, qu'il serait bien trop long d'en couvrir même une partie significative dans cette vidéo.  C'est un phénomène régulier dans la contre-église Vatican II.  Nous avons documenté un grand nombre de ces incidents dans notre livre, nos vidéos et nos articles au fil des ans.  Cependant, je veux me concentrer sur quelques exemples de l'antipape Jean-Paul II, de l'antipape Benoît XVI et de l'antipape François.  Vous trouverez beaucoup plus d'informations sur chacun des antipapes dans notre travail.

En 1982, l'antipape Jean-Paul II a participé à un service en commun avec le soi-disant « archevêque » anglican de Cantorbéry dans la cathédrale de Cantorbéry.  Lui et l'anglican notoirement hérétique ont prié ensemble, ont prié à l'autel ensemble, et ont même donné une « bénédiction commune ».  C'est un péché mortel public et une expression de l'hérésie. 

En 1999, Jean-Paul II s'est rendu en Roumanie et a pris une part active à la liturgie « orthodoxe » avec Théoctiste.  C'est un péché mortel et une expression de l’hérésie.  Il a rencontré Théoctiste à diverses occasions et a signé avec lui une déclaration commune.  En 1999, Théoctiste a également révélé que Jean-Paul II lui avait fait un don pour la construction d'une cathédrale qui s'est avéré être de 100 000 dollars. En 2018, François a fait quelque chose de similaire, en contribuant 100 000 euros au premier monastère orthodoxe en Autriche. Il est intéressant de noter que le 29 janvier 1828, la Sacrée congrégation pour la propagation de la Foi a déclaré illicite de faire l'aumône pour une église schismatique.

« ... la Sacrée Congrégation pour la propagation de la foi, le 29 janvier 1828, a répondu qu'il était illicite de faire l'aumône pour une église schismatique. » (Père Ignace Szal, p. 144)

En 1983, Jean-Paul II s'est rendu dans une église luthérienne pour commémorer le 500e anniversaire de la naissance de l'hérétique Martin Luther. Lui et le « pasteur » luthérien y ont prié ensemble devant l'autel, ont « béni » simultanément la congrégation et ont entonné ensemble un credo.  C'est un péché mortel public et une expression d'hérésie. Nous pourrions continuer à citer d'autres exemples de la participation active de Jean-Paul II au culte non catholique à l'égard des hérétiques et des schismatiques - mais il l'a fait aussi avec les païens, les juifs et les musulmans. 

Le 13 avril 1986, Jean-Paul II s'est rendu à la synagogue romaine, a participé activement à la cérémonie juive et a baissé la tête pendant que les Juifs priaient pour la venue de leur « Messie ». C'est un acte d'apostasie.  Il est intéressant de noter que saint Thomas d'Aquin a déclaré que si quelqu'un vénérait la tombe de Mahomet, il serait considéré comme un apostat. (Summa Theologiae, Secunda Secundae, q. 12, a. 2, obj. 2. Ceci est cité dans obj. 2, et dans la réponse de St Thomas à obj. 2 il n'est pas en désaccord avec l'affirmation qu'une telle action serait de l'apostasie.)

Ce serait de l'apostasie que de vénérer la tombe de Mahomet parce que participer à des formes de culte non catholique équivaut à une profession de foi dans ces fausses religions, comme nous l'avons discuté. Jean-Paul II et divers antipapes Vatican II ont régulièrement commis des actes d'apostasie de ce genre.  N'oubliez pas : l'hérésie et l'apostasie peuvent se manifester par des actes aussi bien que par des paroles. Jean-Paul II recevait fréquemment des « bénédictions » de la part des païens.

Le 8 août 1985, Jean-Paul II a prié avec des animistes africains (c.-à-d. sorciers).  En se rappelant de cette rencontre, Jean-Paul II dit : 

« ... pour la première fois, j'ai également prié avec un groupe d'animistes. » (L’Osservatore Romano, 26 août 1985, p. 9.)

C'est de l'apostasie. À Cotonou, en Afrique, le 4 février 1993, des filles chantant des chants religieux ont offert à Jean-Paul II une danse vaudou qui suscite l’état de transe. Jean-Paul II a également organisé les événements d'Assise et y a participé activement.  En faisant cela, Jean-Paul II s'est en fait associé aux faux cultes de toutes les différentes religions à Assise.  C’est un péché mortel public de premier ordre et une expression d’apostasie. La carrière de Jean-Paul II a été caractérisée par l'indifférentisme et la participation à de fausses formes de culte.  Bien sûr, un tel hérétique public et un tel pécheur mortel public ne pouvait pas être un pape catholique, et encore moins un saint.  Voilà une des raisons pour lesquelles la vénération de son image au moyen de sa canonisation invalide et fausse est mentionnée dans l'Apocalypse, comme le couvre notre travail. Lorsque les membres trompés de la contre-église Vatican II acceptent comme un saint l'antipape Jean-Paul II, cet horrible apostat notoire, dont la carrière a été caractérisée par l'indifférentisme, des péchés mortels publics contre la foi, et la participation à de faux cultes religieux - ils deviennent impliqués dans ses péchés.  Les commentateurs en ligne et les autres personnes qui considèrent Jean-Paul II comme un saint sont désemparés, trompés et en route pour l'enfer.

Jean-Paul II, Ut unum sint, n° 24, 25 mai 1995 : « C'est une joie de constater que les nombreuses rencontres œcuméniques comportent presque toujours la prière et qu'elle en est même le sommetLa Semaine de prière pour l'unité des chrétiens, que l'on célèbre en janvier, ou vers la Pentecôte dans certains pays, est devenue une tradition répandue et ferme. Mais en dehors de cette semaine aussi, les occasions sont nombreuses au cours de l'année où les chrétiens sont amenés à prier ensemble. A ce propos, je voudrais rappeler l'expérience particulière que représente le pèlerinage du Pape parmi les Eglises, dans les différents continents et les divers pays de l'oikoumenè contemporaine. Ce fut le Concile Vatican II, j'en suis bien conscient, qui orienta le Pape vers cet aspect particulier de l'exercice de son ministère apostolique. »

Jean-Paul II, Ut unum sint, n° 3, 25 mai 1995 : « Au Concile Vatican II, l'Eglise catholique s'est engagée de manière irréversible à prendre la voie de la recherche œcuménique... »

Nous pourrions couvrir bien d'autres aspects de l'antipape Jean-Paul II, mais passons à Benoît XVI.

Benoît XVI a fréquemment pris part à des cultes non catholiques.  Le 19 août 2005, il a pris une part active à un office juif dans une synagogue de Cologne, en Allemagne.  Il s'est joint aux Juifs pour la prière du kaddish et a fait de nombreux gestes faisant preuve de sa participation active.  C'est de l'apostasie. 

Le 30 novembre 2006, Benoît XVI a prié comme les musulmans en direction de la Mecque dans la Mosquée bleue en Turquie.  Il s’est même croisé les bras dans le geste de prière musulman appelé le geste de la tranquillité.  C'est de l'apostasie. 

Le 23 septembre 2011, Benoît XVI a visité une église luthérienne à Erfurt, en Allemagne.  Alors qu’il était là, il a fait l'éloge de Martin Luther et a participé activement à un office luthérien. Avec le « pasteur » luthérien il a donné une « bénédiction » commune aux gens et a même prié avec une femme « évêque » luthérienne.  Il s'est incliné devant l'autel luthérien.  C'est un péché mortel public et l'expression d'une hérésie notoire. 

Le 17 septembre 2010, Benoît XVI a participé à un office anglican à l'abbaye de Westminster avec le soi-disant archevêque anglican pro-homosexuel Rowan Williams.  Ils ont fait une procession ensemble à l’intérieur de l'église protestante.  Ils ont prié ensemble et ont donné une bénédiction commune.  C'est une manifestation d'une fausse religion.  Benoît XVI a tenu son propre événement abominable à Assise en 2011 ; non seulement il a pris une part active à cet événement d'apostasie, mais en tant qu'hôte et organisateur, il s'est ainsi joint au faux culte de tous les païens, hérétiques, etc. qui ont mené un faux culte lors de cet événement. 

Nous pourrions donner de nombreux autres exemples de la participation mortellement pécheresse de Benoît XVI à des faux cultes.  Ce n'est pas seulement quelque chose qu'il a fait souvent : c'est quelque chose qu'il a explicitement approuvé par ses paroles.  Le 18 janvier 2008, dans un discours à une délégation œcuménique finlandaise, Benoît XVI a fait l'éloge de la prière commune entre luthériens et « catholiques » et a déclaré que « ceci est… la porte royale de l'œcuménisme ». 

Benoît XVI, Discours aux membres de la délégation œcuménique finlandaise, 18 janvier 2008 : « La prière commune des luthériens et des catholiques de Finlande se joint humblement mais fidèlement à la prière de Jésus, qui a promis que toute prière adressée au Père en son nom serait entendue. Ceci est véritablement la porte royale de l’œcuménisme : une telle prière nous conduit à considérer le Royaume de Dieu et l’unité de l’Eglise de façon renouvelée ; elle renforce nos liens de communion… »

Ainsi, Benoît XVI affirme que l'activité que l'Église catholique a toujours condamnée comme étant gravement pécheresse est la voie à suivre.  C'est un hérétique notoire. Les faux traditionalistes qui pensent que l'hérétique notoire Benoît XVI était conservateur ou est le vrai pape, sont tellement égarés.  C’était un antipape apostat.  Pour en savoir plus sur lui, regardez notre vidéo « Les stupéfiantes hérésies de Benoît XVI » et lisez nos articles sur ses hérésies basés sur la recherche de 30 de ses livres et de tous ses discours.

L'apostat antipape François participe fréquemment à de faux cultes non catholiques.  Le 29 novembre 2014, François a prié à côté du moufti dans la Mosquée bleue d'Istanbul.  C'est de l'apostasie. 

Le 17 janvier 2016, il s'est rendu à la synagogue de Rome, a participé activement à l'office juif, a proféré diverses choses hérétiques et a dit « prions ensemble le Seigneur ».  C'est de l'apostasie.

Nous pourrions donner de nombreux autres exemples de la participation de l'antipape François au faux culte des païens, des juifs, des protestants et des « orthodoxes » schismatiques. (Regardez la vidéo ci-dessus.) En plus de ses actions, François fait l'éloge de la prière commune avec les non-catholiques et il a explicitement mentionné, de manière approbatrice, la prière interreligieuse.  Sa position sur cette question, qui contredit ce qu’enseigne l'Église catholique, est prouvée comme étant hérétique par ses paroles et ses actes. À force de s’engager dans ce comportement et d’enseigner que c’est bien, les antipapes Vatican II s’avèrent sans aucun doute être hérétiques notoires.  Cette activité pécheresse est également pratiquée par de nombreux « évêques » apostats de la secte Vatican II.  En termes simples, le faux œcuménisme est une hérésie massive qui équivaut à nier le dogme selon lequel l'Église catholique est la seule véritable Église de Jésus-Christ, nécessaire au salut, et que les religions non catholiques sont fausses et pécheresses et conduisent à la damnation.  Cette hérésie à savoir qu'il est bon de participer à des cultes non catholiques, a été enseignée directement à Vatican II, comme nous l'avons prouvé dans cette vidéo.

Il convient également de noter que la vérité divinement révélée qui est niée par l'enseignement de Vatican II sur la prière et le culte en commun avec les non-catholiques se trouve dans 2 Jean 1:10-11 qui déclare :

« Si quelqu'un vient à vous et n'apporte point cette doctrine, ne le recevez pas dans la maison, et ne lui dites pas même salut. Car celui qui lui dit salut communique à ses œuvres mauvaises. »

Ce passage a été cité par l'Église dans le contexte de la condamnation de toute participation à des réunions ou assemblées non catholiques (Pape Pie XI, Mortalium animos, 6 janvier 1928). Par conséquent, le mauvais enseignement de Vatican II est, à proprement parler, hérétique.  Il nie la vérité divinement révélée de 2 Jean 1:10-11.  Il enseigne, contrairement à l'Écriture, qu'il est bon et souhaitable de prendre part aux œuvres mauvaises et au culte illicite ou faux des hérétiques et des schismatiques.

Puisque le faux œcuménisme de la secte Vatican II provient de Vatican II, comme nous l'avons montré, toute personne qui s'obstine à défendre Vatican II est un fornicateur spirituel et un hérétique.  Tous les groupes non sédévacantistes sous les antipapes Vatican II - tels que la Fraternité Saint-Pierre - sont composés de faux.  S'ils possédaient et défendaient réellement la foi catholique, ils rejetteraient cette hérésie mortellement pécheresse et les antipapes hérétiques qui la promeuvent.  Ils n'ont aucun amour pour Dieu.

Face à ces faits, certaines personnes sans foi qui se prétendent catholiques diront : « si j'acceptais cela, je devrais rejeter le catholicisme. »  Non, vous vous trompez et vous n'avez pas la foi.  L'Église catholique est la seule véritable Église et toute cette situation à Rome a été prophétisée.  Les hommes qui ont inauguré cette apostasie étaient des antipapes hérétiques selon l'enseignement catholique. Ils n'ont jamais assumé valablement la fonction papale, comme le prouvent nos travaux, car le droit divin défend un hérétique de devenir pape.  Ce que prouvent ces faits, c'est que la secte Vatican II n'est pas l'Église catholique et que ses leaders ont été des antipapes. La secte Vatican II est en effet la prostituée de Babylone prophétisée. Elle accomplit la prophétie concernant la prostituée de Babylone et la Bête de plusieurs manières spécifiques. Regardez notre vidéo : L’Apocalypse maintenant au Vatican

Le faux œcuménisme que nous avons exposé dans cette vidéo est l'une des raisons pour lesquelles la prostituée de Babylone est appelée « la mère des fornications » (Apocalypse 17:5). Le faux œcuménisme est le moyen par lequel les gens sont impliqués dans des péchés contre la foi dans le cadre de la tromperie de la fin des temps.  Même si vous ne vous engagez pas directement dans le faux œcuménisme, si vous acceptez les antipapes Vatican II et leurs fausses canonisations, vous y êtes impliqué.  La véritable Église catholique existe encore dans un reste de fidèles et pour être un vrai catholique et sauver votre âme, vous devez être un catholique traditionnel qui rejette la secte apostate Vatican II et le faux Concile Vatican II.

 

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