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Antipape François - pourquoi il n'est pas le pape | Foi & Doctrine | L’Église Vatican II n’est pas catholique | Où est l'Église catholique ? | Vidéos à la une Frère Peter Dimond, O.S.B. Il y a de nombreuses hérésies dans Vatican II. Cette vidéo va se concentrer sur l'une d'entre elles qui est très répandue et très visible dans la secte Vatican II. Comme le prouve notre travail, la secte Vatican II n'est pas l'Église catholique, mais la Contre-Église prophétisée de la fin des temps. Au numéro 8 du décret de Vatican II sur l'œcuménisme, nous lisons :
Ce passage de Vatican II approuve les rencontres dites œcuméniques avec les hérétiques et les schismatiques, comme les protestants et les « orthodoxes » orientaux, et il approuve la prière commune avec eux lors de ces rencontres. Ceci est directement contraire à ce qu’a toujours enseigné l'Église catholique, comme nous allons le voir. Cet enseignement de Vatican II est mauvais et hérétique. Dans son encyclique de 1928, Mortalium Animos, le pape Pie XI condamne les rencontres dites interreligieuses et déclare que l'opinion sur laquelle elles s’appuient équivaut à l'apostasie.
Dans cette encyclique, il a également enseigné :
Comme nous pouvons le voir, l'Église catholique n'a jamais permis aux catholiques de prendre part aux réunions ou assemblées de non-catholiques. Assister ou prendre part activement à un culte non catholique, c’est commettre un péché mortel et une violation du droit divin. Ce principe de droit divin a également été repris dans le Code de droit canonique de 1917. Le canon 1258.1 stipule :
Il est important de comprendre pourquoi cette activité est interdite et ce qui constitue une participation active aux rites religieux des non-catholiques. Une raison principale pour laquelle beaucoup ne voient pas clairement ce que représente la crise post-Vatican II et ce que sont ses faux leaders (c'est-à-dire des antipapes hérétiques), c’est qu'ils n'ont pas une foi pure et une compréhension fondamentale des principes catholiques pertinents. Avant de poursuivre, il faut noter que cette vidéo traite de la participation active à un culte non catholique, ou du fait de se joindre à une prière ou un culte non catholique, ce qui est toujours interdit. Dans cette vidéo, nous ne traitons pas des mariages mixtes (qui étaient découragés mais tolérés à l'occasion), ou du fait de recevoir un sacrement d'un non-catholique en danger de mort, et d'autres choses similaires. Ces types de communication ne constituaient pas une participation active au culte non-catholique, ce qui n'est jamais autorisé. Ne vous laissez donc pas tromper par les défenseurs malhonnêtes de Vatican II qui embrouillent parfois les gens en évoquant les types de communication avec les non-catholiques précédemment mentionnés qui étaient parfois autorisés dans l'histoire de l'Église, comme s'ils fournissaient un précédent ou une justification pour le faux enseignement de la secte Vatican II sur la participation active au culte non-catholique, alors que ce n'est pas du tout le cas. En couvrant brièvement les principes qui s’appliquent à cette question, je veux citer une dissertation d'avant Vatican II du canoniste père Ignace Szal. Elle a été publiée en 1948 par la Catholic University of America Press et avec un Imprimatur. Nous ne sommes pas d'accord avec tout ce qu'il dit dans ce livre, mais il soulève de nombreux points intéressants et présente des faits pertinents pour articuler ce qui est toujours enseigné par l'Église catholique, selon lequel il est interdit de participer sous quelque forme que ce soit à un culte non catholique. Dans les passages suivants, il traite principalement de la communicatio in sacris, c'est-à-dire la communication dans les choses sacrées avec les schismatiques, comme les dissidents orientaux ou les « orthodoxes » orientaux. Mais ce qu'il dit s'applique aux protestants, aux juifs, aux musulmans, etc.
Comme nous pouvons le voir, diverses raisons rendent gravement illicite la participation active à un culte non catholique. Une telle communication religieuse active est contraire au droit divin et équivaut à une fausse profession de foi, car elle fait associer quelqu’un à un culte superstitieux ou illicite. Elle donne la fausse impression qu’on approuve le non-catholique dans l'exercice d'un culte illicite ou faux, et une telle communication est presque toujours accompagnée du péché supplémentaire, c’est-à-dire du scandale. Avec ces points à l'esprit, une personne attentive devrait immédiatement reconnaître ce que cela signifie pour la secte Vatican II et son faux œcuménisme rampant. Comme illustration de la gravité de la situation, selon le canon 2316 du Code de droit canonique de 1917, le fait de s'engager dans un seul de ces actes de participation active avec des hérétiques, ou d'aider sciemment à la propagation de l'hérésie, rend une personne formellement suspecte d'hérésie, et si cette personne ignore les avertissements, dans les six mois elle sera considérée comme hérétique. Mais une personne n'a pas besoin de recevoir ou d'ignorer les avertissements canoniques pour devenir un hérétique notoire sur ce point ou d'autres. À force de s’engager dans un culte non catholique contre l'enseignement catholique, une personne qui approuve une telle activité par des actions répétées et/ou son enseignement public, comme le font les représentants de la secte Vatican II, cette personne est un hérétique notoire (notoire en fait). La loi de l'Église catholique sur cette question concerne les actes publics de culte non catholique, et c'est ce dont nous discutons dans cette vidéo. Nous allons donner quelques exemples spécifiques de ce qui constitue une participation active à un culte non catholique. Lorsque des non-catholiques dirigent une prière ou un culte public, les éléments suivants et d'autres constituent une participation active condamnée : se joindre à leurs prières ; les bénir ou donner des bénédictions conjointes avec eux ; répondre à leurs prières ; chanter avec eux ou chanter alternativement avec eux ; leur donner des objets tels que des bougies, etc. qu'ils utilisent pour le culte ou recevoir d'eux des objets similaires ; jouer de l'orgue ou d'un instrument de musique pour leur culte ; participer à leurs lectures des Écritures ; porter des icônes à leur culte ou lieu de culte ; allumer des lampes pendant leur culte ou dans leur lieu de culte ; et bien d'autres choses similaires. Toutes ces choses ont été condamnées par l'Église. Il y a tellement de réponses des congrégations romaines interdisant toutes ces activités, que si l'on devait les citer toutes, cette vidéo deviendrait très longue. Je vais simplement citer quelques passages du père Ignace Szal à propos de quelques-unes de ces déclarations afin que les gens aient une idée de la façon dont la participation active à des prières ou des cultes non catholiques a été condamnée.
De nombreuses autres déclarations interdisaient tout type d'activité impliquant ou signifiant une participation à un culte non-catholique. On peut également citer diverses déclarations émanant spécifiquement de papes.
De même, concernant les « vieux catholiques » qui étaient des hérétiques et des schismatiques ayant rejeté la définition dogmatique de l'infaillibilité papale de Vatican I, le pape Pie IX a déclaré :
Les actes de communion avec des hérétiques ont été dénoncés au IVe concile de Constantinople.
Dans son encyclique Caritas de 1791, le pape Pie VI a parlé des prêtres qui s'étaient séparés de l'Église en acceptant le document hérétique, c.-à-d., la Constitution civile du clergé en France. Le pape a déclaré :
Or le passage de Vatican II comme nous avons cité approuve la participation active à des cultes non catholiques (que l'Église catholique condamne entièrement, comme nous l'avons vu) parce qu’il s’agit ici du fait de se joindre à des prières avec des non-catholiques lors de réunions dites œcuméniques au cours desquelles des non-catholiques dirigent des prières et des cultes publics selon leurs rites et leurs sectes non catholiques. Ainsi, l'enseignement de Vatican II est indéfendable, mauvais, et hérétique. Il a préparé le terrain pour le faux œcuménisme en série qui est embrassé, enseigné et illustré par les antipapes de Vatican II et dans les « diocèses » du monde entier. En bref, les points dont nous discutons prouvent que le faux œcuménisme de Vatican II est une hérésie notoire et que quiconque le défend est un hérétique et un faux enseignant qui conduit les gens au péché mortel. Le faux enseignement de Vatican II sur la prière et le culte en commun avec les non-catholiques a été avalisé par de nombreuses déclarations ultérieures des antipapes, notamment : le nouveau catéchisme de l'antipape Jean-Paul II paragraphe 1399 ; sa première encyclique Redemptor Hominis n° 6, son encyclique Ut unum sint n° 21 et suivant ; le Directoire pour l’application des principes et des normes sur l'œcuménisme ; et bien plus encore.
Dans Ut unum sint, l'antipape Jean-Paul II n’arrête pas de recommander et d'enseigner la chose même qu’a toujours condamnée l'Église catholique, à savoir le culte en commun avec les non-catholiques.
Le Directoire pour l'application des principes et des normes sur l'œcuménisme promulgué en 1993 par Jean-Paul II et le Conseil pour la promotion de l'unité des chrétiens est l'un des documents les plus stupéfiants qu’ait produit la contre-église Vatican II. Il s'agit essentiellement d'un manuel sur la manière de commettre des péchés contre la foi. Il recommande explicitement les actions mêmes qui ont été spécifiquement condamnées par l'Église.
Comme nous l'avons vu, ceci est condamné par l'enseignement catholique.
Ceci est condamné par l'enseignement catholique. Nous pourrions citer bien d'autres choses, y compris la façon dont le Directoire décourage les catholiques de faire du prosélytisme auprès des non-catholiques. Concernant ce directoire du péché notoirement hérétique, l'antipape Jean-Paul II a déclaré dans Ut unum sint :
Ce directoire hérétique sur l'œcuménisme, approuvé par l'antipape Jean-Paul II et le Conseil pour la promotion de l'unité des chrétiens, indique aussi de toute évidence qu'il met en œuvre l'enseignement et les principes de Vatican II.
Il est également intéressant de noter que lorsque, dans Mortalium animos, le pape Pie XI affirme que le Siège apostolique n'a jamais permis à ses fidèles de participer aux réunions des non-catholiques, il utilise le mot latin conventibus, qui signifie réunions, assemblées, ou rassemblements. Eh bien, en contredisant directement l'enseignement de Pie XI, Vatican II utilise le même mot exactement pareil, conventibus, lorsqu'il approuve et recommande la prière commune lors de telles réunions. Il y a tant d'exemples (peut-être des milliers) des implications des antipapes de la secte Vatican II et de ses soi-disant évêques et prêtres apostats dans le faux œcuménisme et la participation active condamnée à des cultes non catholiques, qu'il serait bien trop long d'en couvrir même une partie significative dans cette vidéo. C'est un phénomène régulier dans la contre-église Vatican II. Nous avons documenté un grand nombre de ces incidents dans notre livre, nos vidéos et nos articles au fil des ans. Cependant, je veux me concentrer sur quelques exemples de l'antipape Jean-Paul II, de l'antipape Benoît XVI et de l'antipape François. Vous trouverez beaucoup plus d'informations sur chacun des antipapes dans notre travail. En 1982, l'antipape Jean-Paul II a participé à un service en commun avec le soi-disant « archevêque » anglican de Cantorbéry dans la cathédrale de Cantorbéry. Lui et l'anglican notoirement hérétique ont prié ensemble, ont prié à l'autel ensemble, et ont même donné une « bénédiction commune ». C'est un péché mortel public et une expression de l'hérésie. En 1999, Jean-Paul II s'est rendu en Roumanie et a pris une part active à la liturgie « orthodoxe » avec Théoctiste. C'est un péché mortel et une expression de l’hérésie. Il a rencontré Théoctiste à diverses occasions et a signé avec lui une déclaration commune. En 1999, Théoctiste a également révélé que Jean-Paul II lui avait fait un don pour la construction d'une cathédrale qui s'est avéré être de 100 000 dollars. En 2018, François a fait quelque chose de similaire, en contribuant 100 000 euros au premier monastère orthodoxe en Autriche. Il est intéressant de noter que le 29 janvier 1828, la Sacrée congrégation pour la propagation de la Foi a déclaré illicite de faire l'aumône pour une église schismatique.
En 1983, Jean-Paul II s'est rendu dans une église luthérienne pour commémorer le 500e anniversaire de la naissance de l'hérétique Martin Luther. Lui et le « pasteur » luthérien y ont prié ensemble devant l'autel, ont « béni » simultanément la congrégation et ont entonné ensemble un credo. C'est un péché mortel public et une expression d'hérésie. Nous pourrions continuer à citer d'autres exemples de la participation active de Jean-Paul II au culte non catholique à l'égard des hérétiques et des schismatiques - mais il l'a fait aussi avec les païens, les juifs et les musulmans. Le 13 avril 1986, Jean-Paul II s'est rendu à la synagogue romaine, a participé activement à la cérémonie juive et a baissé la tête pendant que les Juifs priaient pour la venue de leur « Messie ». C'est un acte d'apostasie. Il est intéressant de noter que saint Thomas d'Aquin a déclaré que si quelqu'un vénérait la tombe de Mahomet, il serait considéré comme un apostat. (Summa Theologiae, Secunda Secundae, q. 12, a. 2, obj. 2. Ceci est cité dans obj. 2, et dans la réponse de St Thomas à obj. 2 il n'est pas en désaccord avec l'affirmation qu'une telle action serait de l'apostasie.) Ce serait de l'apostasie que de vénérer la tombe de Mahomet parce que participer à des formes de culte non catholique équivaut à une profession de foi dans ces fausses religions, comme nous l'avons discuté. Jean-Paul II et divers antipapes Vatican II ont régulièrement commis des actes d'apostasie de ce genre. N'oubliez pas : l'hérésie et l'apostasie peuvent se manifester par des actes aussi bien que par des paroles. Jean-Paul II recevait fréquemment des « bénédictions » de la part des païens. Le 8 août 1985, Jean-Paul II a prié avec des animistes africains (c.-à-d. sorciers). En se rappelant de cette rencontre, Jean-Paul II dit :
C'est de l'apostasie. À Cotonou, en Afrique, le 4 février 1993, des filles chantant des chants religieux ont offert à Jean-Paul II une danse vaudou qui suscite l’état de transe. Jean-Paul II a également organisé les événements d'Assise et y a participé activement. En faisant cela, Jean-Paul II s'est en fait associé aux faux cultes de toutes les différentes religions à Assise. C’est un péché mortel public de premier ordre et une expression d’apostasie. La carrière de Jean-Paul II a été caractérisée par l'indifférentisme et la participation à de fausses formes de culte. Bien sûr, un tel hérétique public et un tel pécheur mortel public ne pouvait pas être un pape catholique, et encore moins un saint. Voilà une des raisons pour lesquelles la vénération de son image au moyen de sa canonisation invalide et fausse est mentionnée dans l'Apocalypse, comme le couvre notre travail. Lorsque les membres trompés de la contre-église Vatican II acceptent comme un saint l'antipape Jean-Paul II, cet horrible apostat notoire, dont la carrière a été caractérisée par l'indifférentisme, des péchés mortels publics contre la foi, et la participation à de faux cultes religieux - ils deviennent impliqués dans ses péchés. Les commentateurs en ligne et les autres personnes qui considèrent Jean-Paul II comme un saint sont désemparés, trompés et en route pour l'enfer.
Nous pourrions couvrir bien d'autres aspects de l'antipape Jean-Paul II, mais passons à Benoît XVI. Benoît XVI a fréquemment pris part à des cultes non catholiques. Le 19 août 2005, il a pris une part active à un office juif dans une synagogue de Cologne, en Allemagne. Il s'est joint aux Juifs pour la prière du kaddish et a fait de nombreux gestes faisant preuve de sa participation active. C'est de l'apostasie. Le 30 novembre 2006, Benoît XVI a prié comme les musulmans en direction de la Mecque dans la Mosquée bleue en Turquie. Il s’est même croisé les bras dans le geste de prière musulman appelé le geste de la tranquillité. C'est de l'apostasie. Le 23 septembre 2011, Benoît XVI a visité une église luthérienne à Erfurt, en Allemagne. Alors qu’il était là, il a fait l'éloge de Martin Luther et a participé activement à un office luthérien. Avec le « pasteur » luthérien il a donné une « bénédiction » commune aux gens et a même prié avec une femme « évêque » luthérienne. Il s'est incliné devant l'autel luthérien. C'est un péché mortel public et l'expression d'une hérésie notoire. Le 17 septembre 2010, Benoît XVI a participé à un office anglican à l'abbaye de Westminster avec le soi-disant archevêque anglican pro-homosexuel Rowan Williams. Ils ont fait une procession ensemble à l’intérieur de l'église protestante. Ils ont prié ensemble et ont donné une bénédiction commune. C'est une manifestation d'une fausse religion. Benoît XVI a tenu son propre événement abominable à Assise en 2011 ; non seulement il a pris une part active à cet événement d'apostasie, mais en tant qu'hôte et organisateur, il s'est ainsi joint au faux culte de tous les païens, hérétiques, etc. qui ont mené un faux culte lors de cet événement. Nous pourrions donner de nombreux autres exemples de la participation mortellement pécheresse de Benoît XVI à des faux cultes. Ce n'est pas seulement quelque chose qu'il a fait souvent : c'est quelque chose qu'il a explicitement approuvé par ses paroles. Le 18 janvier 2008, dans un discours à une délégation œcuménique finlandaise, Benoît XVI a fait l'éloge de la prière commune entre luthériens et « catholiques » et a déclaré que « ceci est… la porte royale de l'œcuménisme ».
Ainsi, Benoît XVI affirme que l'activité que l'Église catholique a toujours condamnée comme étant gravement pécheresse est la voie à suivre. C'est un hérétique notoire. Les faux traditionalistes qui pensent que l'hérétique notoire Benoît XVI était conservateur ou est le vrai pape, sont tellement égarés. C’était un antipape apostat. Pour en savoir plus sur lui, regardez notre vidéo « Les stupéfiantes hérésies de Benoît XVI » et lisez nos articles sur ses hérésies basés sur la recherche de 30 de ses livres et de tous ses discours. L'apostat antipape François participe fréquemment à de faux cultes non catholiques. Le 29 novembre 2014, François a prié à côté du moufti dans la Mosquée bleue d'Istanbul. C'est de l'apostasie. Le 17 janvier 2016, il s'est rendu à la synagogue de Rome, a participé activement à l'office juif, a proféré diverses choses hérétiques et a dit « prions ensemble le Seigneur ». C'est de l'apostasie. Nous pourrions donner de nombreux autres exemples de la participation de l'antipape François au faux culte des païens, des juifs, des protestants et des « orthodoxes » schismatiques. (Regardez la vidéo ci-dessus.) En plus de ses actions, François fait l'éloge de la prière commune avec les non-catholiques et il a explicitement mentionné, de manière approbatrice, la prière interreligieuse. Sa position sur cette question, qui contredit ce qu’enseigne l'Église catholique, est prouvée comme étant hérétique par ses paroles et ses actes. À force de s’engager dans ce comportement et d’enseigner que c’est bien, les antipapes Vatican II s’avèrent sans aucun doute être hérétiques notoires. Cette activité pécheresse est également pratiquée par de nombreux « évêques » apostats de la secte Vatican II. En termes simples, le faux œcuménisme est une hérésie massive qui équivaut à nier le dogme selon lequel l'Église catholique est la seule véritable Église de Jésus-Christ, nécessaire au salut, et que les religions non catholiques sont fausses et pécheresses et conduisent à la damnation. Cette hérésie à savoir qu'il est bon de participer à des cultes non catholiques, a été enseignée directement à Vatican II, comme nous l'avons prouvé dans cette vidéo. Il convient également de noter que la vérité divinement révélée qui est niée par l'enseignement de Vatican II sur la prière et le culte en commun avec les non-catholiques se trouve dans 2 Jean 1:10-11 qui déclare :
Ce passage a été cité par l'Église dans le contexte de la condamnation de toute participation à des réunions ou assemblées non catholiques (Pape Pie XI, Mortalium animos, 6 janvier 1928). Par conséquent, le mauvais enseignement de Vatican II est, à proprement parler, hérétique. Il nie la vérité divinement révélée de 2 Jean 1:10-11. Il enseigne, contrairement à l'Écriture, qu'il est bon et souhaitable de prendre part aux œuvres mauvaises et au culte illicite ou faux des hérétiques et des schismatiques. Puisque le faux œcuménisme de la secte Vatican II provient de Vatican II, comme nous l'avons montré, toute personne qui s'obstine à défendre Vatican II est un fornicateur spirituel et un hérétique. Tous les groupes non sédévacantistes sous les antipapes Vatican II - tels que la Fraternité Saint-Pierre - sont composés de faux. S'ils possédaient et défendaient réellement la foi catholique, ils rejetteraient cette hérésie mortellement pécheresse et les antipapes hérétiques qui la promeuvent. Ils n'ont aucun amour pour Dieu. Face à ces faits, certaines personnes sans foi qui se prétendent catholiques diront : « si j'acceptais cela, je devrais rejeter le catholicisme. » Non, vous vous trompez et vous n'avez pas la foi. L'Église catholique est la seule véritable Église et toute cette situation à Rome a été prophétisée. Les hommes qui ont inauguré cette apostasie étaient des antipapes hérétiques selon l'enseignement catholique. Ils n'ont jamais assumé valablement la fonction papale, comme le prouvent nos travaux, car le droit divin défend un hérétique de devenir pape. Ce que prouvent ces faits, c'est que la secte Vatican II n'est pas l'Église catholique et que ses leaders ont été des antipapes. La secte Vatican II est en effet la prostituée de Babylone prophétisée. Elle accomplit la prophétie concernant la prostituée de Babylone et la Bête de plusieurs manières spécifiques. Regardez notre vidéo : L’Apocalypse maintenant au Vatican. Le faux œcuménisme que nous avons exposé dans cette vidéo est l'une des raisons pour lesquelles la prostituée de Babylone est appelée « la mère des fornications » (Apocalypse 17:5). Le faux œcuménisme est le moyen par lequel les gens sont impliqués dans des péchés contre la foi dans le cadre de la tromperie de la fin des temps. Même si vous ne vous engagez pas directement dans le faux œcuménisme, si vous acceptez les antipapes Vatican II et leurs fausses canonisations, vous y êtes impliqué. La véritable Église catholique existe encore dans un reste de fidèles et pour être un vrai catholique et sauver votre âme, vous devez être un catholique traditionnel qui rejette la secte apostate Vatican II et le faux Concile Vatican II.
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Vatican II est une nouvelle religion (preuve visuelle)
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