Une prière bouddhiste avec François dans une ancienne église catholique accomplit une prophétie
30 juillet 2024
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Frère Peter Dimond, O.S.B.

Le 28 mai 2024, l’antipape François a approuvé et participé à une prière païenne bouddhiste dans l'ancienne basilique de Sainte-Marie-du-Trastevere. L'antipape François a même été « béni » par les moines bouddhistes au cours de cet événement. 

LE PAPE FRANCIS A RENCONTRE DES MOINES BOUDDHISTES

ewtnvatican : « Le pape François a rencontré une délégation de 100 moines bouddhistes du temple Wat Phra Cetuphon à Bangkok, soulignant l'importance de la collaboration entre l'Église et les bouddhistes pour relever les défis mondiaux. Réfléchissant à sa visite en Thaïlande en 2019 et à un récent colloque bouddhiste-chrétien, il a souligné la nécessité d'efforts conjoints pour guérir l'humanité et la Terre. “Aujourd'hui, l’humanité et la Terre, notre maison en commun, sont vraiment blessées ! Tant de guerres, tant de personnes qui ont tout perdu et ont été forcées de fuir. Tant d’enfants touchés par la violence”, a déclaré le pape. Il a réitéré que “personne n'est sauvé seul” et a exhorté les moines à “continuer à travailler ensemble avec tous” pour promouvoir la paix et... »

C'est l'une des pires choses qu’ait faites l'antipape François, c’est dire... Cette basilique datant du 4e siècle est l'une des plus anciennes églises de Rome. Nous allons expliquer pourquoi c'est important. Ce serait la plus ancienne église de Rome dédiée à la Sainte Vierge Marie. 

Le bouddhisme est une religion païenne et non chrétienne qui conduit les gens en enfer et non au ciel.  Cet acte récemment fait par François n'était certainement pas sa première déclaration ou action à l'égard du bouddhisme qui équivalait à une hérésie ou à une apostasie. Tout comme les autres cultes païens, le culte des bouddhistes est faux et idolâtre. Voir Psaume 95:5 et 1 Cor. 10:20 concernant la façon dont les païens adorent les démons et non Dieu.  

Psaume 95:5 : « Parce que tous les dieux des nations sont des démons... »

1 Chroniques 16:26 : « Car tous les dieux des peuples sont des idoles ; mais le Seigneur a fait les cieux. »

1 Corinthiens 10:20 : « Mais ce qu’immolent les gentils, ils immolent aux démons et non à Dieu. Or je désire que vous n’ayez aucune société avec les démons… »

Autoriser un tel culte païen, ou y participer de quelque manière que ce soit, c’est un péché mortel qui a toujours été condamné par l'enseignement catholique. C’est un acte d’apostasie. 

Le 27 mai, la veille de cette prière païenne, l'antipape François a rencontré une délégation de 100 moines bouddhistes. 

Il leur a dit : « nous ne pouvons être sauvés qu'ensemble »,[1] sans mentionner, bien sûr, qu'ils devaient abandonner leur fausse religion et se convertir à la foi catholique pour être sauvés.

Dire aux moines bouddhistes que nous ne pouvons être sauvés qu’ensemble, sans leur dire qu'ils doivent accepter la vraie foi du Christ et abandonner le bouddhisme, équivaut à enseigner qu'ils peuvent être sauvés en tant que bouddhistes. Il s’agit d’un rejet du dogme catholique, selon lequel personne ne peut être sauvé sans la foi en Christ et la foi catholique. 

Pape Eugène IV, Concile de Florence, « Cantate Domino », 1441, ex cathedra : « La sainte Église romaine croit fermement, professe et prêche qu'aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l'Église catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et ses anges à moins qu'avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés... et que personne ne peut être sauvé, si grandes que soient ses aumônes, même s'il verse son sang pour le nom du Christ, s'il n'est pas demeuré dans le sein et dans l'unité de l'Église catholique. »

Pape Pie VIII, Traditi humilitati, 24 mai 1829 : « Il faut, vénérables Frères, prémunir les peuples contre ces maîtres trompeurs ; il faut leur apprendre que la foi catholique est la seule véritable, selon cette parole de l'apôtre, un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême... En effet, après le nom de Jésus, il n'en est point d'autre accordé aux hommes par lequel nous devions être sauvés ; celui qui n'aura pas cru sera condamné. »

Dans le même discours, l'antipape François a approuvé le faux culte et la fausse prière des bouddhistes, en déclarant :

« ... nous croyons que la prière et la méditation peuvent renverser les choses en purifiant nos cœurs et nos esprits... »[2] ; et,

« Je suis très heureux que vous priiez pour la paix demain dans la Basilique Sainte Marie du Trastevere. »[3]

Par ces déclarations, l'antipape François a formellement approuvé le culte idolâtre des bouddhistes, qui a eu lieu le lendemain. 

François a même baissé la tête pour recevoir leur « bénédiction » démoniaque et participer à leur faux culte. Il s'agit d'une participation active à un culte païen. L'Église catholique n'a jamais autorisé les catholiques à participer à des cultes non catholiques quels qu'ils soient, et encore moins à des cultes païens. 

Pape Pie XI, Mortalium animos, 6 janvier 1928 :
« Ainsi comprend-on pourquoi, Vénérables Frères, ce Siège Apostolique n'a jamais permis à ses fidèles d’assister aux réunions des non-catholiques... »

Pape Pie XI, Mortalium animos, 6 janvier 1928 :
« En conséquence, ils tiennent des congrès, des réunions, des conférences fréquentés par un nombre assez considérable d'auditeurs ; ils invitent aux discussions tous les hommes indistinctement, les infidèles de toute catégorie, les fidèles du ChristDe pareils efforts n'ont aucun droit à l'approbation des catholiques, car ils s'appuient sur cette opinion erronée que toutes les religions sont plus ou moins bonnes et louables… Outre qu'ils s'égarent en pleine erreur, les tenants de cette opinion repoussent du même coup la religion vraie ; ils en faussent la notion… Il est donc parfaitement évident que c'est abandonner entièrement la religion divinement révélée que de se joindre aux partisans et aux propagateurs de pareilles doctrines. »

Ce dernier acte d'apostasie en date de François prouve une fois de plus qu'il n'est pas le pape mais un antipape apostat. L'Église catholique enseigne que les hérétiques, parce qu’ils ne sont pas membres de l'Église, sont exclus par la loi divine de la fonction papale. François n'a jamais été pape, et la situation actuelle à Rome a été prophétisée, comme l'explique notre travail.

En effet, ceux qui s'obstinent à demeurer en communion avec cet hérétique notoire, cet imposteur apostat qu’est l'antipape François, renient la foi catholique. Une telle personne s'associe à l'hérésie et au paganisme. D'ailleurs, l'approbation du bouddhisme faite par François provient de l'enseignement de Vatican II lui-même, un faux concile, et se retrouve dans le faux enseignement des autres antipapes post-Vatican II, tels que Paul VI, Benoît XVI et Jean-Paul II. Cet acte de François accomplit la prophétie, car selon la Bible, la Bête (qui se réfère à la Rome païenne) reparaîtra dans les derniers jours. 

Au premier siècle, la Bête, à savoir la Rome païenne/l'empire romain païen, a persécuté l'Église chrétienne à Rome. Puis la Bête a été conquise et remplacée par la Rome chrétienne et l'Europe chrétienne. La société chrétienne s'est alors épanouie et l'Évangile a été prêché aux nations. Cependant, la Bible indique que la Bête, à savoir la Rome païenne, reviendra dans les derniers jours, mais sous l'apparence de l'Église, c'est-à-dire au moyen d'une Contre-Église et d'antipapes hérétiques. Ce retour de la bête sous l'apparence de l'Église (c'est-à-dire au moyen d'une contre-Église), c’est ce qui choque et trouble beaucoup de gens, et c'est cela que nous voyons actuellement à Rome, en cette période d’apostasie qui suit Vatican II. 

Ce n'est pas un hasard, si cet acte notoire de paganisme s'est produit dans une basilique romaine aussi historique. Voilà un autre exemple clair du retour du paganisme sur les sites historiques desquels il avait été extirpé lorsque le christianisme/le catholicisme s'est emparé de l'Empire romain. Ceci, en lien avec de nombreux événements connexes, représente le retour de la bête - c'est-à-dire le retour de la Rome païenne.

En fait, lors d'une restauration de la basilique sous le pape Pie IX, après que des érudits eurent identifié les visages d'idoles païennes sur les colonnes de la basilique, le pape a fait marteler ces visages. Voilà un autre exemple de la façon dont la Bête, la Rome païenne, a été conquise par la Rome chrétienne et l'Europe chrétienne. Mais aujourd'hui, dans les derniers jours, le paganisme est revenu dans les lieux mêmes d'où il avait été chassé, conformément à la prophétie.

L'Église catholique existe toujours malgré cela, mais ce n'est pas la secte Vatican II de l'antipape François.  La véritable Église catholique a été réduite à un reste de fidèles dans les derniers jours. La secte de François est la Contre-Église de la fin des temps, la Prostituée de Babylone déjà prophétisée, et l’accomplissement de ces prophéties à Rome prouve, plutôt qu'il ne réfute, la véracité du catholicisme. 

L'accomplissement de ces prophéties à Rome démontre le bien-fondé du catholicisme traditionnel, car lorsque le christianisme a remplacé la bête romaine païenne et que l'Évangile s'est répandu dans le monde, Rome était catholique. Cela indique que le catholicisme n'est pas la Bête, mais plutôt, ce qui conquiert la Bête. Mais dans les derniers temps, lors de la Grande Apostasie prophétisée, la Bête revient à Rome sous l'apparence trompeuse de l'Église, au moyen d'une Contre-Église et de faux successeurs de saint Pierre (c'est-à-dire des antipapes). Nous l’expliquons plus en détail dans nos vidéos, telles que L’Apocalypse maintenant au Vatican et d'autres. Pour être un vrai chrétien et être sauvé, il faut être un catholique traditionnel, comme l'explique notre travail.

Notes :

[1] ZENIT (en français), « Je vous encourage à poursuivre la mise en place du dialogue », 30 mai 2024.

[2] ZENIT (en français), « Je vous encourage à poursuivre la mise en place du dialogue », 30 mai 2024.

[3] ZENIT (en français), « Je vous encourage à poursuivre la mise en place du dialogue », 30 mai 2024.

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