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Frère Peter Dimond, O. S. B En septembre 2024, François a voyagé en Indonésie où il a manifesté l'indifférentisme religieux typique qui caractérise la secte Vatican II, l'apostasie de Vatican II et les antipapes Vatican II. Comme le couvrent nos travaux, la Secte Vatican II sous l’antipape François n’est pas l’Église catholique, mais la Contre-Église prophétisée de la fin des temps. Entre autres choses, François a donné une soi-disant bénédiction, qui selon lui vaut pour toutes les personnes, quelle que soit leur religion.
Cette bénédiction n’a comporté ni Signe de Croix, ni aucune référence quelle qu’elle soit à Jésus-Christ ou la Très-Sainte Trinité. François a donc nié Jésus-Christ par action ; une action qui contredit aussi Colossiens 3:17.
François a également dit :
François insinue que nous avons tous le même Dieu. Cela est faux. Quiconque nie Jésus-Christ et la Très-Sainte Trinité n’adore pas le seul véritable Dieu et n’a pas Dieu le Père.
L’antipape François prêche un faux évangile. Il encourage aussi tout le monde, y compris les non-catholiques, à rendre grâce chacun à sa manière.
C’est de l’hérésie, puisqu’il avalise les faux cultes et qu’il encourage à s’y engager. On pourrait analyser plus en détail les diverses expressions d'indifférentisme religieux de François lors de ce voyage, mais il fait tout le temps ce genre de choses ! L’antipape Benoît XVI et l’antipape Jean-Paul II ont également fait ce genre de choses régulièrement, comme nous l'avons démontré en détail pendant de nombreuses années. Ces actions d'indifférentisme religieux de la part des antipapes Vatican II, et les actes connexes de faux œcuménisme (qui constituent un déni de Jésus-Christ et de la foi catholique) représentent vraiment le cœur de l'apostasie de la fin des temps de Vatican II, et c’est cela qui méritera un châtiment aux défenseurs des antipapes Vatican II au Jour du Jugement. Je tiens aussi à préciser que le verbe « bénir » dans la Bible peut simplement signifier « vouloir le bien d'autrui ». Dans ce sens biblique, admonester ou réprimander charitablement un pécheur, ou prier pour sa conversion, c’est le bénir. C'est ainsi que l'on peut bénir un ennemi ou un méchant dans ce sens biblique, en voulant son bien ultime par sa conversion, etc. Cependant, « bénir » dans un contexte liturgique a une signification plus importante. Une bénédiction liturgique place une personne, dans son état actuel, comme étant capable de recevoir une aide ou une faveur spéciale de la part de Dieu. Mais ceux qui font preuve d’un péché grave, ou qui pratiquent une fausse religion, se rebellent contre Dieu dans leur état actuel et sont donc incapables de recevoir une telle faveur ou aide spéciale par une bénédiction liturgique. Ces personnes doivent cesser d'être désobéissantes ou incrédules avant d’être capable de recevoir une telle bénédiction. Donner une bénédiction liturgique à ceux qui manifestement nient Dieu ou désobéissent à Dieu, c’est se moquer de Dieu, puisque cela signifie que Dieu serait disposé à se nier lui-même, qu’il aiderait les gens qui rejettent manifestement le seul moyen avec lequel ils peuvent être aidés, à savoir, en croyant en Dieu et en lui obéissant. C’est pour cela qu’on lit à la 2e épitre de Jean, chapitre 1:10-11 ce qui suit :
C’est pour cela que l’Église ne confère pas de bénédiction liturgique à ceux qui font preuve de désobéissance grave ou qui sont incrédules. Donc, en plus de ses diverses expressions d’apostasie prouvant encore davantage qu’il n’est évidemment pas le pape, l’action de l’antipape François par laquelle il donne une pseudo bénédiction liturgique aux adeptes de toutes les religions est une autre manifestation de son éloignement de la foi catholique. Voici un extrait de notre vidéo, intitulée : Un message prophétique contre les « bénédictions » homosexuelles de François. Une vidéo qui porte sur l’enseignement catholique et papal contre le fait de bénir ceux qui font preuve de désobéissance grave. Extrait de Un message prophétique contre les « bénédictions » homosexuelles de François Eh bien, il y a un autre aspect important de cette question que les défenseurs et même de nombreux critiques de la Fiducia supplicans omettent : c'est-à-dire, même si vous soutenez (comme le font les défenseurs de l’antipape) que ce que l'antipape François a approuvé n'est pas la bénédiction de l'union homosexuelle elle-même, mais plutôt des personnes homosexuelles dans l'union…
Ce point a été négligé par presque tous ceux qui ont commenté la Fiducia supplicans, même par ses détracteurs. Beaucoup d'entre eux diront des choses comme : toute personne peut recevoir une bénédiction, mais le couple ne doit pas être béni. [Hérétique de Vatican II :] Ça me dérange pas, le fait de bénir qui que ce soit sur terre. Ça m’est égal s'ils sont dans le Hamas ou quoi que ce soit d'autre. S’ils veulent qu’un prêtre les bénisse, donnons-leur un peu de grâce. Donc, peu importe qui vous attire, nous avons tous besoin des bénédictions de Dieu pour vivre la vie chrétienne. Amen ? Non, ils concèdent trop. L'Église n'enseigne pas qu’on peut bénir n'importe quelle personne dans n'importe quelle situation, et je tiens à citer l'autorité papale à ce sujet. J'ai lu les neuf livres du registre du pape saint Grégoire VII, ainsi que ce que l'on appelle ses épîtres vagabondes. Saint Grégoire VII a été l'un des plus grands papes de l'histoire de l'Église. Dans ses lettres, il indique à plusieurs reprises qu'il n'accordera pas de bénédiction aux personnes qui font preuve de désobéissance. Il indique qu'il est incapable de le faire, de peur de violer la loi de Dieu. Avant de le citer, je voudrais faire une distinction. Lorsque le contexte est bon (comme lors d'une vraie messe ou lorsque les catholiques sont en pèlerinage, ou dans un contexte similaire), un prêtre peut légitimement bénir un groupe de personnes, sans connaître les actions personnelles de chaque membre du groupe à d'autres moments, parce que dans le contexte dans lequel la bénédiction est conférée, il n'y a pas de manifestation de désobéissance ou de lien avec un péché grave. Mais dans un contexte où une personne pèche gravement, ou manifeste une désobéissance grave à l'Église ou à la loi de Dieu, comme lorsque deux personnes s'identifient comme faisant partie d'un « couple » homosexuel, il est absolument interdit et gravement pécheur de donner une bénédiction à une telle personne ou à de telles personnes. Bénir la/les personne(s) dans cette situation signifie que cette/ces personne(s) sont capables de se sanctifier ou d'obtenir la faveur de Dieu tout en s'engageant dans une grave désobéissance à Dieu. Par conséquent, ces personnes ne doivent pas être bénies. Ceci devrait être évident. On retrouve d'ailleurs ce principe dans la Règle de saint Benoît, chapitre 25 : Saint Benoît, La sainte règle, chap. 25 : « Quand un moine aura commis une faute très grave, il doit être exclu à la fois et du réfectoire et de l’oratoire... Aucun de ceux qui le rencontreront ne lui donnera la bénédiction. On ne bénira non plus sa nourriture. » Mais voici quelques citations du pape saint Grégoire VII qui illustrent le principe catholique selon lequel les personnes gravement désobéissantes ne doivent pas être bénies. La dernière citation est particulièrement intéressante et, à mon avis, prophétique. Pape saint Grégoire VII, aux clercs de Romans, 21 mars 1077 : « Comme l'exige l'autorité sacrée, nous avons omis de vous envoyer le salut et la bénédiction apostolique, comme il est d'usage, en raison de l’excommunication que vous n'avez pas craint d'encourir pour vos offenses. » Ici, le pape dit que l'autorité sacrée ne lui permet pas de donner une bénédiction apostolique aux excommuniés. Cela ne s'applique pas seulement aux excommuniés, comme nous le verrons, mais à toute personne (y compris un membre des fidèles) qui manifeste une grave désobéissance. Pape saint Grégoire VII, à l'évêque Hubert de Thérouanne, fin 1080 (Epistolae vagantes n° 42) : « Grégoire, évêque, serviteur des serviteurs de Dieu, à l'évêque Hubert de Thérouanne, salut et bénédiction apostolique, s’il ne résiste pas sciemment aux décrets du siège apostolique. » Remarquez qu'il faut être obéissant pour recevoir la bénédiction. Pape saint Grégoire VII, au clergé et au peuple de l'Église de France (Thérouanne) 1082, (Epistolae Vagantes n° 46) : « Grégoire, évêque, serviteur des serviteurs de Dieu, au clergé et au peuple de l'église de Thérouanne, et en particulier à l’excellent comte Robert, salut et bénédiction apostolique, s’ils sont obéissants. » Remarquez à nouveau que ceux qui sont désobéissants ne sont pas bénis. Pape saint Grégoire VII, aux chanoines de Saint-Martin, Tours, 1082-1083 : « Parce que nous avons appris que vous n'avez pas obéi à nos légats et à votre archevêque, mais que vous avez au contraire chassé l'archevêque, et parce que nous avons appris que, pour votre faute, vous avez été excommunié par eux, nous n’avons pas osé vous envoyer notre salut et notre bénédiction apostolique. » Pape saint Grégoire VII, au roi Henri IV d’Allemagne, 8 décembre 1075 : « Si tel [compte-rendu] est le cas, vous savez vous-même que vous ne pouvez recevoir la grâce d'une bénédiction divine ou apostolique que si ceux qui ont été excommuniés ont été bannis de chez vous et contraints à la pénitence, et que si vous avez d’abord reçu l'absolution et le pardon de votre transgression avec la douleur et la satisfaction convenables. » Nous pourrions citer d'autres passages du même pape, mais considérons celui-ci en particulier. Il est prophétique. Pape saint Grégoire VII, aux fidèles d’Italie et d’Allemagne, 1079 (Epistolae vagantes n° 32) : « Grégoire, évêque, serviteur des serviteurs de Dieu, à tous ceux qui font preuve d’obéissance due à saint Pierre dans tout le royaume d’Italie et d’Allemagne, salut et bénédiction apostolique. Quant aux prêtres, diacres et sous-diacres qui sont coupables du crime de fornication, au nom de Dieu tout-puissant et par l’autorité de saint Pierre, nous leur interdisons l’entrée dans l'Église jusqu'à ce qu'ils se repentent et s'amendent. Si certains préfèrent rester dans leur péché, qu'aucun d'entre vous n'ose entendre leurs offices. Car leur bénédiction est devenue une malédiction et leur prière un péché, comme l’atteste le Seigneur par l’intermédiaire du prophète qui dit : “Je maudirai vos bénédictions” (Malachie 2:2). » Ceci est fascinant. Le pape saint Grégoire VII cite Malachie 2:2, selon lequel Dieu maudit les bénédictions offertes par des personnes impliquées dans la fornication ou les péchés sexuels. Cela s'applique bien sûr directement (et je crois prophétiquement) à la déclaration Fiducia supplicans de l'antipape François, qui permet spécifiquement aux personnes vivant dans la fornication et l'adultère (c'est-à-dire les couples en situation irrégulière), ainsi qu'aux « couples » de même sexe, d'être bénis. Ces « prêtres » deviennent ainsi impliqués, par leur approbation, dans le crime de fornication et les péchés sexuels, et donc leurs « bénédictions » deviennent des malédictions, exactement comme l'a dit le pape Grégoire VII, citant le prophète Malachie. Ainsi, alors que la véritable Église catholique et un véritable pape - parlant avec la voix de saint Pierre pour défendre la foi chrétienne - excluent absolument des bénédictions ceux qui sont manifestement impliqués dans la fornication, et les renvoient jusqu'à ce qu'ils se repentent, amendent leur vie et soient prêts à se confesser, la contre-Église apocalyptique de Vatican II fait l'inverse. Elle donne des bénédictions aux personnes impliquées dans la fornication et l’adultère ; et ce qui est encore pire, l'activité homosexuelle et les actes contre nature. Ces « bénédictions » de la Contre-Église Vatican II deviennent donc des malédictions, comme l'a dit Malachie. Notez également que cette lettre du pape saint Grégoire VII était adressée aux fidèles d'Italie et d'Allemagne. Je ne crois pas qu'il s'agit d'une simple coïncidence. Je crois que c'était providentiel et prophétique. En effet, dans quels deux pays les « bénédictions » des couples de même sexe (ainsi que de ceux qui vivent dans l'adultère et la fornication) sont-elles les plus notoires ? La réponse est : en Italie et en Allemagne. C'est en Allemagne qu'ils sont les plus notoires, bien sûr, en raison de ce que leurs faux évêques font depuis un certain temps à cet égard. Ces « bénédictions » sont encore plus notoires en Italie, car l'antipape François, l'actuel chef de la prostituée apocalyptique de Babylone, vient de les approuver officiellement à Rome, en Italie, pour la Contre-Église tout entière. La citation de Malachie 2:2 faite par le pape saint Grégoire VII, dans ce contexte, était également prophétique. Bien que la déclaration de Dieu dans Malachie 2:2, « Je maudirai vos bénédictions » s'appliquait à cette période de l'Ancien Testament, je crois qu’elle s'applique encore plus profondément à ce que l'antipape François a fait récemment devant le monde entier et à cette période apocalyptique. Malachie est le dernier des douze prophètes mineurs de l’Ancien Testament. Il représente en quelque sorte la fin d'une alliance. Le dernier chapitre de son livre annonce également la fin du monde. Malachie 4:1 - « Car voici que viendra un jour embrasé comme la fournaise ; et tous les superbes et tous ceux qui commettent l’impiété seront de la paille… » Au chapitre 2 de ce livre prophétique, Dieu s'adresse aux prêtres qui ont violé l'alliance par désobéissance et profané le sanctuaire par l'idolâtrie et les abominations. Malachie 2:1-11 - « Et maintenant, à vous ce commandement, ô prêtres. Si vous ne voulez pas écouter et si vous ne voulez pas prendre à cœur de rendre gloire à mon nom, dit le Seigneur des armées, j’enverrai sur vous l’indigence, et je maudirai vos bénédictions… vous avez corrompu l’alliance de Lévi… parce que Juda a profané le sanctuaire du Seigneur… » C'est précisément ce qu'ont fait la secte Vatican II et ses faux prêtres pendant la période de la nouvelle alliance. Dans Malachie 2, Dieu dit aux prêtres qui ont violé l'alliance et profané le sanctuaire : Je maudirai vos bénédictions. Et maintenant, le monde entier entend parler de l'approbation par l'antipape François des « bénédictions » pour les couples de même sexe, ainsi que pour ceux qui vivent dans la fornication et l'adultère - une abomination aux yeux de Dieu qui ne peut qu'entraîner une malédiction majeure. |
François « bénit » toutes les religions en Indonésie : l’apostasie
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