L’Apocalypse maintenant au Vatican
2 juillet 2024
SUPPORT
Copy Link
https://endtimes.video/fr/apocalypse-maintenant-au-vatican/
Copy Embed
vaticancatholique.com - Chaîne en français

| |

Frère Peter Dimond, O.S.B.

Dans nos vidéos, nous présentons des preuves éclatantes que l'apostasie actuelle à Rome est l'accomplissement de la prophétie apocalyptique au sujet de la Prostituée de Babylone et du retour de la bête qui était, c'est-à-dire la Rome païenne, dans les derniers jours. La Prostituée de Babylone n'est pas l'Église catholique, mais la Contre-Église prophétisée de la fin des temps : la secte Vatican II. Dans cette vidéo, nous allons couvrir quelques faits frappants supplémentaires qui soutiennent notre conclusion sur la Bête de la fin des temps et l'Antéchrist. 

Apocalypse 17:4-5 - « La femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, parée d'or, de pierres précieuses et de perles, ayant en sa main une coupe d'or pleine de l'abomination et de l'impureté de sa fornication. Et sur son front un nom écrit : Mystère ; la grande Babylone, la mère des fornications et des abominations de la terre. »

Apocalypse 17:8 - « La bête que tu as vue était, et elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s’étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. »

L'Apocalypse dit que la bête a sept têtes et elle définit les sept têtes comme étant sept montagnes et sept rois. Les sept montagnes sont Rome, et les sept rois font référence aux sept prêtres-rois de la Cité-État du Vatican.

Apocalypse 17:7-10 - « Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes. La bête que tu as vue était, et elle n’est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. C’est ici l’intelligence qui a de la sagesse. Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept rois : cinq sont tombés, un existe, et l’autre n’est pas encore venu ; et quand il sera venu, il ne doit rester que peu de temps.  »

Puisque la prophétie relie les sept rois à la bête de la fin des temps, vous ne pouvez pas reconnaître la bête de la fin des temps sans reconnaître qui sont les sept rois.

En 1929, un tout nouveau royaume, et cela se vérifie historiquement, a été établi à Rome par les Accords du Latran. Le royaume est appelé la Cité-État du Vatican. Le pape Pie XI, un pape valide, a été le premier roi de la Cité-État du Vatican ; l'antipape Benoît XVI étant le septième. La royauté du premier roi, Pie XI, a été officiellement annoncée le lundi 11 février 1929 avec la signature des Accords du Latran.

Il est frappant de constater que le septième roi, Benoît XVI, a officiellement annoncé sa démission le lundi 11 février 2013, dans une annonce choquante, suivie de deux coups de foudre au sommet de la basilique Saint-Pierre, le lieu même où saint Pierre est enterré.

Or, L'Apocalypse nous dit que la bête monte lorsque cinq des rois sont tombés, et qu’un existe. Ainsi, la bête monte pendant le règne du sixième roi. Si les sept rois de la Cité-État du Vatican sont les sept rois de la prophétie, et ils le sont, alors la bête de la fin des temps, c'est-à-dire la Rome païenne ou l'Empire romain païen, aurait dû monter ou revenir pendant le règne de Jean-Paul II, le sixième roi de la Cité-État du Vatican. Et c'est exactement ce qui s'est passé.

La Bête est montée politiquement sous le règne de Jean-Paul II, car l'Union européenne est l'Empire romain païen reconstitué ; elle a été officiellement formée en 1993 sous le règne de Jean-Paul II. Le symbole de l'Europe, utilisé par l'Union européenne, est Europa, une femme sur une bête. Une femme assise sur une bête est précisément ce que décrit saint Jean dans Apocalypse 17. Saint Jean décrivait, pour les derniers jours, l'Europe païenne, ou la Rome païenne si vous considérez l'Europe du point de vue de son leadership spirituel.

Apocalypse 17:3 - « Il me transporta en esprit dans un désert, et je vis une femme assise sur une bête de couleur d'écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. »

Et tout comme la bête est montée politiquement avec l'Union européenne lorsque cinq des rois de la Cité-État du Vatican sont tombés, la bête est aussi montée spirituellement, à cette époque, avec Jean-Paul II, le sixième roi. Cet aspect de la prophétie est encore plus significatif que la montée de la dimension politique de la bête avec l'Union européenne.

La bête est montée spirituellement sous le règne de Jean-Paul II, le sixième roi, car l'antipape Jean-Paul II était un roi romain païen qui enseignait littéralement que tout homme, y compris lui-même, est Dieu et le Fils de Dieu. Nous l'avons prouvé dans notre travail. Jean-Paul II a prêché le culte de l'homme et il a introduit l'idolâtrie dans l'Empire, tout comme les empereurs romains païens.

Jean-Paul II, Audience générale, 22 février 1984 :
« Les “clés du royaume des cieux” ne sont pas confiées à Pierre et à l'Église pour être utilisées arbitrairement ou pour manipuler les consciences, mais pour que les consciences soient libérées dans la pleine vérité de l’homme, qui est le Christ... »[1]

Dans sa toute première homélie, Jean-Paul II a déclaré que l'homme est le Christ de Matthieu 16:16.

« ... veuillez accueillir encore une fois, aujourd’hui et en ce lieu sacré, les paroles prononcées par Simon Pierre. Ces paroles contiennent la foi de l’Église. Elles contiennent la vérité nouvelle bien plus, la vérité ultime et définitive sur l’homme : le fils du Dieu vivant. “Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant !” »[2]

Dans sa première encyclique, il définit l'Évangile comme l'admiration envers l'homme et blasphème le Saint-Esprit. Voyez notre vidéo Jean-Paul II : son blasphême contre le Saint-Esprit et ses victimes spirituelles.

« En réalité, cette profonde admiration devant la valeur et la dignité de l'homme s'exprime dans le mot Évangile, qui veut dire bonne nouvelle. Elle est liée aussi au christianisme. »[3]

Jean-Paul II, Redemptor Hominis (n°6), 4 mars 1979 :
« N’arrive-t-il pas parfois que la ferme croyance de ceux qui professent des religions non chrétiennes – qui procède elle aussi de l’Esprit de Vérité opérant au-delà des frontières visibles du Corps mystique – puisse faire honte aux chrétiens, étant souvent si disposés eux-mêmes à douter des vérités révélées par Dieu... »

Tout au long de son anti-papauté, il a systématiquement prêché que le Fils de Dieu est devenu tout homme dans l'Incarnation et donc que tout homme est le Fils de Dieu.

« Le Saint Noël est la fête de l’homme... »[4]

« En se révélant lui-même sur la montagne et en donnant sa Loi, Dieu révèle l'homme à lui-même. Le Sinaï se situe au cœur même de la vérité concernant l'homme et sa destinée. »[5]

« ... les valeurs de l'Orient et l'Occident pourraient se rejoindre pour développer une vision véritablement universelle et humanitaire fondée sur la foi en l'homme. »[6]

Voyez aussi notre vidéo La Marque Distinctive de l’Antéchrist.

La raison pour laquelle Jean-Paul II prêchait que l'homme est Dieu et blasphémait le Saint-Esprit dès le début de son règne, est que la Rome païenne, c'est-à-dire la bête, montait spirituellement avec lui, le sixième roi, lorsque cinq d'entre eux étaient tombés, exactement tel qu'il avait été prophétisé. Dans son rôle en tant que roi romain païen qui prêchait que l'homme est Dieu, Jean-Paul II reproduisait ce que faisaient les rois romains païens dans l'Empire romain païen. Davantage à ce sujet dans un instant.

Apocalypse 13:3 nous dit qu'une des têtes de la bête, et souvenez-vous, chaque tête est un roi associé à Rome, semblait avoir une blessure mortelle, mais la blessure a été guérie. L'Apocalypse nous dit donc que l'un des rois romains semblait avoir une blessure mortelle, mais qu'elle a été guérie.

Cela correspond précisément à Jean-Paul II, un roi romain de la Cité-État du Vatican, et à sa célèbre blessure le 13 mai 1981 sur la place Saint-Pierre. Jean-Paul II a reçu quatre balles à bout portant, mais il a survécu. Cet événement a été un élément clé de la tromperie qui a entouré son règne.

Apocalypse 13:3 - « Et je vis une de ses têtes [c'est-à-dire, un des sept rois de Rome associés avec la Prostituée de Babylone, voyez Apo. 17] comme blessée à mort ; mais cette plaie mortelle fut guérie. Aussi toute la terre émerveillée suivit la bête. »

Apocalypse 13:14 - « ... elle séduisit ceux qui habitaient sur la terre... disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui a reçu une blessure du glaive, et qui a conservé la vie. »

Dans Apocalypse 13:14, on nous dit que le peuple est séduit en vue de faire une image de celui qui a reçu une blessure du glaive et qui a conservé la vie. Cela correspond à nouveau à Jean-Paul II qui, malgré son apostasie choquante et sa carrière d'hérésie, d'indifférentisme et de blasphème, a été solennellement « canonisé » par la secte Vatican II après sa mort, tout en ayant son image honorée à la Basilique Saint-Pierre, le Temple de Dieu. Cette soi-disant canonisation n'a aucune validité pour les vrais catholiques, car elle a été proclamée par François, qui est un antipape. Selon l'enseignement catholique, les hérétiques sont automatiquement expulsés de l'Église et ne peuvent y exercer aucune fonction.

Pape Paul IV, Cum ex Apostolatus Officio, 15 février 1559 :
« ... pour que nous ne soyons jamais témoin de "l'abomination de la désolation dans le lieu saint" annoncée par le prophète Daniel... Nous décidons, statuons, décrétons et définissons que si jamais il advient qu'un évêque... avant leur promotion ou leur élévation au cardinalat ou au souverain pontificat, ont dévié de la foi catholique ou bien sont tombés dans quelque hérésie... la promotion ou l’élévation, même si cette dernière a eu lieu avec l’assentiment unanime de tous les cardinaux, est nulle, invalide, vaine... »[7]

Saint Robert Bellarmin, cardinal et docteur de l'Église, De Romano Pontifice, II, 30 : « Un pape qui est un hérétique manifeste cesse automatiquement (per se) d'être le pape et la tête, de la même façon qu'il cesse automatiquement d'être un chrétien et un membre de l'Église. C’est pourquoi il peut être jugé et puni par l’Église. C'est l’enseignement de tous les anciens Pères, qui enseignent que les hérétiques manifestes perdent immédiatement toute juridiction. »[8]

St Robert Bellarmin : « Ce principe est très certain. Le non-chrétien ne peut en aucun cas être pape, comme l'admet lui-même Cajetan (lib. c. 26). La raison en est qu'il ne peut pas être la tête de ce dont il n'est pas un membre ; or celui qui n'est pas chrétien n'est pas membre de l'Église, et un hérétique manifeste n'est pas un chrétien, comme l'enseignent clairement saint Cyprien (lib. 4, epist. 2), saint Athanase (ser. 2 cont. Arian.), saint Augustin (lib. de grat. Christ. cap. 20), saint Jérôme (contra Lucifer.) et d'autres ; par conséquent l'hérétique manifeste ne peut pas être pape. »[9]

St François de Sales, Docteur de l'Église ; 17e siècle : « … Or, quand il [le pape] est hérétique exprès, ipso facto, il tombe de son grade hors de l’Église… »[10]

St Antonin ; 1459 : « Dans le cas où le pape deviendrait un hérétique, il se trouverait, par ce fait seul et sans aucun autre jugement, séparé de l’Église. Une tête séparée du corps ne peut, tant qu’elle reste séparée, être la tête du même corps dont elle a été coupée. Un pape qui serait séparé de l’Église par l’hérésie, par conséquent, cesserait par ce fait seul d’être la tête de l’Église. Il ne pourrait pas être un hérétique et rester pape, car, puisqu’il est en dehors de l’Église, il ne peut pas posséder les clefs de l’Église. »[11]

Considérer l'idolâtre et l'hérétique Jean-Paul II comme un saint, est le moyen par lequel les foules sont impliquées dans le mal qu'il a encouragé :

À présent, considérez ceci. Le mot grec pour « épée courte » ou « glaive » dans Apocalypse 13:14, comme dans « celui qui a reçu une blessure du glaive, et qui a conservé la vie », est μαχαίρης [lire : makhaïrisse], une forme génitive de μάχαιρα [lire : makhaïra]. Les armes à feu n'existaient pas à l'époque de saint Jean. Par conséquent, une blessure par un pistolet à bout portant serait raisonnablement décrite par l'auteur biblique comme une blessure du glaive.

Apocalypse 13:14 - « ... elle séduisit ceux qui habitaient sur la terre... disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui a reçu une blessure du glaive [μαχαίρης], et qui a conservé la vie. »

μαχαίρης - une forme génitive de μαχαίρα

μαχαίρα - une épée courte ou glaive

Pourtant, en 2008, il a été révélé que le 12 mai 1982, environ un an après sa blessure sur la place Saint-Pierre, Jean-Paul II a été littéralement poignardé lors de sa visite à Fatima. Ce fait n'a été révélé publiquement qu'en 2008, et nous ne l'avons appris que récemment.

« La blessure cachée de Jean Paul II, lors de l'attentat de Fatima, en 1982, au Portugal »[12]

« Un an jour pour jour après l'attentat … place Saint-Pierre, le 13 mai 1981, à Rome, le pape Jean Paul II fut de nouveau blessé au cours d'une seconde agression, à Fatima, au Portugal. Un épisode qui n'avait jamais été révélé…

« Les images de télévision montrent un homme qui se lance vers lui, une arme blanche à la main. Il s'agit d'un prêtre, un Espagnol ultraconservateur… Celui-ci fut immédiatement immobilisé et arrêté. »

« "Maintenant je peux le dire, le Saint-Père fut blessé.”  » 

Incroyable. Cette armée blance précédement mentionnée est en réalité un poignard. Eh bien, si vous cherchez le mot grec makhaïra, le mot utilisé dans Apocalypse 13:14, vous verrez que l'une de ses principales définitions est « poignard. »

Donc, même si nous pensons que l'attentat contre Jean-Paul II en 1981 réalise la prophétie de l’Apocalypse 13 concernant la blessure d'un des rois de la bête, afin d'éliminer toute objection qui nierait que Jean-Paul II soit visé par cette prophétie, environ un an plus tard, il a été littéralement poignardé par une courte épée ou un poignard, et une définition principale de Μάχαιρα [makhaïra] est « poignard. »

Combien de preuves supplémentaires avez-vous besoin pour vous convaincre que Jean-Paul II est mentionné dans cette prophétie, et donc que ce qui se passe à Rome maintenant est l'accomplissement de la prophétie de la fin des temps sur le retour de la bête qui était, comme nous l'avons dit. Et bien, il y en a davantage.

Apocalypse 17:7-10 - « Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes… C'est ici l'intelligence qui a de la sagesse. Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept rois : cinq sont tombés, un existe, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit rester peu de temps. »

Concernant le septième roi, l'Apocalypse dit : il doit rester peu de temps. Cela correspond à Benoît XVI, le septième roi, qui a démissionné en 2013 après un règne relativement court, plus de trois fois plus court que celui du sixième roi.       

Un éclair a frappé le Vatican non pas une mais DEUX FOIS, quelques heures après la démission choquante du pape[13]

Mais voyez ceci. En 2005, juste après sa soi-disant élection, Benoît XVI a prédit que son règne serait court.

Apocalypse 17:10  - « ... et quand il sera venu, il doit rester peu de temps. »

« Benoît XVI a prédit un "court règne" dans ses commentaires aux cardinaux juste après son élection. »[14]

Qu'il ait réalisé ou non la signification de cette déclaration, Benoît XVI l'a faite en 2005 parce qu'il était le septième roi qui allait régner pour une courte période. Après sa démission, divers médias, comme ABC News, ont qualifié son règne de court.

 « Malgré son mandat plutôt court, Benoît XVI a eu un impact significatif. »[15]

L'antipape Benoît XVI était le septième roi. Et l'antipape apostat François n'est pas l'un des sept rois pour deux raisons. Nous avons déjà abordé ce sujet en détail ailleurs, mais tout d'abord : la Cité-État du Vatican est une monarchie sacerdotale, un royaume de prêtres, et François n'est pas un prêtre valide, ayant été « ordonné » dans le nouveau rite invalide de Paul VI. Par conséquent, François n'est pas qualifié pour être un prêtre-roi de la monarchie sacerdotale, la Cité-État du Vatican.

G. Pope Atkins, Encyclopedia of the Inter-American System, 1997:
« Ainsi, le Saint-Siège a la personnalité juridique en droit international, le pape présidant une “monarchie sacerdotale”.... »

Deuxièmement, François rejette ouvertement tous les aspects de la royauté. Son rejet de tous les aspects de la royauté, en contradiction avec Benoît XVI, est un signe pour tous que Benoît XVI, même s'il était un antipape apostat, était le septième et dernier roi de la prophétie.

« Vatican: le pape François voyagera avec un passeport argentin »[16]

L'Apocalypse nous dit que la bête était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra, et que les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de la vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. L'étonnement en voyant la bête fait référence au choc, à la stupeur, à la stupéfaction et à la confusion troublée que ressentent les gens à propos de ce qui s'est passé à Rome après Vatican II.

La bête = la Rome païenne

Apocalypse 17:8 - « Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s’étonneront [ θαυμασθήσονται ] en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. »

θαυμάζω (thaumazo) - Je m’étonne, je m'émerveille

θαυμάζω - « être impressionné de façon extraordinaire ou perturbé par quelque-chose » (BDAG, p. 444).

À partir de Jean XXIII, des antipapes hérétiques, qui n'ont pas été validement élus à la papauté, ont pris possession du Vatican, conformément à la prophétie, conduisant à la révolution de Vatican II. En conséquence, la ville de Rome a perdu la foi et est revenue au paganisme, à l'idolâtrie et à l'impiété, réduisant la véritable Église catholique à un reste fidèle dans les derniers jours.

Notre-Dame de la Salette, 19 septembre 1846
« Rome perdra la foi et deviendra le siège de l'Antéchrist... l'Église sera éclipsée. »

Le retour de Rome au paganisme, à l'idolâtrie et à l'impiété dans la période post-Vatican II a provoqué choc, étonnement et confusion troublée chez ceux qui n'ont pas la grâce et la foi de reconnaître qu'une Contre-Église dirigée par des antipapes, et non la véritable Église catholique, est maintenant à Rome et a pris le contrôle du temple de Dieu et des structures physiques de l'Église.

Puisqu'ils ne comprennent pas et refusent de voir que ce qui occupe Rome et le Vatican maintenant n'est pas l'Église catholique, mais la bête de la fin des temps et la Prostituée de Babylone, ils sont abasourdis et profondément perplexes de voir le paganisme et l'apostasie et toute espèce d'hérésie venant de l'endroit où ils s'attendent à voir le catholicisme être enseigné. Voilà l'étonnement prophétisé face à la bête. La réaction de tant de personnes face au paganisme et au mal dans la Rome post-Vatican II est une réalisation très frappante et très claire de cette prophétie.

Apocalypse 17:8 - « Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. »

Il convient également de noter qu'en décrivant comment la bête est sur le point de monter pendant le règne du sixième roi, Apocalypse 17:8 dit que la bête était et elle n'est plus. La bête était à cette époque parce qu'elle existait sous l'Empire romain païen. Elle n'est plus à cette époque juste avant que la bête ne monte avec l'Union européenne sous le règne de Jean-Paul II. Elle reparaîtra à cette époque, lorsque cinq sont tombés parce que, de ce point de vue, la Rome païenne était sur le point de revenir dans le futur lorsque l'Union européenne a été formée sous le règne de Jean-Paul II, le sixième roi. Le retour de la Rome païenne, le retour de la bête, c'est la raison pour laquelle le paganisme est maintenant célébré et pratiqué au Vatican, au grand dam des masses.

En 2019, une statue de Moloch, le faux dieu du sacrifice d'enfants, a été exposée à Rome près du Colisée.[17] Cela s'est produit sept jours seulement avant que l'idole païenne Pachamama ne soit adorée dans les jardins du Vatican et « bénie » par l'antipape François. Ce ne sont là que quelques-uns des exemples du retour de la Rome païenne, conformément à la prophétie. Beaucoup de gens ne peuvent pas comprendre pourquoi ou comment ce genre de choses peut se produire à Rome. Notre travail explique pourquoi. L'exemple le plus significatif du retour du paganisme à Rome se trouve dans l'indifférentisme religieux et les hérésies officiellement prêchés par les antipapes de Vatican II, et dans les fausses doctrines de la religion de Vatican II.

Examinons maintenant une autre réalisation frappante de la prophétie sur le retour de la bête, c'est-à-dire de la Rome païenne, à notre époque.

Tout d'abord, notez que si les empereurs romains étaient, techniquement parlant, des empereurs plutôt que des rois, ils étaient en réalité des rois. Voyez par exemple Jean 19:15 où Tibère César, l'empereur romain de l'époque, est qualifié de roi. Dans ce verset, on lit que les gens qui ont appelé à la crucifixion du Christ ont déclaré : « Nous n'avons de roi que César ».

Jean 19:15 - « Les pontifes répondirent : Nous n'avons de roi que César. »

Ainsi, les empereurs romains étaient de facto des rois romains, et l'honneur accordé à l'empereur romain païen et à son image, était l'honneur accordé à un roi romain païen. Or, dans l'Empire romain païen, on pratiquait le culte de l'empereur. De diverses manières, certains empereurs romains étaient traités comme s'ils étaient divins. Cependant, il est extrêmement important de noter que dans la capitale elle-même, c'est-à-dire à Rome même, dans le culte officiel de l'État, un empereur ne pouvait recevoir le culte divin qu'après sa mort. Cela est crucial pour comprendre un aspect de ce qui se passe au Vatican aujourd'hui, et comment il accomplit la prophétie sur le retour de la bête qui était.

Voici quelques citations sur ce point :

Grant R. Osborne, Revelation, Baker Academic 2002, p. 491 :
« Alors que les Grecs donnaient un statut divin aux souverains de leur vivant, les Romains ne déclaraient traditionnellement leurs empereurs des dieux qu'après leur mort. Cependant, c'était plutôt le cas à Rome même... »             

Steven J. Friesen, Imperial Cults And The Apocalypse Of John, Oxford Univ. Press, 2001, p. 28 :
« ... le système romain du divus dans lequel les bons empereurs étaient divinisés après leur mort par un vote du Sénat. »

Ittai Gradel, Emperor Worship and Roman Religion, Oxford Univ. Press, 2002, chap. 4 :
« ... politique officielle dans le culte d'État de la capitale, où un empereur ne pouvait recevoir le culte divin qu'après sa mort. »

CONSIDÉREZ CECI AVEC ATTENTION. C'est extrêmement important pour comprendre comment la secte Vatican II accomplit la prophétie au sujet de la bête.

Bien que dans l'Empire romain, certains empereurs romains vivants aient parfois reçu ce qui équivalait à l'honneur divin dans des cultes privés ou non officiels, dans le culte officiel de l'État à Rome même, les empereurs ne pouvaient pas recevoir le culte divin avant de passer par une cérémonie spéciale dite de déification après la mort. PERMETTEZ-MOI DE LE RÉPÉTER : Rome païenne, la bête qui était, « déifiait » les rois romains païens lors d'une cérémonie spéciale après leur mort. Et ce n'est qu'alors que ces rois romains païens décédés pouvaient recevoir, selon eux, un statut spirituel spécial.

Beaucoup ont été choqués et se sont interrogés sur le phénomène plutôt étrange, à savoir, que malgré tous les scandales, les maux et les mauvais fruits qui ont suivi Vatican II, Jean XXIII, Paul VI et Jean-Paul II ont été « canonisés » par la secte Vatican II, le tout dans un laps de temps relativement court, même si dans la véritable Église catholique, seuls deux papes ont été canonisés au cours des 500 dernières années, Pie X et Pie V.

Quand vous reconnaissez que ce que nous voyons est le retour de la Rome païenne, vous comprenez pourquoi cela se produit. Jean XXIII, Paul VI et Jean-Paul II étaient littéralement des rois romains païens de la Cité-État du Vatican, comme nous l’avons montré.

Ils ont promu l'iniquité, l'idolâtrie et l'hérésie. La secte Vatican II est la composante spirituelle de la bête de la fin des temps. C'est le retour de la Rome païenne. Ainsi, tout comme l'empire romain païen a officiellement honoré les rois romains païens décédés et leur a donné un titre spécial après leur mort, la nouvelle version de la bête s'est mise à « canoniser » tous les antipapes décédés, qui étaient également des rois romains païens, qui ont joué un rôle important dans la religion inique de Vatican II, à l'exception, jusqu'à présent, de Jean-Paul I qui n'a régné que pendant 33 jours et Benôit XVI, qui est mort le 31 décembre 2022. Voilà pourquoi il y a eu cette empressement à « canoniser » ces perfides rois romains et antipapes Vatican II. C'est une réalisation évidente de la prophétie sur le retour de la bête qui était, la Rome païenne. Cela montre que nous vivons au temps de la bête de la fin des temps. 

Apocalypse 17:8 - « Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. »

MAIS JE VAIS ÊTRE TRÈS CLAIR. Je ne dis pas du tout qu'une véritable canonisation catholique est idolâtre ou que cela signifie que la personne qui est canonisée est considérée comme divine. Bien sûr que non. Une véritable canonisation par un pape valide signifie que le saint doit être vénéré ou honoré comme une personne sainte au ciel, et non que le saint est considéré comme Dieu ou divin. Mais pendant la Grande Apostasie, la bête de la fin des temps et la Contre-Église ont pris possession des structures physiques de l'église et ont occupé le temple de Dieu.

Ils tentent ainsi de détourner le processus de l'Église pour imposer l'iniquité et le paganisme. Par conséquent, la bête procède à de fausses canonisations à ses propres fins maléfiques. Les fausses canonisations deviennent alors un moyen par lequel la bête de la fin des temps poussent les gens à honorer des perfides rois romains païens, tout comme l'empire romain païen à diverses époques a poussé les gens à honorer des perfides rois romains païens.

Cependant, dans le cas de Jean-Paul II, lorsque les gens l'acceptent comme un saint, ils ne sont pas seulement impliqués dans son iniquité en générale, ses hérésies et son idolâtrie, mais ils approuvent en réalité son assertion qui veut que lui et tout un chacun soient Dieu, car Jean-Paul II a prêché officiellement et à plusieurs reprises que tout homme est Dieu. L'accepter comme un saint, c'est donc approuver l'affirmation selon laquelle un roi romain païen décédé est Dieu, exactement comme cela s'est passé pour la bête qui était.

C'est pourquoi Jean-Paul II est mis en évidence dans l'Apocalypse. C'est pourquoi sa blessure est mentionnée. Il est l'image de la Rome païenne. Il a introduit la réunion de prière d'Assise, qui a marqué l'histoire du monde, où les dirigeants de toutes les grandes fausses religions du monde se sont réunis pour prier pour la première fois.

Cela correspond exactement à ce qui est dit dans 2 Thessaloniciens 2 au sujet de l'homme de péché qui est au-dessus et en face de tout ce qui est appelé Dieu ou qui est un objet de culte. Pour en savoir plus, voyez notre vidéo L'Antéchrist identifié.

2 Thessaloniciens 2:3-4 - « Car ce jour-là ne viendra pas que l'apostasie [ἡ ἀποστασία] ne soit arrivée auparavant et que l'homme de péché n'ait été révélé, le fils de la destruction, qui s'étend en face de et s'élève au-dessus de tout ce qui est appelé Dieu ou qui est un objet de culte... »

C'est aussi pourquoi le mot « paix » était inscrit sur l'autel de cet événement idolâtre d'Assise, qui est l'événement le plus notoire de toute l'apostasie. Dans l'Empire romain païen, l'un des monuments les plus célèbres était Ara Pacis, qui signifie l'autel de la paix. C'était un autel païen sur lequel on pratiquait l'idolâtrie, dédié au nom de la paix.

Et que voyons-nous dans la Contre-Église Vatican II, qui représente le retour de la Rome païenne ? L'événement le plus célèbre, ou plutôt notoire, par lequel le paganisme et l'idolâtrie ont été introduits et menés, était la rencontre de prières d'Assise, qui était la « Journée Mondiale de Prière pour la Paix ». Et sur l'autel même où les différentes fausses religions ont conduit leur culte idolâtre, le mot paix était écrit en plusieurs langues. Ce n'est pas un hasard. Assise est la nouvelle ara pacis, c'est l'autel païen de la paix dans la nouvelle version de la bête. Et elle a été introduite par l'antipape Jean-Paul II, le sixième roi, qui représente la bête de la fin des temps.

Il est également logique que dans la bête qui était, la Rome antique, l'Ara Pacis se trouvait à Rome, puisque leur « paix » se trouvait dans leur force militaire concentrée à Rome. Mais dans la nouvelle version de la bête, ou la bête qui est revenue et qui a pris son essor avec Jean-Paul II, le but est de se moquer de la paix chrétienne. Saint François d'Assise est connu comme le saint de la paix chrétienne. Il est donc logique que le nouvel Ara Pacis de la bête se trouve dans une ville qui est associée à la paix chrétienne : Assise.

À présent, considérez ce qui suit. Hérodien était un historien grec, né en 170 après J.-C., qui a écrit une célèbre histoire partielle de l'Empire romain. Il nous donne quelques détails sur le déroulement d'une cérémonie de « déification » des empereurs romains après leur mort. Il écrit ceci :

Hérodien, Histoire romaine depuis la mort de Marc-Aurèle jusqu’à l’avènement de Gordien III :
« Il est d'usage à Rome de diviniser les empereurs qui laissent en mourant des fils pour héritiers de leur puissance. Cette consécration solennelle s'appelle "apothéose"... son image, faite de cire d'une ressemblance parfaite est placée dans le vestibule du palais, sur un lit d'ivoire fort élevé... »[18]

Il énumère un certain nombre d'autres éléments associés à la cérémonie. Il explique que le lit, contenant l'image de l'empereur décédé, serait transporté sur la place.

Hérodien, Histoire romaine depuis la mort de Marc-Aurèle jusqu’à l’avènement de Gordien III, Traduite du grec par Léon Halévy, Paris, Librairie de Firmin Didot Frères et Cie, 1860, pp. 139  :
« Au milieu de la place s'élève un vaste édifice carré, formé de longues planches étroitement jointes ; l'intérieur est rempli de matières combustibles... »

Il explique que cet édifice avait plusieurs étages. Il poursuit en disant :

« Après cette cérémonie, le nouvel empereur prend une torche allumée, et la pose sur le            monument [qui contient le lit avec l'image de l'empereur]. L’assemblée imite à l’instant son            exemple ; en un moment les parfums et les matières combustibles ont tout embrasé. »[19]

Donc, en résumé, ce qu'ils font lors de cette cérémonie de « déification » du roi romain païen décédé, est d'allumer l'image du roi païen dans un feu de joie.

Or, que savons-nous ? Le 2 avril 2007, au cours d'une cérémonie qui marquait spécifiquement le deuxième anniversaire de la mort de Jean-Paul II, l'image ou la silhouette de Jean-Paul II a été vue dans un grand feu en Pologne. Ceci a fait la une des journaux internationaux.

« Jean-Paul II apparaît à un Polonais »[20]

« Pologne : La silhouette de Jean-Paul II apparaît dans le feu d’une veillée »[21]

L'image de Jean-Paul II a été vue dans un feu, tout comme on allumait l'image des rois romains païens décédés dans un feu pendant la cérémonie de « déification », précisément parce qu'avec lui la bête est revenue, comme nous l'avons dit. C'est une autre réalisation évidente de la prophétie concernant le retour de la bête qui était.

Si cela, ainsi que les autres faits que nous avons couverts, ne vous convainc pas que nous sommes corrects, que le règne de Jean-Paul II a représenté l'accomplissement de la prophétie sur le retour de la bête, alors nous ne savons pas ce qui vous convaincra.

Examinons maintenant un autre aspect de cette prophétie. Comme nous l'avons mentionné, l'Apocalypse indique que la bête monte lorsque cinq des rois romains sont tombés et qu'un existe. Cela fait référence au retour de la Rome païenne avec l'UE sous le règne de Jean-Paul II, le sixième roi de la Cité-État du Vatican. Mais la bête n'existe pas seulement dans les derniers jours. Rappelez-vous, la bête était ou existait durant la Rome païenne, et elle a été remplacée par l'Europe chrétienne, avant de revenir dans les derniers jours sous le sixième roi de la Cité-État du Vatican.

La bête a donc eu deux passages dans sa carrière, si vous voulez. La bête était, puis elle a été remplacée par l'Europe chrétienne, et puis elle est revenue. Nous pensons que l'affirmation selon laquelle cinq des rois sont tombés et un existe, s'applique également à la première fois que la bête est montée au premier siècle.

L'Empire romain a été techniquement établi sous Auguste en 27 avant J.-C., le successeur de Jules César. Certains soutiennent donc qu'Auguste a été le premier empereur romain, et que si les sept rois de l'Apocalypse 17 s'appliquaient aux sept premiers empereurs, le compte devrait commencer par Auguste et non par Jules César.

D'autres, en revanche, pensent que le compte devrait commencer par Jules César car il était de facto le premier des Rois romains. En fait, Jules était considéré comme le premier empereur romain par l'historien romain antique Dion Cassius, et l'historien antique Josèphe. Théophile d'Antioche, évêque du 2e siècle, considérait également Jules comme le premier empereur. Dans Jean 19:15 et Actes 17:7, les empereurs romains sont appelés à la fois roi et César.

Jean 19:15 - « Les pontifes répondirent : Nous n'avons de roi que César. »

Actes 17:7 - « Ceux que Jason a reçus ; or tous sont rebelles aux décrets de César, disant qu'il y a un autre roi, Jésus. »

Il est donc logique que si la référence à la bête qui monte à la chute de cinq rois dans l'Apocalypse 17:10 s'applique aux sept premiers rois au moment de l'établissement de l'empire, le compte devrait commencer par Jules César et non par Auguste. Si nous commençons le compte des rois romains païens ou des empereurs avec Jules César, les sept premiers seraient :

  1. Jules
  2. Auguste
  3. Tibère
  4. Caligula
  5. Claude
  6. Néron
  7. Galba

Comme on peut le voir, Néron est le sixième roi, celui qui règne quand cinq sont tombés. Encore une fois, Apocalypse 17:10 dit des sept rois : cinq sont tombés, et un existe.

Il y a deux points de vue dominants sur la date d'écriture du Livre de l'Apocalypse. Beaucoup pensent qu'il a été écrit vers 96 après J.-C., sous le règne de l'empereur Domitien. D'autres pensent qu'il a été écrit dans les années 60, sous le règne de l'empereur Néron. Nous pensons qu'il a été écrit dans les années 60, avant la destruction du Temple, pendant le règne de Néron. Ceux qui datent le livre du règne de Néron font souvent référence à l'affirmation selon laquelle cinq des rois sont tombés, et un existe. Ils pensent que cela soutient l'idée que le livre a été écrit sous le règne de Néron, le sixième roi.

De plus, comme nous l'avons mentionné, l'Apocalypse 17:8 prévient que la bête est sur le point de monter, deux versets avant de faire référence à la chute des cinq et un existe. Si la référence à cinq tombés et un qui existe s'applique également à la bête qui monte pendant le règne de Néron, et nous pensons que ça devrait être le cas, cette partie concorde bien.

Car même si la Rome païenne en tant qu'empire existait avant Néron, ce dernier a été le premier empereur ou roi romain à persécuter officiellement le christianisme. Par conséquent, la Rome païenne, avec un roi romain païen s'opposant activement au Christ et à la vraie Église de manière officielle à Rome, a commencé avec Néron. La bête qui était, par conséquent, prend son essor lorsque cinq sont tombés et qu’un existe.

Eusèbe de Césarée, Histoire Ecclésiastique, Livre 2, Chap. 2, 4e siècle :
Néron « fut le premier empereur qui se déclara l'adversaire de la piété envers Dieu. »[22]

Tertullien, Le scorpiaque, Chap. XV :       
« ... Néron, le premier, ensanglante à Rome le berceau de la foi. »[23]

En 64 ap. J.-C., un incendie dévastateur s'est déclaré à Rome, et Néron a blâmé les chrétiens. Il utilisa cette excuse pour lancer une persécution majeure et vicieuse contre l'Église à Rome. Beaucoup ont été mis à mort, y compris saint Pierre et saint Paul, martyrisés le même jour à Rome.

Par conséquent, dans le monde antique, Néron était largement associé à la bête.

Stephen S. Smalley, The Revelation To John - A Commentary on the Greek Text of the Apocalypse, InterVarsity Press, 2005, p. 352 :
« Il est vrai que le terme “bête” (θηρίον, thēríon) était utilisé comme désignation de Néron dans l’Antiquité... »

Il serait donc logique que, tout comme la bête revient dans les derniers jours durant le règne du sixième roi de la Cité-État du Vatican, la bête a pareillement pris son essor, à l'origine, sous le règne du sixième roi romain, Néron.

Ceci est aussi important, à notre avis, pour comprendre certains passages tels qu'Apocalypse 13:5 :

Apocalypse 13:5 - « Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles d'orgueil et des blasphèmes ; et le pouvoir d'agir pendant quarante deux mois lui fut aussi donné. »

Nous pensons que cela fait référence à la persécution de l'Église par Néron, qui a duré exactement ou approximativement 42 mois, certains datant la persécution comme ayant commencé en novembre de l'an 64 apr. J.-C. et ayant duré 42 mois jusqu'à la mort de Néron en juin de l'an 68 apr. J.-C. De même, la déclaration d'Apocalypse 13:7 qui dit qu'il fut donné à la bête de faire la guerre aux saints, s'accorde bien avec la persécution de Néron.

Puisque la bête était, puis a été remplacée, mais revient dans les derniers jours, ce que fait la bête lors de son premier passage ou de son second passage fait référence à la même bête, celle qui monte, dans les deux cas, lorsque cinq rois romains sont tombés. Par analogie : un athlète professionnel peut avoir une carrière de dix ans et accumuler certains points. Il pourrait alors prendre sa retraite pendant un certain temps, puis revenir. Eh bien, tous les points qu'il a accumulés lors de son premier passage ou de son retour seraient attribués au même joueur.

De même, la bête, la Rome païenne, a connu un règne au premier siècle sous Néron, le sixième roi. Elle a persécuté l'Église pendant exactement ou environ 42 mois. Elle a fait la guerre aux saints, etc. Elle a ensuite été remplacée par l'Europe chrétienne. Mais elle revient dans les derniers jours, et quand elle revient, elle monte de même sous le règne du sixième roi à Rome, Jean-Paul II, car c'est à ce moment-là qu'il y avait un roi romain païen qui prêchait que l'homme est divin en s’opposant activement au Christ à Rome pendant le règne d'un empire en Europe. Et tous les détails que nous avons couverts montrent que la bête est effectivement revenue pendant le règne de Jean-Paul II, le sixième roi de la Cité-État du Vatican. 

Tout ce que la bête a fait, soit lors de son premier passage sous Néron, soit lors de son deuxième passage sous l'UE et l'Europe païenne de notre temps, est correctement attribué à la bête. C’est parce que c'est la même bête, la Rome païenne. C’est pour cela que, selon nous, parmi les déclarations de l'Apocalypse, il y en a qui font référence à ce qu’a fait la bête sous Néron (par ex. le fait qu’elle ait l'autorité d'agir pendant 42 mois), alors que d’autres s’appliquent à ce que la bête fait dans les derniers jours. La référence à 42 mois, qui selon nous s'applique à Néron, ne prouve pas que lorsque la bête reviendra, elle n'agira que pendant 42 mois. Elle peut simplement faire référence à ce que la bête a fait sous Néron.

Il faut également noter que certaines personnes pensent que le passage sur la façon dont cinq sont tombés, etc. ne s'applique qu'au temps de Néron. Mais ce point de vue n'est pas correct. Entre autres choses, ce point de vue ne peut pas expliquer comment la bête, si elle ne se lève que lorsque cinq sont tombés sous Néron, existait vraiment, car la bête se serait levée pour la première fois. Ce que nous couvrons, cependant, explique à la fois comment la bête se lève quand cinq sont tombés et comment la bête était et n'est plus et réapparaîtra. Cela explique aussi l'étonnement face à la bête, qui s'accomplit clairement à notre époque.

La bête était parce qu'elle existait sous la Rome païenne, et a ensuite cessé d'exister sous l'Europe chrétienne, mais elle revient sous le règne de Jean-Paul II, le sixième roi de la Cité-État du Vatican.

Nous avons mentionné la blessure de la tête, ou du roi de la bête, par le glaive, qui a été accomplie par Jean-Paul II d'une manière frappante et spécifique. Dans Apocalypse 13:3, cette blessure est appliquée à une tête de la bête, dont Apocalypse 17 indique qu'il s'agit d'un roi romain. Dans Apocalypse 13:14, la blessure est appliquée à la bête elle-même. La blessure peut être appliquée au roi de la bête et à la bête elle-même car le roi qui est blessé, Jean-Paul II, est un reflet de la bête et est lui-même l'Antéchrist. Ce roi qui est blessé est l'image de la bête.

Permettez-moi de l'expliquer encore. La blessure de la bête par le glaive, dont la bête est rétabli, s'applique à la fois à Jean-Paul II et à la Rome païenne elle-même. La Rome impériale païenne, en tant que persécuteur officiel de l'Église, a été blessée par le glaive de Constantin et du christianisme. Par la force de l'Évangile et la puissance du glaive, l'empire a été livré au christianisme. Et ce faisant, la bête, la Rome païenne, a subi une blessure qui semblait fatale. L'empire qui avait été le persécuteur du christianisme est devenu un empire chrétien.

Ainsi, l'Europe chrétienne a donné à la Rome païenne une blessure qui semblait fatale. Mais avec la repaganisation de l'Europe sous les perfides rois de la Cité-État du Vatican, après Vatican II, et la formation de l'Empire impie de l'Union européenne, la blessure que la Rome païenne a subie aux mains de l'Europe chrétienne a été guérie. Et ceci est très significatif car, même si les Juifs ont fait pression pour que Jésus soit mis à mort, le Seigneur Jésus-Christ a été cloué sur la croix par les Romains.

Rome pensait avoir un pouvoir sur le Seigneur lorsqu'elle l'a mis à mort, alors qu'en fait, Jésus n'offrait pas seulement le sacrifice par lequel les hommes sont sauvés, mais en quelques centaines d'années, la foi du Christ allait conquérir tout cet empire romain et l'unifier par son nom. C'était un aspect supplémentaire de la victoire du Christ sur Rome.

Mais dans les derniers jours, la bête riposte, si vous voulez, et réintroduit le paganisme en Europe, avec un roi païen à Rome, prêchant le blasphème même, c'est-à-dire que l'homme est Dieu, chose qu'ont enseignée les rois romains païens. Et il le faisait d'une manière particulière pour se moquer de l'Évangile, en prêchant par exemple que l'homme est le Christ de Matthieu 16:16. Ainsi, la bête qui était, revient.

Et c'est pourquoi la blessure de la bête fait référence à la Rome païenne elle-même blessée par le christianisme et en voie de rétablissement. Mais elle s'applique aussi très spécifiquement à l'image de la bête, c'est-à-dire au roi blessé, Jean-Paul II. En tant qu'image de la bête, la vie de Jean-Paul II était un reflet de la bête dans son ensemble.

La bête est blessée par le glaive et se rétablit. De même, Jean-Paul II est littéralement blessé par le glaive et se rétablit. La bête mettait en scène des rois romains païens prêchant que l'homme est divin. Jean-Paul II était littéralement un roi romain païen prêchant que l'homme est divin. La bête « déifiait » des rois païens après leur mort, et brûlait leur image dans un feu de joie. Jean-Paul II a été solennellement « canonisé » et son image a été vue dans un bûcher le jour du deuxième anniversaire de sa mort.

La bête a encouragé une idolâtrie à multiples facettes en Europe. Jean-Paul II institue à Assise une réunion de prière idolâtre historique mondiale, symbole de la Grande Apostasie. La bête avait un célèbre monument d'idolâtrie appelé l'autel de la paix. Jean-Paul II tient cet événement idolâtre d'Assise sur un autel dédié au nom de la Paix. Dans la bête, divers rois romains païens qui ont promu la position selon laquelle l'homme est divin ont vu leurs images honorées. Jean-Paul II était un roi romain païen qui prêchait que l'homme est divin et qui a eu son image honorée. Etc. Et c'est pourquoi lorsque les gens honorent son image, ils ne font pas qu'approuver son iniquité, son idolâtrie, etc., mais ils vénèrent la Rome païenne elle-même parce que c'est ce qu'il représente.

Donc, pour résumer : Les actions de Constantin ont représenté la blessure de la bête par le glaive, et le règne de Jean-Paul II a représenté la guérison de cette blessure.

Nous avons également souligné que la réunion de prière d'Assise de 1986 est chargée d'une signification apocalyptique. Il s'agissait d'une réunion de prière historique mondiale d'idolâtrie. C'était l'événement le plus notoire de la Grande Apostasie. C'était un signe énorme du retour de l'Europe païenne et de la bête. En réalité, comme nous l'avons déjà mentionné, l'autel où l'idolâtrie fut conduite était dédié au nom de la paix, correspondant précisément à l'Ara Pacis, l'autel païen de la paix dans l'Empire romain païen. Gardez cela à l'esprit. À présent, considérez ce qui suit.

La transformation historique de l'empire romain païen en un empire chrétien (c'est-à-dire la blessure de la bête) a commencé avec Constantin et sa célèbre victoire sur Maxence au pont de Milvius en 312. Ce fut l'un des événements les plus importants de l'histoire humaine et chrétienne. À la veille de cette bataille, Constantin a reçu une vision dans laquelle il a vu le signe du Christ et de la Croix et les mots : PAR CE SIGNE, VOUS VAINCREZ (IN HOC SIGNO VINCES).

Plus tard ce jour-là, Constantin a reçu une autre vision dans laquelle Jésus-Christ lui ordonnait d'utiliser son signe dans la bataille. Portez une attention particulière à la date. Le 27 octobre de l'année 312, Constantin reçut le signe par lequel il va conquérir la bête païenne romaine. Le même jour, Jésus-Christ lui apparut. Eh bien, l'événement d'Assise en 1986, l'événement le plus notoire de la Grande Apostasie, le moyen par lequel les adeptes de la Contre-Église sont impliqués dans le péché mortel, signe considérable du retour de l'Europe païenne, s'est produit le 27 octobre 1986. Ce n'est pas une simple coïncidence.

Comme le signe dans lequel la bête serait blessée et conquise est apparu à Constantin le 27 octobre 312, le signe que la bête s'était spirituellement rétablie de cette blessure était visible le 27 octobre 1986, avec l'événement d'Assise. Et comme nous l'avons dit, les actions de Constantin représentaient la blessure de la bête, et le règne de Jean-Paul II représentait la guérison de cette blessure. Voilà pourquoi Jean-Paul II lui-même a été blessé et s'est rétabli. Il est l'image de la bête.

Cela renforce également la conclusion selon laquelle Jean-Paul II était l'Antéchrist et que l'événement historique mondial d'Assise de 1986 est celui qui est décrit dans 2 Thess. 2, comme nous l'avons expliqué en détail dans notre vidéo L'Antéchrist identifié !. 2 Thess. 2 prophétise que l'homme de péché, l'Antéchrist, vient en lien avec la Grande Apostasie. Il le décrit comme celui qui s'étend en face de et s'élève au-dessus de tout soi-disant dieu ou objet de culte.

2 Thessaloniciens 2:3-4 - « Car ce jour-là ne viendra pas que l'apostasie [ἡ ἀποστασία] ne soit arrivée auparavant et que l'homme de péché n'ait été révélé, le fils de la destruction, qui s'étend en face de et s'élève au-dessus de tout ce qui est appelé Dieu ou qui est un objet de culte... »

Ceci correspond précisément à l'événement d'Assise, durant lequel Jean-Paul II, le sixième roi, celui qui a été blessé et qui a vu son image honorée, etc., était élevé et assis en face de chaque soi-disant dieu ou objet de culte, lors d'un événement d'idolâtrie historique mondial. Comme nous le soulignons dans la vidéo, L'Antéchrist Identifié !, le verset pourrait être traduit comme celui qui s'étend en face de (une traduction plus littérale) ou celui qui s'y oppose (une traduction métaphorique, à proprement parler).

Cependant, la traduction métaphorique, selon laquelle l'homme de péché s'oppose à tout soi-disant dieu (même si le verbe sous-jacent est utilisé métaphoriquement dans divers autres passages du Nouveau Testament) n'a pas le plus de sens dans ce passage, car pourquoi l'homme de péché s'opposerait-il au culte de faux dieux ?

Luc 11:17-18 - « Tout royaume divisé contre lui-même sera désolé, et une maison tombera sur une autre maison. Que si Satan est aussi divisé contre lui-même, comment son royaume subsistera-t-il ? »

Le royaume de Satan n'est pas divisé. Satan organise le culte des idoles, et il serait donc logique que l'homme de péché soutienne les idoles et les faux dieux. Par conséquent, le sens et la traduction littéraux, dans lesquels l'homme de péché est positionné en s'étendant en face et s'élevant au-dessus de chaque soi-disant dieu ou objet de culte lors d'un événement majeur qui révèle ou signale la grande apostasie, ont plus de sens.

2 The. 2:3-4 - « Car ce jour-là ne viendra pas que l’apostasie [ἡ ἀποστασία] ne soit arrivée auparavant et que l’homme de péché n’ait été révélé, le fils de la destruction, qui s'étend en face de et s'élève au-dessus de tout ce qui est appelé Dieu ou qui est un objet de culte... »

ἀντικείμενος :  celui couché en face de, ou celui qui est assis en face de, ou qui est placé ou situé en face ; etc.

Cela correspond précisément à ce qui s'est passé avec Jean-Paul II à Assise le 27 octobre 1986. Au cours de cet événement, les différents faux leaders religieux ont mené leur culte en dessous du siège de Jean-Paul II. Ils ont offert leur culte idolâtre à leurs idoles et faux dieux. Ainsi, Jean-Paul II s'étendait littéralement en face de et s'élevait au-dessus des différentes idoles et des soi-disant dieux qui étaient vénérés. Cet événement (l'incident le plus notoire de la Grande Apostasie) était le signe que la bête, l'Europe païenne, était revenue spirituellement.

Il y avait bien sûr d'autres signes de la montée de la bête, comme lorsque Jean-Paul II, lors de sa première homélie, a nié que Jésus soit le Christ lorsqu'il a déclaré que l'homme est le Christ de Mt. 16. Mais Assise était le signe le plus notoire pour les gens en général que le paganisme était revenu en Europe, et que ce que Constantin avait blessé, s'était rétabli.

Or, lorsqu'il a reçu le signe le 27 octobre 312, le Christ a dit à Constantin de l'utiliser au combat.

De même, le 27 octobre 1986, l'Antéchrist, Jean-Paul II, dit à l'Europe païenne qu'Assise EST UN SIGNE et que l'humanité doit suivre son chemin. En réalité, comme mentionné précédemment, selon une vision commune de ce qui s'est passé, le signe du 27 octobre 312 a été vu deux fois ce jour-là, une fois tôt dans la journée et une fois plus tard.

Eh bien, le 27 octobre 1986, plus tôt dans la journée, lors de son discours de bienvenue aux représentants des différentes religions, Jean-Paul II a dit ceci :

« Je vois ce rassemblement aujourd’hui comme un signe très important... »[24]

Puis, plus tard dans la journée, lors de son discours de clôture, il a déclaré :

« Le fait même que nous sommes venus à Assise de différents coins du monde est en soi un signe de cette voie commune que l'humanité est appelée à parcourir. »[25]

Assise est le signe de la conquête spirituelle de l'Antéchrist, car c'est le symbole de l'apostasie et de l'indifférentisme de la secte Vatican II. Ce n'est pas le seul signe, mais c'est le plus notoire. C'est celui qui implique le plus rapidement les gens dans le péché lorsqu'ils honorent l'antipape Jean-Paul II en tant que saint ou qu'ils suivent la nouvelle religion.

Ainsi, l'Antéchrist conquiert presque toute l'Europe chrétienne et les adeptes de la Contre-Église par l'étendard d'Assise, tout comme le Christ a blessé la bête avec l'étendard de la Croix. À Assise et par ses autres enseignements et actions, Jean-Paul II a organisé et soutenu le culte des idoles. Par conséquent, lorsque des personnes qui connaissent bien ce qu'il a fait, l'appellent saint, elles appellent implicitement les idoles et les faux dieux qu'il a servis saints. C'est pourquoi l'honneur accordé à son image par les adeptes de la Contre-Église est mentionné dans l'Apocalypse comme un moyen par lequel les gens sont damnés.

Il est également très intéressant de noter que le 24 février 2002, un mois après le deuxième événement d'Assise, Jean-Paul II a publié un décalogue ou un ensemble de dix commandements d'Assise à l'intention de tous les chefs d'État du monde. Eh bien, c'est Dieu qui émet les dix commandements. La tentative de Jean-Paul II de publier un Décalogue est un autre exemple de la façon dont il a prétendu être Dieu, ce qui était très clair dans son enseignement répété selon lequel tout homme est Jésus-Christ, comme le montre notre vidéo La Marque Distinctive de l’Antéchrist.

DECALOGUE D’ASSISE
« ... un "décalogue" proclamé en conclusion de cette journée exceptionnelle. »[26]

De plus, 2 Thessaloniciens 2:4 nous dit que l'homme de péché s'assied dans le temple de Dieu en montrant qu'il est Dieu. Cela correspond à Jean-Paul II assis dans la basilique Saint-Pierre et au Vatican. C'est le temple de Dieu. Le pape Pie XI a même qualifié la basilique Saint-Pierre de Temple le plus ample, et de nombreuses prophéties se sont réalisées à cet endroit.

2 Thessaloniciens 2:4  - « ... en sorte que lui-même s'assiéra [καθίσαι] dans le temple de Dieu, se présentant lui-même comme étant Dieu. »

Pape Pie XI, Quinquagesimo ante, 23 décembre 1929 :   
« … une telle multitude convoquée le 1er décembre dans l'enceinte pétrinienne sacrée... que Nous n’avons peut-être jamais vu le Temple [Aedem] le plus ample à ce point rempli. »[27]

1 Pierre 5:13  « L’Église élue comme vous qui est à Babylone vous salue... »

Apocalypse 18:2 - « ... “Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, une prison pour tout esprit immonde, une prison pour tout oiseau immonde, ainsi qu’une prison pour toute bête immonde et détestable.” »

Le participe qui est traduit comme se présentant lui-même comme étant Dieu ou en se montrant comme Dieu, signifie présenter quelque chose, et il a souvent la signification de présenter quelque chose de manière formelle ou officielle. Cela correspond aussi précisément à Jean-Paul II, car il a formellement ou officiellement présenté qu'il est Dieu dans des encycliques et des discours, en enseignant que tout homme est le Fils de Dieu, comme le prouve notre travail. 

De plus, le 24 mars 2000, Jean-Paul II est apparu en Israël sur une chaire avec une grande croix inversée au dessus de la tête, qui est un symbole satanique. Comme le Christ était sur la croix en Israël, il est logique que l'Antéchrist soit vu sous une croix inversée en Israël.

Il est également important de noter que dans l'Apocalypse 13, le verbe grec qui est utilisé pour décrire l'honneur fait à l'image de la bête est proskunéo. Ce verbe peut signifier adoration ou vénération. Il est utilisé par l'Église pour la vénération des saints. La bête détourne la cérémonie de canonisation de l'Église et l'utilise pour imposer la vénération de l'Antéchrist et d'autres figures iniques de l'apostasie de Vatican II.

Tous ces faits confirment davantage que ce que nous avons dit de Jean-Paul II lorsqu'il était vivant, c'est-à-dire qu'il est l'Antéchrist, est correct. Ce qui s'est passé depuis sa mort, avec la vénération de son image et d'autres choses que nous avons traitées, renforce encore cette conclusion.

Mais, malgré toutes les preuves, certains objectent qu'il ne peut pas être l'Antéchrist parce qu'il est mort. Certains soutiennent que 2 Thessaloniciens 2:8 indique que l'impie, qu'ils considèrent comme l'Antéchrist, sera détruit par ou lors de la venue du Christ et donc que l'Antéchrist doit continuer sa vie terrestre jusqu'au moment de la Seconde Venue. Mais cet argument est largement contestable.

2 Thessaloniciens 2:8  - « Et alors apparaîtra cet impie que le Seigneur Jésus tuera par le souffle de sa bouche, et qu'il détruira par l'éclat de son avènement. »

Tout d'abord, 2 Thessaloniciens 2:8, et peut-être un ou deux versets que les gens évoquent dans l'Apocalypse, peuvent faire référence à ce que Jésus fait au jour du Jugement.

C'est un dogme que lorsque Jésus-Christ reviendra, tous les morts, les bons comme les méchants, seront ramenés et présentés devant Lui. À ce moment-là, avant de jeter les méchants pour l'éternité dans l'étang de feu, Jésus leur infligera le jugement et le châtiment qu'il jugera approprié.

Pape Grégoire X, II Concile de Lyon, 1274 :
« La même sainte Église romaine croit et affirme fermement que néanmoins, au jour du jugement, tous les hommes comparaîtront avec leur corps devant le tribunal du Christ pour y rendre compte de leurs actions. »[28]

2 Thessaloniciens 1:7-8 - « ... lorsque du ciel se révélera le Seigneur Jésus avec les anges de sa puissance, et que, dans une  flamme de feu, il se vengera de ceux qui ne connaissent point Dieu, et qui n'obéissent point à l'Évangile de Notre Seigneur Jésus-Christ. »

2 Pierre 3:7 - « Quant aux cieux qui existent maintenant, et à la terre… étant réservés au feu pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies. »

Saint Pierre fait référence à la destruction des impies au jour du Jugement. Les gens mauvais ne cesseront pas d'exister mais ils seront détruits ou vaincus de la manière que le Christ juge appropriée, et jetés en enfer. Dans 2 Thessaloniciens 2:8, il y a des variantes textuelles, certaines lectures indiquant que le Christ tuera ou fera mourir l'impie par le souffle de sa bouche, d'autres indiquant qu'il le consumera. Les deux cas peuvent être une référence à ce que fait le Christ au Jour du Jugement.

En fait, même si l'on utilise le verbe dont l'interprétation est « tuer », une forme de ce verbe est interprété comme « enlever » ou « abolir » dans Hébreux 10:9, dans le sens de rendre un effet nul. Le Christ enlèvera ou abolira les mauvais règnes de toutes les personnes perfides au Jour du Jugement. En réalité, des considérations logiques sur l'ordre de ces événements semblent favoriser fortement l'idée que toute rencontre du Christ avec les méchants sur Terre a lieu après la Résurrection générale.

 Saint Thomas d'Aquin, Somme théologique, partie supplémentaire, q. 74, art. 7 :
« La résurrection précédera le jugement, autrement tous les yeux ne verraient pas le Christ juger. Or, l'embrasement du monde précédera la résurrection. »[29]

1 Thessaloniciens 4 indique que la résurrection des justes aura lieu avant toute rencontre entre le Seigneur Jésus et les justes qui vivent jusqu'à la seconde venue.

1 Thessaloniciens 4:14-16 - « Aussi nous vous affirmons sur la parole du Seigneur, que nous qui vivons, et qui sommes réservés pour l'avènement du Seigneur, nous ne préviendrons pas ceux qui se sont déjà endormis. Car le Seigneur lui-même, au commandement, et à la voix de l'archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel ; et ceux qui seront morts dans le Christ ressusciteront les premiers. Ensuite nous qui vivons, qui sommes restés, nous serons emportés avec eux dans les nuées au-devant du Christ dans les airs ; et ainsi nous serons à jamais avec le Seigneur. »

Comme nous pouvons le voir, il n'y aura pas de rencontre entre le Christ et les justes qui vivent, avant que les morts en Christ ne ressuscitent. Eh bien, Jean 5 parle de la résurrection des méchants comme se produisant à la même heure que la résurrection des justes.

Jean 5:28-29 - « Ne vous en étonnez pas, parce que vient l'heure où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront la voix du Fils de Dieu. Et en sortiront, ceux qui auront fait le bien, pour ressusciter à la vie ; mais ceux qui auront fait le mal, pour ressusciter à leur condamnation. »

Il semblerait donc que la résurrection des méchants précède toute rencontre du Christ avec un méchant sur Terre. Cela soutient l'idée que lorsque le Christ inflige une vengeance à ses ennemis, comme à l'impie, c'est dans le contexte du jugement général après la résurrection générale, lorsque ceux qui sont déjà morts sont de retour sur Terre.

Ainsi, aucun de ces quelques passages que les gens citent parfois ne prouve que l'Antéchrist doit continuer sa vie terrestre jusqu'au moment où le Christ viendra. Ils peuvent simplement se référer à ce qui se passe dans le contexte du Jour du Jugement. Saint Pierre nous dit aussi que le jour du Seigneur viendra comme un voleur.

2 Pierre 3:10 - « Car le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; et alors, avec un grand fracas, les cieux passeront, les éléments embrasés seront dissous, et la terre, et tout ce qui est en elle sera consumé par le feu. »

En fait, il est logique que l'Antéchrist ait son image officiellement honorée après sa mort, comme nous l'avons vu, plutôt que de son vivant, et ce pour plusieurs raisons.

Tout d'abord, comme nous l'avons montré, la venue de la bête et de l'Antéchrist implique un retour de la Rome païenne, et dans la Rome païenne, les rois ne pouvaient être officiellement « déifiés » à Rome qu'après leur mort. Ainsi, nous avons vu le roi qui a prêché que tout homme est divin, qui a été blessé par l'épée, etc. officiellement honoré après sa mort au Temple de Dieu. Et le pape Pie XI a qualifié la basilique Saint-Pierre de Temple le plus ample. C'est le Temple de Dieu mentionné dans 2 Thessaloniciens 2.

Deuxièmement, puisque la venue de l'Antéchrist implique une prise de contrôle du Temple de Dieu par les ennemis de l'Église et une tromperie religieuse, il est logique que l'honneur donné à l'image de l'Antéchrist soit imposé au travers d'une fausse cérémonie de canonisation qui a lieu après sa mort.

Et il ne s'agit pas seulement de Jean-Paul II. Les gens sont impliqués dans l'iniquité en acceptant la nouvelle religion ou en honorant Paul VI, ou Jean XXIII, etc.

Kathryn Spink, Mère Teresa – Une vie, Éditions Robert Laffont, 1997, p. 66 :
« Mère Teresa en était parfois réduite à transporter les nécessiteux en brouette... Les cas désespérés se voyaient offrir une mort digne, qui respectait les rites de leur foi : aux hindous, on passait de l’eau du Gange sur les lèvres, aux musulmans on faisait des lectures du Coran. Quant aux rares chrétiens, ils recevaient les derniers sacrements. »

En acceptant la nouvelle religion ou en honorant l'un des faux saints qui la représentaient, les gens honorent ainsi la Rome païenne. Mais Jean-Paul II a représenté de manière très spécifique le retour de la Rome païenne, en prêchant que l'homme est Dieu, en introduisant directement l'idolâtrie, etc. Par conséquent, lorsque des personnes ayant une connaissance de base de ses actes le considèrent comme un saint, elles sont directement impliquées dans le péché mortel, l'hérésie et le blasphème.

De plus, il y a beaucoup de gens, y compris des « traditionalistes », qui pensent que l'Antéchrist sera facilement ou largement reconnu. C'est totalement faux. Encore une fois, d'après l'Apocalypse 13:14.

Apocalypse 13:14  - « ... elle séduisit ceux qui habitaient sur la terre... disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui a reçu une blessure du glaive, et qui a conservé la vie. »

Remarquez, les gens sont séduits jusqu'à honorer l'image de l'Antéchrist. Par conséquent, les gens en général ne réaliseront pas qui est l'Antéchrist.

Il est également intéressant de noter qu'il existe une variante textuelle dans Apocalypse 13:14. La majorité de tous les manuscrits grecs disent :

Apocalypse 13:14  - « ... il trompe les miens qui habitent sur la terre, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui a reçu une blessure du glaive, et qui a conservé la vie. »

Ou, comme on pourrait le traduire :

Apocalypse 13:14 - « ... il trompe mon propre peuple qui habite sur la terre, disant aux habitants de la terre de   faire une image à la bête qui a reçu une blessure du glaive, et qui a conservé la vie. »

Apocalypse 13:14 - « ... elle séduisit ceux qui habitaient sur la terre... disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui a reçu une blessure du glaive, et qui a conservé la vie. »

D'autres disent qu'elle trompe les habitants de la terre. Dans les deux cas, il s'agit d'une tromperie religieuse qui amène les gens à honorer l'image. La lecture du texte majoritaire soulignerait simplement que cette tromperie prend au piège de nombreux baptisés dans le peuple de Dieu, mais qui tombent dans le mal par le biais de cette tromperie.

Ainsi, tous ceux qui pensent que l'Antéchrist sera facilement ou largement reconnu, et que nous attendons simplement le jour où il entrera sur la scène mondiale pour que tous le voient, ne savent pas de quoi ils parlent. Sa venue s'est produite au moyen d'une tromperie. Ainsi, 2 Thessaloniciens 2:9-10 dit qu'il...

2 Thessaloniciens 2:9-10 - « Il viendra par l'opération de Satan, au milieu de toute sorte de miracles, de signes et de prodiges menteurs. Et avec toute séduction d'iniquité pour ceux qui périssent, parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité afin d'être sauvés. C'est pourquoi Dieu leur enverra une opération d'erreur, de manière qu'ils croiront au mensonge. »

Cela correspond à Jean-Paul II. De nombreuses fausses apparitions et de faux messages sont apparus pendant son règne, qui ont convaincu les gens qu'il était bon ou « le pape de Marie ». En fait, la fausse apparition de Medjugorje a commencé à peine deux mois après la blessure de Jean-Paul II. C'était l'un des nombreux faux signes qui ont trompé les gens au sujet de l'Antéchrist. De plus, même si Jean-Paul II a trompé le monde sur le vrai Troisième Secret de Fatima, il a réussi à se faire reconnaître comme le héros du faux Troisième Secret de Fatima, qu'ils ont décidé de révéler. C'était une autre partie de la tromperie qui entourait l'Antéchrist.

De plus, le mot Antéchrist n'est pas dans l'Apocalypse. Cependant, celui qui est blessé et dont l'image est ensuite honorée est souvent considéré comme l'Antéchrist. Nous avons présenté des preuves accablantes que cela fait référence à Jean-Paul II. En effet, dans 1 Jean 1:22, nous trouvons la définition de l'Antéchrist dans les Ecritures inspirées, comme suit :

1 Jean 2:22  - « Qui est le menteur ? sinon celui qui nie que Jésus soit le Christ ? Celui-là est l'Antéchrist, qui nie le Père et le Fils. »

Ainsi, l'Antéchrist est défini dans l'Écriture Sainte comme celui qui nie que Jésus est le Christ, et ce faisant, cette personne nie le Père et le Fils. Voilà l'Antéchrist.

Eh bien, c'est exactement ce qu'a fait l'antipape Jean-Paul II dans sa toute première homélie qui a marqué le début de son « ministère ». Il a déclaré que la nouvelle vérité sur l'homme est que tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant, alors que cette vérité ne s'applique bien sûr qu'à Jésus, et non à l'homme en général. Il a ainsi nié que Jésus soit l’unique Christ et a directement réalisé la définition de l'Antéchrist. Et il a continué à enseigner cette même hérésie de bien des façons tout au long de son anti-papauté. Voir notre vidéo, La marque distinctive de l’Antéchrist. Et ce même homme est le sixième roi, qui a été blessé, qui a eu son image honorée, etc. Ceci, parce qu'il était l'Antéchrist.

Le pape Pie X a également déclaré que le caractère propre de l'Antéchrist est l'homme à la place de Dieu, et c'était le caractère propre de l'antipape Jean-Paul II.

Pius X, E supremi, 4 octobre 1903 :
« En revanche, et c'est là, au dire du même Apôtre, le caractère propre de l'Antéchrist, l'homme, avec une témérité sans nom, a usurpé la place du Créateur... »[30]

De plus, la Prostituée de Babylone est assise sur la bête de la fin des temps. La Prostituée de Babylone est liée à l'Antéchrist. Nos vidéos Apocalypse 18:2 vient de se réaliser et Babylone est tombée, tombée !!, fournissent des preuves évidentes que les prophéties sur la Prostituée de Babylone se sont accomplies avec une précision frappante à la Basilique Saint-Pierre et au Vatican à notre époque.

Dans 1 Pierre 5:13, Saint Pierre, écrivant de Rome, l'appelle Babylone.

1 Pierre 5:13  - « L’Église élue comme vous qui est à Babylone vous salue... »

Eusèbe de Césarée, Histoire Ecclésiastique, Livre 2, Chap. 15 (Eusèbe était l'historien de l'Église ancienne) : « Pierre fait mention de Marc dans la première épître qu'il composa, dit-on, à Rome même : il indique du reste en appelant cette ville du nom métaphorique de Babylone dans ce passage. »[31]

Dans le Nouveau Testament, Babylone n'est pas seulement un nom de code pour Rome, mais plus précisément, elle fait référence au lieu de Rome où se trouve saint Pierre. Saint Pierre est enterré sous le maître-autel de la basilique Saint-Pierre au Vatican. Il est donc tout à fait logique que les prophéties sur Babylone de la fin des temps s'accomplissent à l'endroit même où saint Pierre est enterré. Et c'est ce que nous avons vu.

Par exemple, dans Apocalypse 18:2, nous lisons que :

Apocalypse 18:2 - « Il [l'ange] cria d'une voix forte : "Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, une prison pour tout esprit immonde, une prison pour tout oiseau immonde, ainsi qu’une prison pour toute bête immonde et détestable." »

Cette prophétie fait référence à Babylone devenant la prison de tous les oiseaux et bêtes immondes. Cette prophétie s'est spécifiquement réalisée à la Basilique Saint-Pierre au Vatican le 8 décembre 2015, lors du spectacle de lumière Fiat Lux. Lors de cet événement, des images de différents oiseaux et animaux ont été projetées sur la façade de la basilique Saint-Pierre, correspondant précisément à ce qui est dit dans Apocalypse 18:2.

Le mot qui est traduit dans Apocalypse 18:2 par prison pourrait également être traduit par cage. En raison des colonnes sur la façade de la basilique Saint-Pierre, les animaux semblaient être détenus dans une cage ou une prison, exactement comme le dit la prophétie. L'événement Fiat Lux au Vatican a symbolisé la chute de la ville de Rome dans l'impureté et l'apostasie dans les derniers jours, à la suite du retour du paganisme à Rome sous les antipapes Vatican II et de leur contre-église de la fin des temps, la secte Vatican II.

C'est ce dont parlent les prophéties sur la Prostituée de Babylone en général. L'Église catholique n'est pas la Prostituée de Babylone. La secte Vatican II, la Contre-Église de la fin des temps, est la Prostituée de Babylone.

L’ÉGLISE DE DIEU = TEMPLE DE DIEU

1 Corinthiens 3:16 - « Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu... »

2 Corinthiens 6:16 - « Car vous êtes le temple du Dieu vivant..."

L’ÉGLISE DE DIEU – CONSTRUITE SUR ST PIERRE

Matthieu 16:18 - « ... tu es Pierre et que sur ce rocher je construirai mon Église... »

LE TEMPLE DE DIEU – CONSTRUIT SUR ST PIERRE

Saint Jean écrit que Babylone est tombée, ce qui indique que l'endroit où se trouve saint Pierre, Babylone, se tenait fermement auparavant. Mais maintenant, dans les derniers jours, elle est devenue l'habitation des démons. Ce n'est pas non plus un hasard si cet événement, qui a réalisé la prophétie apocalyptique au sujet de Babylone, s'est produit le jour du 50e anniversaire de la clôture de Vatican II.

Vatican II, qui s'est achevé le 8 décembre 1965, était le concile d'Apostasie qui a inauguré et caractérise la Contre-Église apocalyptique, la Prostituée de Babylone de la fin des temps. La secte Vatican II accomplit clairement la prophétie à propos de la Prostituée de Babylone de bien d'autres façons également. L'Apocalypse 18:3 dit que toutes les nations ont bu du vin de sa colère de sa prostitution.

Apocalypse 18:3 - « Parce que toutes les nations ont bu du vin de la colère de sa prostitution... »

Apocalypse 17:2 - « ... les habitants de la terre se sont enivrés du vin de sa prostitution. »

Apocalypse 14:8 - « ... du vin de la colère de sa prostitution. »

L'Apocalypse mentionne le vin de la prostitution de la Prostituée plus d'une fois car après Vatican II, des changements ont été faits quant à la formule de consécration du vin dans la nouvelle messe. Le changement du mot beaucoup par tous, dans la forme de la consécration, a falsifié les paroles du Christ et a rendu ces « Messes » invalides.

Il est dit que la Prostituée est habillée de pourpre et d'écarlate parce que les évêques sont habillés en pourpre et les cardinaux en écarlate. Et les hommes en pourpre et en écarlate sont courants au Vatican. La Prostituée a divers aspects extérieurs, mais non pas la substance de la véritable Église catholique. La Prostituée est ivre du sang des saints et des martyrs parce qu'elle se moque des saints par son faux œcuménisme et son indifférentisme religieux.

Apocalypse 17:6 - « Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d'un grand étonnement. »

Dans Apocalypse 17:6, nous lisons que lorsque saint Jean a vu la prostituée, il fut saisi d'un grand étonnement.

Apocalypse 17:6 - « Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d'un grand étonnement. »

Le nom traduit par étonnement dans ce verset est thauma. Il n'est utilisé qu'une seule autre fois dans le Nouveau Testament ; c’est dans 2 Corinthiens 11:14, où il est utilisé pour décrire le choc, l'étonnement ou la confusion engendrés par de faux apôtres se faisant passer pour des apôtres du Christ. Il est logique que lorsque saint Jean a vu la Prostituée, il fut saisi d'un grand étonnement car il s'agit d'une Contre-Église dirigée par de faux apôtres de Pierre, c'est-à-dire des antipapes qui prétendent être les successeurs de l'apôtre Pierre, mais ne le sont pas.

Le nom θαῦμα (étonnement) n'est utilisé que deux fois dans le Nouveau Testament

2 Corinthiens 11:13-15 - « Car cette sorte de faux apôtres sont des ouvriers trompeurs qui se transforment en apôtres du Christ. Et cela n'est pas étonnant [ οὐ θαῦμα ] puisque Satan lui-même se transforme en ange de lumière. Il n'est donc pas étrange que ses ministres se transforment en ministres de la justice. »

Apocalypse 17:6-7 - « ...  je fus saisi d'un grand étonnement [ θαῦμα μέγα ]. Et l'ange me dit: Pourquoi t'étonnes-tu? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes. »

En effet, lorsque l'Apocalypse dit que les gens s'étonneront de voir la bête parce qu'elle est revenue, elle utilise le verbe thaumazo, la forme verbale de thauma.

Apocalypse 17:8 - «  Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront [ θαυμασθήσονται ] en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. »

θαυμάζω (thaumazo) - Je m'étonne, je m'émerveille

θαυμάζω - « être impressionné de façon extraordinaire ou perturbé par quelque-chose » (BDAG, p. 444).

C'est une indication supplémentaire que lorsque la Rome païenne reparaîtra, elle sera sous l'apparence d'apôtres et de ministres du Christ, c'est-à-dire qu'elle sera la Rome païenne sous l'apparence de l'Église. Une contre-église. Ainsi, lorsque la Rome païenne revient dans les derniers jours sous l'apparence d'apôtres et de ministres du Christ, elle ne s'engage pas dans une persécution physique mais dans une tentative de subversion spirituelle.

Selon l'Apocalypse 17:4, la Prostituée a une coupe d'or dans sa main. Ceci fait référence au faux sacerdoce et aux fausses messes dans la contre-église de Vatican II. L'Apocalypse 18:6 fait référence à la coupe dans laquelle la Prostituée a mélangé. C'est une référence au mélange de l'eau et du vin lors de la nouvelle messe. Cette référence signifie que la Prostituée a commis de graves violations dans ce domaine de la liturgie, en falsifiant le vrai culte de l'Église catholique.

Apocalypse 18:6 - « Rendez-lui comme elle vous a rendu ; et rendez-lui au double selon ses œuvres ; dans la coupe où elle a mélangé, mélangez-lui le double. »

Il est intéressant de noter que l'ancienne représentation de la femme Europe se trouve sur un vase utilisé pour mélanger l'eau et le vin. C'est une autre indication que cette référence dans Apocalypse 18:6 est une référence à l'Europe, qui est devenue une prostituée spirituelle par le biais de son apostasie du catholicisme et de ses abominations liturgiques.

De plus, l'affirmation de ce verset, rendez-lui au double selon ses œuvres, correspond à 1 Timothée 5:17. On y lit que les prêtres qui gouvernent bien sont estimés dignes d'un double honneur.

1 Timothée 5:17 - « Que les prêtres qui gouvernent bien, soient regardés comme dignes d'un double honneur, surtout ceux qui s'appliquent à la parole et à l'enseignement. »

Mais Apocalypse 18:6 dit de la Prostituée, de lui rendre au double selon ses œuvres parce qu'elle représente de faux prêtres et de faux ministres qui agissent et gouvernent de façon malfaisante. On pourrait donner plus d'exemples du lien entre la secte Vatican II et la Prostituée de Babylone.

Apocalypse 17:3 - « Il me transporta en esprit dans un désert, et je vis une femme assise sur une bête de couleur d'écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. »

Puisque la secte Vatican II est clairement la Prostituée de Babylone, et que la Prostituée siège au sommet de la bête de la fin des temps, il est logique que l'Antéchrist, celui qui est blessé et qui voit son image honorée, soit lié aux événements de la Cité du Vatican durant cette période. Cela confirme davantage la conclusion selon laquelle Jean-Paul II était l'Antéchrist. De plus, lorsque la bête sous Néron a mis à mort saint Pierre, Pierre a été tué sur la colline du Vatican, qui se trouve dans l'actuelle Cité du Vatican.

Ainsi, lorsque la bête s'est levée au premier siècle, elle a persécuté le chef visible de l'Église en ce lieu même, qui est aujourd'hui la Cité du Vatican. Pierre y a été enterré, dans ce qui est aujourd'hui la Cité du Vatican, sa tombe étant située sous le maître-autel de la basilique Saint-Pierre. Lorsque le christianisme a conquis spirituellement Rome et l'Europe, la structure physique la plus importante du christianisme a été construite à l'endroit même où Saint Pierre est enterré, dans ce qui est aujourd'hui la Cité du Vatican.

Il est donc logique que lorsque la bête réapparaîtra, et que la Prostituée sera assise au-dessus d'elle, les prophéties se réaliseront là, au Vatican, où Saint Pierre est enterré. Et c'est ce qui s'est passé. C'est pourquoi nous voyons que les prophéties concernant la bête, les sept rois, l'Antéchrist et la Prostituée de Babylone se sont réalisées juste là, dans la Cité du Vatican.

L'accomplissement de ces prophéties à Rome sert à prouver, et non à réfuter, que l'Église catholique est la seule véritable Église de Jésus-Christ. La grande tromperie consiste à tromper ceux qui prétendent être catholiques, et ceux qui prétendent professer l'union avec Rome.

St Irénée, Contre les hérésies, Livre 3, ch. 3, 180 après J.-C. :
« Mais comme il serait trop long, dans un ouvrage tel que celui-ci d'énumérer les successions de toutes les Églises, nous prendrons seulement l’une d’entre elles, l’Église très grande, très ancienne et connue de tous, que les deux glorieux apôtres Pierre et Paul fondèrent et établirent à Rome ; en montrant que la Tradition qu’elle tient des apôtres et la foi qu’elle annonce aux hommes sont parvenues à nous par la succession d’évêques, nous confondrons tous ceux qui, de quelque manière que ce soit, ou par infatuation, ou par vaine gloire, ou par aveuglement et erreur doctrinale, constituent des groupements illégitimes : car avec cette Église [c.-à-d., celle de Rome], en raison de son origine plus excellente, doit nécessairement s'accorder toute Église, c'est-à-dire les fidèles de partout... »

Vous trouverez de nombreuses preuves bibliques de la foi catholique sur notre site internet vaticancatholique.com et dans notre travail. Les prophéties sur la chute de Rome et sur sa prostitution concernent la chute de la ville de Rome de la foi catholique, parce que la foi catholique est la seule vraie foi de Jésus-Christ en dehors de laquelle il n'y a pas de salut. Mais pour être un vrai catholique, il faut être un catholique traditionnel.

Apocalypse 18:3 - « Parce que toutes les nations ont bu du vin de la colère de sa prostitution... »

Matthieu 16:18-19 - « Et moi, je te dis que tu es Pierre et que sur ce rocher je construirai mon Église, et les portes du séjour des morts ne l'emporteront pas sur elle. Je te donnerai les clés du royaume des cieux : ce que tu lieras sur la terre aura été lié au ciel et ce que tu délieras sur la terre aura été délié au ciel. »

Dans cette vidéo, nous nous sommes concentrés jusqu'à présent sur la bête à sept têtes, c'est-à-dire sur le retour de la Rome païenne, l'Antéchrist, les sept rois et la Prostituée de Babylone. La bête à sept têtes est la première bête mentionnée dans Apocalypse 13. Cette bête est expliquée plus en détail dans Apocalypse 17.

Apocalypse 17:7-10 - « Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes. La bête que tu as vue était, et elle n’est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. C’est ici l’intelligence qui a de la sagesse. Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept rois : cinq sont tombés, un existe, et l’autre n’est pas encore venu ; et quand il sera venu, il ne doit rester que peu de temps. »

Apocalypse 13:3 - « Et je vis une de ses têtes [c'est-à-dire, un des sept rois de Rome associés avec la Prostituée de Babylone, voyez Apo. 17] comme blessée à mort ; mais cette plaie mortelle fut guérie. Aussi toute la terre émerveillée suivit la bête. »

Apocalypse 13:11 - « Je vis une autre bête montant de la terre ; elle avait deux cornes semblables à celle de l’Agneau, et elle parlait comme le dragon. »

Apocalypse 13:12 - « Elle exerçait toute la puissance de la première bête en sa présence, et elle fit que la terre et ceux qui l'habitent adorèrent la première bête dont la plaie avait été guérie. »

Apocalypse 13:14 - « ... elle séduisit ceux qui habitaient sur la terre... disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui a reçu une blessure du glaive, et qui a conservé la vie. »

Cependant, Apocalypse 13 fait référence à une autre bête qui sort de la terre. Cette bête a deux cornes, et elle exerce toute l'autorité de la première bête à ses yeux ou en son nom. C'est cette deuxième bête qui amène les gens à adorer ou à vénérer la première bête qui a été blessée par l'épée. C'est-à-dire que, à notre avis, la deuxième bête fait que les gens adorent ou vénèrent la Rome païenne et Jean-Paul II, qui est l'image de la Rome païenne.

Eh bien, dans l’Empire romain païen, le processus de la soi-disant déification d’un roi romain païen décédé, était généralement initié par le Sénat à l’instigation du successeur du roi.

Henry Fairfield Burton, The Worship Of The Roman Emperor, Univ. of Chicago Press, 1912 :
« La déification d’un empereur décédé était autorisée par un décret formel du Sénat, qui seul avait le pouvoir d'introduire de nouvelles formes de culte. Mais le Sénat agissait sur la suggestion de l'empereur régnant... »

Ainsi, Jules César a été « déifié » avec l'aide d'Auguste, son successeur. Et Auguste a été lui-aussi « déifié » avec l'aide de son successeur, Tibère. Et que voyons-nous avec le successeur de Jean-Paul II ? Son successeur, l'antipape Benoît XVI, a fait accélérer la cause de la « canonisation » de Jean-Paul II. Il a passé outre au délai de cinq ans et l'a « béatifié ». Puis son successeur, l'antipape François, a complété le processus en « canonisant » Jean-Paul II, ainsi que Paul VI et Jean XXIII.

Il est intéressant de noter que dans la Rome païenne, c'est le Sénat qui déclare officiellement la « déification », tandis que le roi romain est impliqué par sa suggestion ou sa recommandation. Et dans la nouvelle version de la bête, nous voyons que l'antipape Benoît XVI, qui était un roi de la Cité-État du Vatican, a commencé le processus, formellement achevé sous l'antipape François, qui n'est pas un roi romain.

Le fait que deux hommes aient été impliqués dans la vénération de la bête, tous deux présents lors de la « canonisation » de Jean-Paul II, à savoir l'antipape Benoît XVI et l'antipape François, pourrait-il être la raison pour laquelle la bête hors de la terre a deux cornes ? Peut-être. Il est également intéressant de constater que lorsque Benoît XVI était encore vivant, les partisans de la Contre-Église étaient divisés entre Benoît et François, certains soutenant que Benoît XVI était le pape valide, d'autres que c'était François. Ils ne se rendent pas compte que tous deux étaient/sont des antipapes apostats de la Contre-Église.

De plus, le terme distinct un existe paraît dans l’Apocalypse 17:10 pour décrire le sixième roi, celui qu’on décrit en Grec comme l’unique. Le sixième roi est l'unique. À notre avis, le terme un existe est reliée à l’Apocalypse 13:3, où l’on trouve le récit de la bête qui est blessée à la tête. Le sixième roi est celui qui est blessé.

De même, dans Apocalypse 17:10, en décrivant le septième roi, il y a une référence distincte à « l'autre ». Le septième roi est « l'autre ». Et ensuite, dans Apocalypse 13:11, la deuxième bête qui sort de la terre est décrite comme « une autre ». Dans la version grecque de ce verset [13:11], le terme "une autre" est le même mot que l'on retrouve dans l'Apocalypse 17:10 pour faire référence au septième roi ; prenant cependant des formes différentes dans ces deux versets.

Apocalypse 13:11 - « Je vis une autre bête montant de la terre ; elle avait deux cornes semblables à celle de l’Agneau, et elle parlait comme le dragon. »

Donc, tout comme celui qui est, le sixième roi, est celui qui est blessé, nous pensons que l'autre roi, à savoir le septième, Benoît XVI, indique quand l'autre ou la deuxième bête, monte. En d'autres termes, la raison pour laquelle l'Apocalypse 17 se focalise spécifiquement sur les sixième et septième rois, c'est que la première bête d'Apocalypse 13, « l'unique », monte sous le sixième roi, et la deuxième bête de l'Apocalypse 13, « l'autre », qui amène les gens à honorer la première bête, monte sous le septième roi.

L'Écriture nous dit donc que la deuxième bête amène les gens à honorer la première bête, qui a été blessée par le glaive et qui a pourtant survécu. Que voyons-nous sous Benoît XVI ? Eh bien, Benoît XVI lance le processus par lequel les gens vénèrent l'Antéchrist et la Rome païenne, de la même manière que dans la Rome païenne, le successeur du roi païen décédé incitait les gens à l'adorer. Apocalypse 13:12 dit que la seconde bête exerçait toute la puissance de la première bête en sa présence, et qu'elle fit que la terre et ceux qui l'habitent adorèrent la première bête dont la plaie avait été guérie.

Apocalypse 13:12 - « Elle exerçait toute la puissance de la première bête en sa présence, et elle fit que la terre et ceux qui l'habitent adorèrent la première bête dont la plaie avait été guérie. »

La deuxième bête, que l'on pourrait appeler la secte Vatican II à partir du septième roi, exerce toute la puissance spirituelle en présence de l'Europe païenne et l'utilise pour faire honorer l'image de l'Antéchrist et des figures iniques païennes qui représentent le retour de la Rome païenne.

Dans Apocalypse 13:13, nous lisons que la seconde bête fit de grands prodiges, jusqu'à faire descendre le feu du ciel sur la terre en présence des hommes.

Apocalypse 13:13 - « Elle fit de grands prodiges, jusqu'à faire descendre le feu du ciel sur la terre en présence des hommes [ἐνώπιον τῶν ἀνθρώπων]. »

Dans les Actes des Apôtres, l'activité, les dons ou les signes du Saint-Esprit sont associés au feu du ciel. La référence dans Apocalypse 13:13 au feu du ciel en présence des hommes se réfère, selon nous, à des signes spirituels et à une activité faussement attribués au Saint-Esprit. En d'autres termes, elle dénote de faux miracles et de faux signes opérés dans la contre-église de Vatican II.

Ce faux feu du Ciel comprendra divers faux miracles qui ouvriront la voie aux fausses canonisations de Jean-Paul II, Paul VI et d'autres hérétiques dans la Contre-Église, comme Mère Térésa.

Kathryn Spink, Mère Teresa – Une vie, Éditions Robert Laffont, 1997, p. 160 :
« Vous l’appelez ISHWAR, certains l’appellent ALLAH, certains l’appellent simplement Dieu, mais nous devons tous reconnaître qu’ll nous a créé pour de grandes choses : pour aimer et être aimés. »[32]

Ceci inclurait également le faux mouvement charismatique, qui constitue un faux feu du Ciel. Le mouvement charismatique a contribué à la construction du culte de l'Antéchrist, Jean-Paul II, dans différentes parties du monde. L'image de Jean-Paul II dans le bûcher, qui était considérée comme son apparition du Ciel dans le feu, à l'occasion du deuxième anniversaire de sa mort, est directement liée à la cérémonie de fausse déification dans la Rome païenne, comme nous l'avons expliqué. Mais elle serait également incluse dans la catégorie du faux feu du Ciel en présence des hommes.

Hérodien, Histoire romaine depuis la mort de Marc-Aurèle jusqu’à l’avènement de Gordien III :
« Après cette cérémonie, le nouvel empereur prend une torche allumée, et la pose sur le monument [qui contient le lit avec l'image de l'empereur]. L’assemblée imite à l’instant son exemple ; en un moment les parfums et les matières combustibles ont tout embrasé. »

Apocalypse 13:13 - « Elle fit de grands prodiges, jusqu'à faire descendre le feu du ciel sur la terre en présence des hommes. »

Divers faux signes se sont produits dans la secte Vatican II, qui ont joué un rôle dans l'élan donné à la vénération de l'Antéchrist et de la Rome païenne. Le mot qui est traduit comme « en présence de » dans ce verset signifie ἐνώπιον (énopionne). Il peut signifier aux yeux de ou selon l’avis de. C'est ainsi qu'il est utilisé dans Luc 16:15, par exemple, où Jésus dit aux Pharisiens : C'est vous qui vous justifiez devant, ou selon l’avis des (énopionne), hommes, mais Dieu connaît vos coeurs.

Apocalypse 13:13 - « Elle fit de grands prodiges, jusqu'à faire descendre le feu du ciel sur la terre en présence des hommes [ἐνώπιον τῶν ἀνθρώπων]. »

Luc 16:15 - « Et il leur dit : C’est vous qui vous justifiez devant les hommes [ἐνώπιον τῶν ἀνθρώπων], mais Dieu connaît vos cœurs... »

Ainsi, le feu qui descend du ciel ἐνώπιον τῶν ἀνθρώπων [lire : énopionne tone anthroponne] peut signifier une activité considérée par les hommes comme le feu du ciel ou l'ְœuvre du Saint-Esprit, alors qu'en réalité c'est un faux signe.

L'Apocalypse 13:15 dit qu'il fut donné à la seconde bête :

Apocalypse 13:15 - « Il lui fut même donné d’animer l’image de la bête, de faire parler l’image de la bête, et de faire que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête seraient tués. »

La première partie de ce verset, qui parle de donner vie à l'image de la bête, correspond à la fausse canonisation de Jean-Paul II et au processus qui l'a précédée.

La cérémonie elle-même, à l'image de Jean-Paul II, a fait l'objet d'une transmission télévisée en 3D sans précédent.

Le pape François inaugurera la transmission télévisée en 3D au Vatican lors d'une cérémonie de canonisation sans précédent

« La cérémonie sera également retransmise dans les salles de cinéma en 3D à travers l'Europe et en Amérique du Nord et du Sud, dans ce qui est présenté comme la première convergence des technologies HD, 3D et 4K pour un événement multimédia 3D d'une telle envergure. »

La couverture télévisée a également présenté des images et des séquences de Jean-Paul II. La fausse canonisation des antipapes équivalait également à de fausses déclarations de vie éternelle pour les représentants de la Rome païenne, tels que Jean-Paul II, Paul VI, etc.

Le mot traduit par « tuer » dans la deuxième partie de ce verset est une forme du verbe apoktéino. Il ne signifie pas toujours tuer physiquement. Il peut simplement signifier causer la perte de la vie spirituelle. La seconde bête, qui agit avec l'autorité de la secte Vatican II, impose en effet le culte de l'Antéchrist et l'acceptation de la religion de Vatican II sous peine d'être exclu.

Les hérésies de la religion de Vatican II représentent le retour de la Rome païenne. Vous devez accepter ces hérésies et les faux saints de la Contre-Église sous peine d'être exclu de sa communion.

Donc, peu importe comment vous considérez la deuxième bête, que vous la considériez comme la secte Vatican II en tant qu'entité religieuse exerçant tout le pouvoir spirituel aux yeux de l'Europe païenne ou, plus spécifiquement, comme la secte Vatican II telle qu'elle agit sous l'antipape Benoît XVI et ses successeurs, les preuves que nous avons présentées au sujet de la première bête étant la Rome païenne qui est revenue sous l'Union Européenne, la Rome post-Vatican II étant la Prostituée de Babylone, Jean-Paul II étant l'Antéchrist, celui qui est blessé et qui voit ensuite son image honorée, les sept rois étant les sept rois de la Cité-État du Vatican, l'étonnement devant l'accomplissement de la bête et la réaction des gens lorsqu'ils voient le retour de la Rome païenne, etc., sont écrasantes.

C'est ce qui se passe. C'est pourquoi ce que nous avons vu à Rome s'est produit. Et la seconde bête fait en sorte que les gens honorent ce retour maléfique de la Rome païenne.

Ainsi, les personnes qui pensent que Benoît XVI était un pape valide, ou qu'il était bon, sont trompées. Il était l'un des hérétiques les plus perfides de l'histoire. Il était un antipape apostat et un trompeur majeur. Voyez notre vidéo, Les stupéfiantes hérésies de Benoît XVI et notre dossier au sujet de ses hérésies. Benoît XVI, ainsi que l'antipape apostat François, sont ceux qui ont amené les gens à vénérer l'Antéchrist.

Même la décision de Benoît XVI de donner un accès plus large à la Messe en latin était une manœuvre trompeuse car le Diable savait qu'à ce moment-là, la plupart des « prêtres » qui l'offraient n'étaient pas valides, ayant été ordonnés dans le Nouveau Rite invalide de Paul VI. C'était une tentative calculée pour que les gens continuent à croire qu'il y a de l'espoir dans la Prostituée de Babylone, alors qu'il n'y en a pas. Le Diable voulait maintenir les gens sous les antipapes aussi longtemps que possible, afin qu'ils acceptent finalement la « canonisation » de l'Antéchrist, Jean-Paul II, ainsi que de Paul VI, Jean XXIII, etc.

Apocalypse 13:14 - « ... elle séduisit ceux qui habitaient sur la terre... disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui a reçu une blessure du glaive, et qui a conservé la vie. »

Certaines personnes qui ont compris que François n'est pas catholique et ne peut pas être le pape, pensent que Benoît XVI étaient le vrai pape. Ils ont tort. Benoît XVI n'était pas un pape valide. C'était un antipape apostat. Ce n'est pas non plus une simple coïncidence, à notre avis, que le nom de Benoît XVI en grec, Benediktos, corresponde exactement à 666. Cela ne veut pas dire qu'il y a quelque chose de mal avec le prénom de Benoît, bien sûr. C'est juste un identifiant. C'est le septième roi sous lequel ce processus de vénération de l'Antéchrist et de la Rome païenne a débuté.

De plus, à notre avis, la marque de la bête sur la main ou le front est une marque spirituelle. Elle représente la fausse autorité ecclésiastique et sacerdotale de la secte Vatican II, qui détient l'autorité spirituelle sur les gens dans l'Europe de la fin des temps et dans le monde entier. La secte Vatican II n'a pas d'autorité valable de la part de Dieu, mais elle a une influence sur les peuples, les nations et les langues qui suivent la Contre-Église. Voilà pourquoi il est dit que la Prostituée de Babylone est assise sur de nombreuses eaux, que l'Apocalypse nous dit être des peuples, des nations et des langues.

Apocalypse 17:15 - « Il [l’ange] me dit encore : Les eaux que tu as vues, et où la prostituée est assise, sont des peuples, des nations et des langues. »

La Contre-Église a pris de dessus sur les gens qui pensent à tort que ses antipapes sont de vrais papes. Voilà pourquoi les faux traditionalistes qui s'obstinent à considérer les antipapes de Vatican II comme de vrais papes, face à l'évidence, sont de faux professeurs perfides et des instruments de Satan. Ils maintiennent les gens dans l'hérésie et dans de fausses positions.

Ceux qui vous disent de rester dans la secte Vatican II sont des trompeurs. Vous ne demeurez pas avec l'Église catholique, vous demeurez avec la Prostituée de Babylone.

Pape Pie XII, Mystici Corporis Christi, 29 juin 1943 - « Mais seuls font réellement partie des membres de l'Église ceux qui ont reçu le baptême de régénération et professent la vraie foi. » [33]

Ce n'est pas l'Église catholique. C'est pourquoi l'Apocalypse 18:4 parle de Babylone de la fin des temps : Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin de ne pas vous associer à ses péchés...

Apocalypse 18:4 - « Puis j’entendis une autre voix venant du ciel qui disait : “Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin de ne pas vous associer à ses péchés et de ne pas être victimes de ses fléaux.” »

La mise en garde de l'Écriture, à savoir de sortir de la Babylone de la fin des temps, indique également que les antipapes y règnent pendant cette période, car l'Écriture ne dirait pas aux gens de se retirer de la communion avec un vrai pape.

En ce qui concerne la marque sans laquelle personne ne peut acheter ou vendre, nous pensons que cela fait référence à la monnaie de l'Union européenne, sur laquelle est inscrite l'image d'Europa (ou Europe), l'empire de la bête.

Notez que les gens sont condamnés pour avoir vénéré l'image de la bête ou pour avoir reçu la marque de la main ou de la tête (qui, selon nous, est une marque spirituelle), mais pas forcément pour avoir acheté et vendu avec la marque physique de la bête. 

Il est intéressant de noter que l'Apocalypse nous dit que la bête a sept têtes et dix cornes. Les dix cornes font référence aux nations qui composaient à l'origine le centre de pouvoir de l'Union européenne. En fait, l'Union de l'Europe occidentale comptait à l'origine dix pays membres qui étaient liés par une obligation de défense mutuelle en vertu du traité de Bruxelles. Cette alliance de défense mutuelle de dix pays comprenait les centres de pouvoir de l'Union européenne que sont Bruxelles, la France et l'Italie.

L'Union de l'Europe occidentale a progressivement transféré des fonctions à l'Union européenne. Mais ce n'est pas une simple coïncidence, à notre avis, qu'il y avait à l'origine dix pays dans l'alliance de défense militaire de l'Union de l'Europe occidentale. Ainsi, l'UE avait dix parties ou composantes ou aspects de sa défense. Cela correspond à la description de la bête qui a dix cornes.

Apocalypse 17:3 - « Il me transporta en esprit dans un désert, et je vis une femme assise sur une bête de couleur d'écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. »

En ce qui concerne François, qui est un antipape totalement apostat, il parle en effet pour la Rome païenne en ce moment. Il représente la Contre-Église démasquée. En effet, beaucoup de gens qui sont aveugles à la perfidie des trompeurs Jean-Paul II et Benoît XVI, sont consternés par François.

François, discours à un groupe de luthériens, Salle Paul VI, 13 octobre 2016

EN ITALIEN :
“Non è lecito convincerli della tua fede. Il proselitismo è il veleno più forte contro il cammino ecumenico.”

« Il n’est pas licite de les convaincre de votre foi. Le prosélytisme est le venin le plus puissant contre la voie œcuménique. »

Le fait qu'ils reconnaissent que François a des problèmes n'indique pas qu'ils ont découvert toute la vérité. Il s'agit plutôt d'une réalisation de la prophétie selon laquelle les adeptes de la Contre-Église s'étonneront et seront choqués par l'activité de la bête, surtout après le septième roi.

Si ces personnes veulent vraiment se réveiller, embrasser la vérité et être sauvées, elles doivent identifier et rejeter toute la secte Vatican II et ses antipapes maléfiques.

Pape saint Agathon, Lettre à l’Empereur, IIIe Concile de Constantinople :
« ... ce qui a été défini canoniquement par nos saints et apostoliques prédécesseurs, et par les vénérables cinq conciles, nous le conservons dans la simplicité du cœur, et nous gardons sans aucune déformation la foi qui nous vient des Pères, toujours désireux et nous efforçant de posséder ce seul et principal bien, à savoir : que rien ne soit diminué des choses définies canoniquement, et que rien ne soit ni changé ni ajouté à celles-ci, mais que ces mêmes choses, tant dans les mots que dans le sens, soient gardées intactes... »

La raison pour laquelle Dieu a permis que cela se produise, est la mauvaise volonté des gens. Dieu a vu que les gens n'appréciaient pas la vraie foi, les vrais sacrements, la vraie messe, etc. Il a donc permis que presque tout cela leur soit enlevé.

La véritable Église catholique existe toujours, et elle est visible, malgré la Contre-Église de Rome. Vous écoutez un membre visible de la vraie Église de nos jours. Mais Dieu a permis que la vraie Église soit réduite presque autant qu'elle peut l'être dans la Grande Apostasie parce que les gens ne méritent pas plus que cela. Comme l'a dit Jésus :

« Mais quand le Fils de l'homme viendra, pensez-vous qu'il trouve de la foi sur la terre ? » (Luc 18:8)

De nos jours, en général, les gens ne méritent pas d'avoir un vrai pape à Rome qui soit reconnu par le monde entier. Ils ne méritent pas d'avoir une présence catholique florissante dans chaque diocèse. Ils ne le méritent pas. Ils méritent la désolation, et ainsi Dieu a permis que presque tout leur soit enlevé, sauf un reste de fidèles, de sorte que seuls ceux qui luttent vraiment pour Lui, qui vivent pour Dieu et non pour les opinions des hommes et des foules, trouveront la foi et l'embrasseront.

Matthieu 16:18-19 - « Et moi, je te dis que tu es Pierre et que sur ce rocher je construirai mon Église, et les portes du séjour des morts ne l'emporteront pas sur elle. Je te donnerai les clés du royaume des cieux : ce que tu lieras sur la terre aura été lié au ciel et ce que tu délieras sur la terre aura été délié au ciel. »

Dans Ésaïe 1:21, nous lisons au sujet de Jérusalem, la ville sainte à l'époque de l'Ancien Testament :

Esaïe 1:21 - « Quoi donc ! la cité fidèle est devenue une prostituée ! Elle était remplie d'équité, la justice y habitait, Et maintenant il y a des assassins ! »

Dieu a permis à sa ville sainte de devenir une prostituée. Cela s'appliquait à la ville de Jérusalem dans l'Ancien Testament, cela s'applique à la ville de Rome, et non à l'Église catholique, dans les derniers jours. Beaucoup de gens regardent la situation actuelle de Rome et perdent ainsi la foi en Dieu et en l'Église catholique. C'est idiot. Certaines personnes ont décidé de devenir protestantes, schismatiques orientaux ou même athées. Ils sont dupés par le piège du diable. Comme nous l'avons montré, cette situation a été prophétisée. L'Église catholique a toujours été, et reste, la seule véritable Église de Jésus-Christ.

Pour être sauvé, il faut être un vrai catholique traditionnel qui rejette la secte de Vatican II et pratique la vraie foi. Notre travail explique comment faire.

Notes :

[1] Site Vatican, Jean-Paul II, Audiences, 22 février 1984, uniq. italien, n° 3. http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/audiences/1984/documents/hf_jp-ii_aud_19840222_it.html

L’Osservatore Romano, Éd. anglaise, 27 fév. 1984, p. 1.

[2] Site Vatican, Jean-Paul II, Homélies, Messe d'intronisation du « pape » Jean-Paul II, *22 oct. 1978*, ve. français, n° 1, 2. http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/homilies/1978/documents/hf_jp-ii_hom_19781022_inizio-pontificato_fr.html

L’Osservatore Romano, Éd. anglaise, 2 nov 1978, p. 1.

[3] Site Vatican, Jean-Paul II, Encycliques, Redemptor hominis, 4 mars 1979, ve. français, n° 10.

http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/encyclicals/documents/hf_jp-ii_enc_04031979_redemptor-hominis_fr.html

Jean-Paul II, Le rédempteur de l’homme, lettre encyclique Redemptor hominis, Éditions du Centurion, Paris, 1979, p.37.

[4] L’Osservatore Romano, 5 jan. 1994, p. 3.

Site Vatican, Homélies, Messe « in Nocte Sancta » dans la Basilique Vaticane, Noël 1993, uniq. italien, n° 4 : http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/homilies/1993/documents/hf_jp-ii_hom_19931225_nocte-sancta_it.html

[5] Site Vatican, Homélie lors de la célébration de la parole du Mont Sinaï, 26 février 2000 :

http://www.vatican.va/content/john-paul-ii/fr/homilies/2000/documents/hf_jp-ii_hom_20000226_sinai.html

[6] Site Vatican, Message aux participants à la conférence nationale sur la culture de l'Inde, 9-16 mars 1986, version anglaise :

http://www.vatican.va/content/john-paul-ii/en/speeches/1986/march/documents/hf_jp-ii_spe_19860311_cultura-india.html

[7] Paul IV, Bulle Cum ex apostolatus officio, cit. Saint Pie V - Loi contre les clercs hérétiques, Expéditions pamphiliennes, Strasbourg, pp. 7,15, 20, 21.

[8] St Robert Bellarmin, *De Romano Pontifice*, L. II, ch. 30.

[9] St Robert Bellarmin, *De Romano Pontifice*, L. II, ch. 30.

[10] Internet, St. François de Sales, Lettre ouverte aux protestants, Les Controverses, Pa. II, ch. VI, ar. XV, num. Institut du Christ Roi Souverain prêtre, § 1.

http://www.icrsp.org/Saints-Patrons/Saint-Francois-de-Sales/Controverses/SFS-Controverses-II-partie.htm

[11] Summa Theologica, cit. Actes de Vatican I, V. Frond Pub.

[12] LeMonde, La blessure cachée de Jean Paul II, lors de l'attentat de Fatima, en 1982, au Portugal, par Salvatore Alois, publié le 17 octobre 2008 à 15h33, modifié le 17 octobre 2008 https://www.lemonde.fr/europe/article/2008/10/17/la-blessure-cachee-de-jean-paul-ii-lors-de-l-attentat-de-fatima-en-1982-au-portugal_1108077_3214.html

[13] https://www.mirror.co.uk/news/world-news/lightning-bolt-hit-vatican-not-1705156

[14] Site Internet, East Bay Times, « *Pope Benedict XVI predicts a ‘short reign’ due to health* », 21 avril 2005 :https://www.eastbaytimes.com/2005/04/21/pope-benedict-xvi-predicts-a-short-reign-due-to-health/

[15] Internet, ABC News, « *5 Things for Which the Pope Will Be Remembered* », 11 février 2013 : https://abcnews.go.com/ABC_Univision/pope-resigns-things-pope-benedict-xvi-remembered/story?id=18465663

[16] Site Internet, L'Express, « *Vatican: le pape François voyagera avec un passeport argentin* », 17 février 2014 : https://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/vatican-le-pape-francois-voyagera-avec-un-passeport-argentin_1492341

[17] https://www.lifesitenews.com/news/statue-of-ancient-god-of-child-sacrifice-put-on-display-in-rome-days-before-amazon-synod

[18] Hérodien, Histoire romaine depuis la mort de Marc-Aurèle, Traduite du grec par Léon Halévy, Paris, Librairie de Firmin Didot Frères et Cie, 1860, p. 138. https://books.google.com/books?id=gT_XgtjeU3AC

[19] Hérodien, Histoire romaine depuis la mort de Marc-Aurèle, Traduite du grec par Léon Halévy, Paris, Librairie de Firmin Didot Frères et Cie, 1860, pp. 140-141.

[20] Site internet, TVA Nouvelles, « Jean-Paul II apparaît à un Polonais », 19 octobre 2007 : https://www.tvanouvelles.ca/2007/10/19/jean-paul-ii-apparait-a-un-polonais

[21] Site internet, fr.zenit.org, « Pologne : La silhouette de Jean-Paul II apparaît dans le feu d’une veillée », 19 octobre 2007 : https://fr.zenit.org/2007/10/19/pologne-la-silhouette-de-jean-paul-ii-apparait-dans-le-feu-d-une-veillee/

[22] Eusèbe de Césarée, *Histoire ecclésiastique livres I-IV, texte grec et traduction française*, Livre II, chapître XXV, Paris, Alphonse Picard et Fils, 1905, p. 213. https://books.google.com/books?id=92kZAAAAYAAJ

[23] Tertullien Oeuvres de Tertullien, Éd. II, T. III, Paris, Chez Louis Vives, Librairie-Éditeur, 1852, p. 174. https://books.google.com/books?id=QzeFdnIAzVgC&pg=PA174

[24] « Diocèse » de Frejus-Toulon, « Discours du Pape Jean-Paul II aux représentants des Églises chrétiennes et des communautés ecclésiales réunis à Assise pour la Journée mondiale de prière », 27 octobre 1986 : https://diocese-frejus-toulon.com/IMG/pdf/Discours_d_Assise.pdf

[25] Site Vatican, Jean-Paul II, Adresse « aux représentatifs des églises chrétiennes et des communautés ecclésiastiques et des religions du monde », 27 oct. 1986, version anglaise. http://w2.vatican.va/content/john-paul-ii/en/speeches/1986/october/documents/hf_jp-ii_spe_19861027_prayer-peace-assisi-final.html

[26] Site Vatican, Jean-Paul II, Lettre « aux chefs d'état ou de gouvernement », 24 janvier 2002 : http://www.vatican.va/content/john-paul-ii/fr/letters/2002/documents/hf_jp-ii_let_20020304_capi-stato.html

[27] The Papal Encyclicals, by Claudia Carlen, Raleigh: The Pierian Press, 1990, Vol. 3 (1903-1939), p. 351.

[28] Denzinger 859.

[29] Saint Thomas d'Aquin, La somme théologique, Supplément - Q. XXIV-LXXXI., T. XIVe, Paris, Librairie ecclésiastique et classique d'Eugène Belin, 1856, p. 675.

[30] St. Pie X, *Enseignements pontificaux, Lettre encyclique de Notre Saint Père le pape Pie X, E Supremi Apostolatus sur la charge de souverain pontife*, Éditions Sainte Jeane d’Arc, Vailly-sur-Sauldre, 1988, p.7.

[31] Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique livres I-IV, texte grec et traduction française, Livre II, chapître XV, p. 169.

[32] Kathryn Spink, Mère Teresa – Une vie, Éditions Robert Laffont, 1997, p. 160.

[33] Denzinger, Éd. du Cerf, n° 3802.

PLUS